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Une étape franchie pour accompagner les femmes et les jeunes à intégrer le monde professionnel. Une signature de convention entre le ministère de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle d'une part, et le Centre de formation professionnelle de l'association Andry sy Fototra ho an'ny Fampandrosoana (AFF), de l'autre, s'est tenue hier à Antanimena. Le partenariat est axé sur la valorisation des acquis de l'expérience (VAE) du centre.

De retour. Le long-métrage 100 % malagasy intitulé « Joe » va regagner les salles de cinéma durant ce mois de janvier. En effet, le réalisateur et producteur de ce film a décidé de le rediffuser dans l’une des salles obscures les plus réputées de la Capitale. Le rendez-vous est donné à partir du 13 janvier prochain au CINEPAX Ambodivona.

Futile. C'est en résumé ce que Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, porte-parole du Gouvernement évoque une " polémique créée possiblement par l'Opposition" autour des bons du Trésor, notamment les bons du Trésor par voie d'adjudication. La ministre de la Communication et de la Culture souligne que les BTA ne sont pas une  nouveauté. Elle rappelle l'existence du décret 97-656 du 7 mai 1997 fixant les conditions de souscription des bons du Trésor par voie d'adjudication.

Sanction pour les spéculateurs, c’est en ces termes que pourraient se résumer la descente effectuée par les équipes de la direction générale du commerce et de la consommation, hier au marché populaire d’Anosibe. « En cette période de soudure, beaucoup de commerçants sont tentés de gonfler leur marge pour profiter de la vague inflationniste. Le ministère du Commerce et de la Consommation en assumera la responsabilité. La violation ou la dissimulation (marchandises telles que le riz) seront sévèrement punies.

La une du 06 janvier 2022

Publié le jeudi, 05 janvier 2023

Dans le courant de cette semaine, une adolescente de 15 ans qui travaillait comme domestique au service d’un couple domicilié à Antananarivo, mais qui est originaire de Manazary, District de Miarinarivo, a succombé de façon curieuse pendant l’exercice de son métier. Des questions se posent sur l’origine de son décès. Récemment, les différents responsables, aussi bien de santé publique mais aussi les enquêteurs, sont sortis du silence. Côté Gendarmerie, l’on annonce que le décès de la jeune fille serait de nature cardio-respiratoire. « Lors d’une observation médico-légale, l’on n’a trouvé aucune trace de coups, ni blessure sur le corps de la victime », rapporte une source auprès de la Gendarmerie.
Comme pour le confirmer, la déclaration du ministère de la Santé publique semble tendre dans ce même sens. Cette entité aurait avancé que ses employeurs et la jeune fille elle-même seraient passés au centre de santé d’Anosiala. En revanche, selon ses mêmes informations, la malheureuse serait déjà sans vie lorsqu’ils y étaient arrivés. La famille de l’adolescente n’aurait toujours pas déposé une quelconque plainte.
De leur côté, les époux chez qui la jeune fille travaillait, auraient soutenu lors de leur audition à la Gendarmerie, que la victime est décédée dès  suite d’un malaise, de nature respiratoire. Le commandant de la Brigade de gendarmerie locale aurait martelé qu’il n’y eut aucune agression physique sur la fille.
Toujours de source proche du dossier, le couple en cause a voulu aider la maman de la jeune fille, laquelle est confrontée à un problème de précarité. D’ailleurs, la mère de famille n’aurait pas caché que sa progéniture doit travailler pour l’aider à surmonter les difficultés de la vie.
Notre source révèle également que la jeune fille, une fois qu’elle s’était installée chez ses employeurs, aurait souffert depuis longtemps d’un problème cardiaque. « Lors de Noël dernier, l’adolescente aurait envisagé de le passer auprès de sa mère. Mais cette dernière lui aurait fait savoir que cela est impossible, du fait de la précarité qui règne chez elle. Ce qui aurait déclenché un malaise d’origine cardio-respiratoire probablement lié au chagrin », ajoute la Gendarmerie.
Et preuve d’une transparence au niveau de l’enquête, la Gendarmerie n’a pas hésité à desceller le cercueil où reposait le corps de l’adolescente, une fois arrivé à Manazary- Miarinarivo. Par ailleurs, la Gendarmerie réfute l’allégation comme quoi la mère de la victime a perdu la raison. La mère de famille serait simplement souffrante et est sous soins à l’hôpital de Miarinarivo. L’enquête suit son cours.
F.R.
  

