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Les actus en bref

Publié le mardi, 25 octobre 2022

- La célébration du 50eme anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre Madagascar et la Chine a débuté hier. C’est par la tenue d’un colloque intitulé « le 50e anniversaire de la coopération sino-malagasy » que le coup d’envoi de cette célébration a été marqué. La relation entre Madagascar et la Chine a été établie en 1972 après la chute de la 1ère République Malagasy qui entretenait des relations avec les séparatistes de Taiwan et suite à l’ouverture tous azimuts effectuée par le régime du Général Gabriel Ramanantsoa. Durant cette célébration, des inaugurations des infrastructures réalisées avec la Chine seront effectuées.
- Faute d’infrastructures, c’est en plein air que les écoliers de la Commune rurale d’Ejeda (Toliara) étudient. Pire, ils suivent leur cours quotidien par terre à défaut de table d’écolier. « Des Communes dans cette partie du Sud de l’île se trouvent dans la même situation », tient à préciser un natif de la Région.
- Le ministre de la Justice, Rakotozafy François, et une délégation du syndicat des greffiers  se sont rencontrés dans l’après-midi d’hier. Suite à la grève décrétée par ces derniers et qui a chamboulé les différents services  au sein des Tribunaux, le ministère de la Justice a émis des réquisitions et brandit la suspension des soldes. Des mesures qui ont emmené les deux parties à se mettre autour de la table pour trouver des solutions dans le but d’une reprise du travail  des greffiers.



Les pays du nord ne sont pas exempts de responsabilité en termes d’impacts du changement climatique dans les pays les plus touchés par ce phénomène. Madagascar compte ainsi unir toutes les voix des pays victimes du dérèglement climatique pendant la 27ème Conférence des Parties (COP 27) à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui se tiendra à Sharm El Sheikh (Egypte) du 6 au 18 novembre prochain.
En effet, il a été évoqué lors du dernier COP 26 que les pays les plus pollueurs au monde et notamment les pays industrialisés vont dédommager ceux qui sont victimes du changement climatique. Cette compensation pour les pays vulnérables est de 100 milliards de dollars.
La Grande île va pleinement revendiquer « la justice environnementale » lors de ce sommet et compte unir toutes les voix de l’Afrique et des pays victimes du changement climatique à cause des pollutions industrielles des pays du nord. L’Afrique qui ne contribue qu’à 4 % de la totalité des matières polluantes au monde, doit s’unir pour enfin être dédouanée à sa juste valeur. « On va réclamer nos dus lors la 27ème COP qui aura lieu en Egypte du 6 au 18 novembre prochain », a affirmé le secrétaire général du ministère de l’Environnement et du Développement durable, Setraniaina Rajafetra Abraham.
En plus de cette revendication, il a aussi ajouté que « sur le plan national, l’Etat malagasy compte bien mettre en œuvre le programme « Contribution déterminée au niveau national » (CDN). Il s’agit d’un document stratégique axé sur la politique environnementale menée à Madagascar. Il se base surtout sur la transition énergétique, notamment celle de l’énergie fossile vers l’énergie renouvelable. Le projet CDN a un coût estimé à 21 milliards de dollars pour sa réalisation.
Le document indispensable pour se préparer à ce sommet a été présenté hier à Anosy. Il permettra à l’équipe malagasy d’être bien armée pour son plaidoyer. Ce document a été élaboré grâce à la collaboration du ministère de l’Environnement et du Développement durable, du mécanisme d’atténuation du changement climatique REDD+ et de la Fondation Friedrich-Ebert. Ainsi, les observations par rapport aux priorités du pays, les différents enjeux de négociation qui vont être discutés durant la COP, notamment sur l’atténuation, l’adaptation, les pertes et préjudices, le financement, le transfert de technologie et l’augmentation des flux de financement appropriés, ont été recueillis dans ce document.
Nikki Razaf



Dans les Régions nord de l’île, reconnues pour les potentiels miniers en général et aurifères en particulier, les opérateurs sont en effervescence après l’annonce de la reprise des exportations des produits miniers. Raison pour laquelle, le ministre des Mines et des Ressources stratégiques est descendu sur place dans le but de sensibiliser les opérateurs miniers et les orpailleurs de ces Régions. Plus de vingt-cinq mille exploitants en activité sont recensés rien que dans la Commune rurale de Betsiaka, dans le District d’Ambilobe. En considérant que la moitié de la production nationale d’or déclarée légalement provient de cette zone nord du pays, il est ainsi primordial de renforcer la formalisation de ces opérateurs. Faut-il noter que le premier District aurifère du pays à Andavakoera - Betsiaka fait la renommée de la Région de Diana. La Commune de Daraina, dans la Région  de SAVA, est reconnue pour ses richesses aurifères. Sur le sujet, le membre du Gouvernement a exposé, au gouverneur de la Région de Diana et au gouverneur par intérim de la Région de SAVA ainsi qu’aux maires des Communes rurales de Betsiaka et de Daraina, les grandes lignes du projet de décret sur le nouveau régime de l’or et la refonte du code minier. L’objectif du ministère des Mines et des Ressources stratégiques, selon toujours Olivier Herindrainy Rakotomalala, dans ces nouvelles législations est de pouvoir réformer toutes les chaînes de valeur de la filière or, en partant de la formalisation des exploitants et des collecteurs, la perspective de la réouverture de l’exportation de l’or,  ainsi que le rapatriement des devises et la cession sur le marché interbancaire de devises.