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 05 janvier 2023

Vendredi 6 janvier
Lôlô sy ny tariny
Une soirée à ne pas rater en ce premier vendredi « joli » de l’année 2023. Effectivement, quand Benny, Bebey et Nini Kolibera se retrouvent, l’ambiance ne peut être qu’exceptionnelle. Et ce ne sont pas les irréductibles de Lôlô sy ny tariny qui diront le contraire. Ce soir, ces amis de toujours vont à nouveau embarquer les noctambules dans un concert 100 % acoustique. Le spectacle aura lieu à partir de 20h 30 au Piment Café sis à Behoririka. Comme au bon vieux temps, Benny et sa bande vont replonger leurs inconditionnels dans les années 70, 80 et 90.
Jazz MMC
Après avoir célébré la fête de Noël et la nuit de la Saint-Sylvestre dans sa Province natale, Jazz MMC, le prince de l’ambiance, de son vrai nom Mohamed Ibrahim, ne compte pas prendre congé. Le chanteur et son équipe ont décidé d’entamer le premier concert de l’année 2023 dans la Capitale. Pour ce faire, Jazz MMC, la star du rythme africain, mettra de nouveau l’ambiance dans une soirée baptisée « Valirombon’ny Bonne année ». Rendez-vous ce soir au Djembe Tanà, Antaninarenina (Ex-Le Six) pour bien commencer cette nouvelle année dans une ambiance Mawazine électrique au tempo de l’énergie débordante de la jeunesse. Les réjouissances débuteront à 21h.
Samedi 7 janvier
Mirado & Reko
Une bonne nouvelle pour les fans du chanteur Mirado et du groupe Reko. Pour clore en apothéose la célébration du 75ème anniversaire de l’Alliance française d’Antananarivo (AFT), les responsables ont fait appel à des chanteurs de renom pour animer le public. Pour ce faire Mirado et le groupe Reko offriront un concert gratuit demain à partir de 14h. Ce sera la première fois que ces artistes se retrouveront sur la même scène, surtout en ce début d’année. De plus, il s’agit du premier concert de musical que l’AFT accueillera dans ses locaux. Les fans sont ainsi avertis. Ce sera le moment propice de revoir Mirado interpréter quelques morceaux inclus dans son nouvel album, et d’entendre les titres phares du groupe Reko.
Dina Mialinelina
Demain soir, la musicienne, auteure, compositrice et interprète Dina Mialinelina animera la salle du Fara West Faravohitra. Le show débutera à 20h. Toujours entourée d’artistes passionnés, la chanteuse sera accompagnée lors de cette soirée par Hents, Tsanta, Kevin et Julie. A noter que Dina n’est que de passage dans la Capitale. Avant de repartir en France, elle prévoit de faire quelques spectacles à Antananarivo. Pour ses fans et les férus de la bonne musique, ceci est l’occasion de la revoir sur scène et de découvrir son univers musical. Cette artiste puise sa source à l’écoute de ses espoirs, ses craintes, ses larmes et ses joies pour parler de la vie, notamment la jeunesse, la vieillesse, la nature, les émotions, l’humain,…
Dimanche 8 janvier
Green
Du rock à l’ancienne, c’est que les puristes recherchent. Ce sera le menu à la salle de karaoké  « Fy Tia Kaly sy Vazo », sise à Ankadifotsy pour démarrer l’année 2023 en cabaret, ce dimanche à partir de 15h. Un après-midi qui s’annonce déjà joli. Ne se produisant que rarement, Jacquot et ses potes, pour ces retrouvailles avec les inconditionnels, vont reprendre tous les tubes et autres chansons du groupe, à l’instar de « Fo roa », « Tapitra hatreo » « Ilay tsy miova »,… Beaucoup de décibels et tant d’émotions attendent ceux qui vont décider d’aller dans cet antre de la Capitale.
Mr Sayda
L’interprète du nouveau tube  « Voay » qui cartonne dans les stations radiophoniques et les réseaux sociaux ne chôme pas. Mr Sayda a choisi d’ouvrir la saison 2023 à Fianarantsoa. Il donnera un concert au collège Maria Manjaka sis à Talatamaty ce dimanche à partir de 14h. Un rendez-vous à ne pas rater sous aucun prétexte pour ceux qui ne l’ont jamais vu à l’œuvre, surtout les fans qui se trouvent dans cette zone. Au programme, les  morceaux tels que « Tia anao aho », « Vokatry ny foko », « Tara loatra », ou encore son titre « Ampianaro aho » seront sans doute fredonnés à haute voix sur la scène.
Si.R



Difficile à gérer. Davantage d’habitants issus des Régions de sud de Madagascar migrent à Toliara, capitale de la Région d’Atsimo-Andrefana, fuyant notamment la famine due au changement climatique et l’insécurité grandissante. « Ces gens grossissent non seulement le nombre des sans-abri mais ils rejoignent également ceux déjà sur place, sans emploi », reconnait Dédé Vita Sidison, maire de la Commune urbaine de Toliara (CUT). « Ces gens n’ont pas choisi d’être inactifs. Le fait est qu’il n’existe pas de travail pour ceux qui fuient le monde rural et c’est pareil pour les jeunes diplômés. Beaucoup œuvrent dans le petit commerce. Or, ce secteur est déjà saturé », souligne ce maire. « Notre Constitution n’interdit aucunement l’exode rural sauf que la ville de Toliara ne s’est pas préparée à accueillir d’innombrables migrants. La hausse considérable du nombre de cyclo-pousses qui inondent les rues de la cité figure parmi les indicateurs de cette situation », informe Jean Rabehaja, député de Toliara I. Cet élu d’ajouter : « Le chômage en est également l’un des symptômes, d’autant Toliara ne dispose aucune grande industrie ni d’usine de zone franche ». Ces faits pénalisent le développement de Toliara, voire celui de la Région d’Atsimo-Andrefana.
Pour la réouverture de Base Toliara
Le maire de la CUT ainsi que le député élu à Toliara I plaident pour la réouverture de Base Toliara. « Il faut veiller aux intérêts de la population. Ce qui m’importe en tant que maire, c’est le développement de la ville, l’amélioration des conditions de vie de la population, la résolution du problème de l’emploi. Je ne vois donc pas de raison pour bloquer l’activité d’une compagnie qui peut répondre à ces attentes », avance le premier magistrat de la ville de Toliara. Il n’a pas manqué d’inviter les décideurs à considérer toutefois l’urgence de la situation et d’interpeller l’Etat, le seul qui peut en décider. Le maire, d’après ses dires, a intégré des dispositions dans le plan d’urbanisme directeur de la CUT concernant le port où cette compagnie minière acheminera ses produits. « Base Toliara ne devrait pas être source de division au sein de la population mais au contraire promouvoir l’unité si l’on trouve un terrain d’entente. Je pense que c’est lié à un manque de communication de part et d’autre, que ce soit du côté des partisans que des opposants au projet. Je me pose en tant que "Raiamandreny" et propose la tenue d’une table-ronde autour de laquelle tous les concernés pourraient discuter. De plus, Toliara a un avantage par rapport à Toamasina et Taolagnaro ou opèrent déjà Ambatovy et QMM », s’exprime ce parlementaire.
Dans tous les cas, ces autorités de Toliara reconnaissent les appuis de l’Etat pour Toliara et l’Atsimo-Andrefana, notamment en matière d’infrastructures comme les routes, les établissements scolaires « manara-penitra » ou encore les Centres de santé de base. Le lancement des travaux sur la RN10, le bouclage des travaux sur la RN9, l’achèvement du pont de Mangoky reliant Menabe et Atsimo-Andrefana, ou encore le Projet de développement de la zone de transformations agro-industrielles dans la Région du sud-ouest de Madagascar, financé par la Banque africaine de développement (BAD), en font partie…
Recueillis par Patricia Ramavonirina







Durant le championnat d’Afrique des Nations (CHAN 2023) qui se déroulera du 13 janvier au 5 février en Algérie, les Barea A’ évolueront sur des gazons naturels. L'idée est venue du Team manager de l'équipe, soutenue par la Fédération et appuyée aussi par Adrien Melvin ainsi que quelques joueurs expatriés qui évoluent dans l’Hexagone. Ils ont mené une quête de matériels pour leur compatriote de la CHAN. Et l’objectif a été atteint car le suspense touchait à sa fin. Les matériels, tant attendus depuis le début du regroupement,  composés de crampons et des sous- maillots pour éviter le froid, ont déjà été acheminés vers la Tunisie là où les Barea locaux suivent des stages avant de rejoindre l’Algérie.  Rappelons qu’il fait maintenant 4 degrés en Tunisie. Cette dernière a le même géo climat que son voisin d’Algérie.
Ce week-end, des matchs amicaux contre les Diables rouges du Congo Brazzaville et les Menas de Niger auront lieu.
Les joueurs locaux évoluent durant le championnat sur des terrains synthétiques. Pourtant, en Algérie tous les terrains qui abriteront la compétition sont en gazon naturel, qui sera  évidemment arrosé avant chaque match. Or, les crampons des joueurs ne sont pas adaptés à la situation.
Et il faut au moins sept séances d'entraînement et du temps pour s’adapter au gazon naturel pour les Barea A' en Tunisie. Lors du match contre l’Uscafoot, tenu au stade d’Alarobia il y a une semaine,  les joueurs ont eu du mal à jouer sur du gazon naturel, reconnaît le coach Romuald Rakotondrabe, outre le stage bloqué sur le terrain synthétique effectué au centre national de Carion.
Elias Fanomezantsoa



Le vice- secrétaire national du parti Avant-garde pour la rénovation de Madagascar (AREMA), pneumologue, président de l’Académie nationale de médecine de Madagascar et non moins ancien président de l’Assemblée nationale, livre son point de vue sur trois sujets touchant la vie de la Nation.
La Vérité : Quelle est votre idée sur la situation politique actuelle au pays ?
Pr Andrianarisoa : Premièrement, tout doit être bien en ordre si nous irons aux élections. Bon nombre de concertations ont eu lieu avec nos partenaires. Il est temps, à mon avis, de passer à l’acte en toute sincérité. La refonte de la liste électorale est en cours. Ceux chargés de la tâche font de leur mieux. Il nous revient de bien suivre le déroulement du processus. Les doublons ne devraient plus exister. Deuxièmement, concernant les électeurs, chaque citoyen doit posséder la carte d’identité nationale. Je vois que l’administration déploie des efforts dans ce sens. Mais cela s’avère insuffisant. Il devrait y avoir des entités indépendantes qui supervisent l’opération. Le parti Mpitolona ho amin’ny fandrosoan’i Madagasikara (MFM) insiste sur l’usage des cartes d’identité nationales  numériques. Le Gouvernement et les organisations de la Société civile ont intérêt à négocier avec les partenaires pour ce faire. C’est une initiative tout à fait réalisable. A entendre l’annonce du MFM, j’estime qu’il s’agit d’une idée capitale et bénéfique pour toute la Nation. Des représentants des partis se sont échangé des avis. Les moins jeunes ont évoqué les bonnes expériences du passé. Seulement les politiciens sont distraits et les jeunes aussi. Le peuple ne reste pas les bras croisés. L’objectif est de faire profiter de l’intérêt commun à tous et non à vous tout seuls. Les citoyens doivent se donner la main. Il est grand temps de revisiter l’éthique de la solidarité sociale. Le gagne-petit et l’exclusion doivent être bannis de la société. Les partis politiques ont un rôle à jouer à ce propos. Ils ont le devoir d’insuffler des améliorations.
LV : Les jeunes sont justement démographiquement nombreux mais s’intéressent à peine à la politique. Les partis, de leur côté, ne font plus l’éducation du citoyen.
Pr Andrianarisoa : Le parti AREMA en particulier s’efforce d’œuvrer dans ce sens. Selon les statistiques, 51 % de la population à Madagascar a moins de 20 ans. A voir cette réalité, beaucoup de jeunes peuvent prendre la responsabilité. Les partis politiques ont le devoir d’éduquer les citoyens. Education est synonyme de développement. Il ne peut y avoir de développement sans éducation. Tout un chacun doit en avoir conscience. Le développement attend quelque chose de chacun de nous tous. Chacun est responsable de la vie nationale. Il ne faut pas se contenter de regarder et de critiquer si quelque chose ne va pas. La proposition des solutions et leur transformation en actes sont indispensables.
LV : Où en est-il le parti AREMA avec l’année électorale de 2023 ?
Pr Andrianarisoa : Nous l’avons déjà dit à maintes reprises que notre parti présenterait des candidats à toutes les élections : Fokontany, communales, législatives, sénatoriales et présidentielles. Nous avons visité toutes les Régions en 2021 et en 2022. Les idées exprimées s’articulent autour du souhait de voir l’AREMA réussir ses actions.
Propos recueillis par M.R.

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Editorial

  • Une Opposition éreintée !
    L’Opposition politique que le pays a l’honneur ou le malheur de disposer aurait-elle les reins solides ? Apparemment non !En un quart de siècle d’existence, le « Tiako i Madagasikara » (TIM) montre déjà des signes d’usure, de faiblesse. Des rides avant l’heure trahissent le visage de ce parti fondé et présidé, d’une main de fer, par l’ex- magnat du lait, l’ancien Chef d’Etat Marc Ravalomanana dont l’empire économique s’effrite au fil des ans. Visiblement, le poids de l’âge pèse trop sur les épaules de « Ramose ». A soixante-quatorze ans, Ravalomanana peine à suivre le rythme mais il persiste à tenir la barre du parti. Ses lieutenants s’irritent de son entêtement. Mais on n’y peut rien ! Dada est intraitable. Et le déclin semble irréversible.Ibidem pour le « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara » (RMDM), une plate-forme de l’Opposition concoctée par le pasteur Tsarahame et acolytes et…

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