Gabegie

Mais cette réforme ne sera pas synonyme de gabegie ou de laisser-aller. Loin s’en faut. Des dispositions ont été mises en place dans les nouveaux textes afin d’encadrer les réformes, a souligné le ministre. Concernant la réforme du code minier, le ministre des Mines et des Ressources stratégiques a souligné, aux élus de ces deux Communes riches en ressources aurifères, l’importance des nouvelles dispositions, qui ont été avancées par les différentes parties prenantes aux séances de consultations, tenues en août dernier, concernant la perception à la source des ristournes minières. Ce nouveau dispositif devrait permettre de renforcer les ressources des collectivités territoriales décentralisées, en l’occurrence les Régions et les Communes. Si le nouveau code entre en vigueur, avec ces nouvelles dispositions, les collectivités pourront disposer des moyens financiers pour entamer son développement. L’initiative a été, en effet, appréciée par les gouverneurs des Régions de Diana et SAVA, et les maires de Betsiaka et de Daraina. Le membre du Gouvernement a pourtant insisté auprès de ces responsables des collectivités sur l’importance de la planification des actions de développement local, afin de pouvoir dépenser les ressources à bon escient, et répondant aux aspirations et besoins locaux en termes dinfrastructures et de développement économique. Ainsi, pour réguler le secteur, il serait plus intéressant d’organiser les exploitants individuels en amont, car si les exportations irrégulières persistent, c’est surtout parce que les exploitants informels sont toujours présents.

Hary Rakoto
 


La nuit du 24 octobre dernier, le détachement de la marine des forces navales de Nosy Be a intercepté un boutre suspect baptisé Toliameva, au large de « Cratère ». En effet, il a transporté 22 personnes, toutes des clandestins, qui ont envisagé de regagner l’île Mayotte en cachette. Si 16 passagers du boutre sont des adultes, six sont des enfants, enfin une femme enceinte. Par ailleurs, il y avait trois membres de l’équipage sur la même embarcation qui a acheminé en même temps 47 bidons d’essence, 6kg de vanille.
Le navire faisait déjà le cap sur Andavatoby, itinéraire obligatoire avant de rallier l’île voisine de Mayotte, lorsque les garde-côtes nationales l’ont arraisonné. Mais on peut dire que l’interception de Toliameva semblait être plutôt fortuite. Car si le détachement marine n’a pas patrouillé cette zone maritime, on peut dire que le Toliameva aurait sûrement pu échapper de la surveillance.
 Sitôt après son arraisonnement, ses passagers ont été conduits auprès du CNRO du détachement marine de Nosy Be tandis que les femmes et les enfants ont bénéficié d’un traitement de faveur car on leur a offert un repas.
Parallèlement à l’arraisonnement de ce boutre, et toujours dans la même nuit, le détachement de la marine a également intercepté une vedette. Les gardes ont découvert 36 bidons remplis d’essence, des vivres ainsi que des boissons alcooliques à son bord. Cette fois-ci, la vedette connue familièrement sous l’appellation de « la Coque », était prévue transporter des clandestins vers les Comores. Mais avant de mettre le cap sur l’archipel comorien voisin, la vedette en question avait d’abord la mission de récupérer des passagers clandestins dans la localité d’Antanetibe.
La Gendarmerie a ouvert une enquête tandis que le détachement de la marine de Nosy Be, qui est sous le commandement du lieutenant de vaisseau Jaoriky Franklin Poton, travaille étroitement avec les autorités mais aussi la population locale, dans la surveillance de la circulation marine et la sécurisation de la Région.
Après un calme trompeur, du moins au cours des deux mois précédents, le phénomène d’immigration clandestine vers les Comores et surtout Mayotte, qui est un territoire français, a repris de plus belle depuis le week-end dernier à Nosy Be. L’île au parfum est, avec Ambanja, ou encore Mahajanga, considérée comme une plaque tournante des trafics d’êtres humains au départ de la Grande-île. Et ce n’est pas les arrestations et autres multiplications des incarcérations qui ont empêché le phénomène de se poursuivre encore. En cause, les commanditaires sont insaisissables.
Franck R.
 



Après avoir déclaré, en fin de semaine dernière, depuis Vangaindrano, que « quand l’AVI s’écarte du pouvoir, il tombe», le président national du parti Asa Vita no Ifampitsarana Norbert Lala Ratsirahonana s’est fendu d’une déclaration hier pour éteindre l’incendie d’une mauvaise polémique.
Le chef de parti au sein de l’Isika rehetra miaraka amin’ny prezida Andry Rajoelina Norbert Lala Ratsirahonana a fait une déclaration hier dans l’après-midi à l’Arena Ivandry où il revient sur ses propos tenus en fin de semaine dernière à Vangaindrano dans la Région d’Atsimo -Atsinanana.
« Quand nous nous écartons d’un pouvoir, il tombe », avait déclaré le  président national du parti Asa vita no ifampitsarana ou AVI, Norbert Lala Ratsirahonana  lors d’une réunion politique de son parti. Des propos qui avaient suscité une levée de boucliers jusqu’au sein de la coalition présidentielle, y voyant une sorte de chantage en direction du régime actuel.
Dans sa mise au point, faite hier, Norbert Lala Ratsirahonana a tenu à remettre les choses dans leurs contextes. « Je tiens à faire une remarque. Il semble qu’une seule phrase a été reprise et relayée. Pourtant, il y a d’autres phrases que j’ai dites avant cette fameuse phrase dans lesquelles je précise que je parle de choses passées et non du présent. J’évoque donc les régimes antérieurs », indique Norbert Lala Ratsirahonana.
Selon lui, il ne s’agit pas « d’un mais de deux ou trois pouvoirs au cours desquels il y des cas de désaccord dans la gestion du pays qui sont apparus et à l’issue desquels l’AVI s’écarte volontairement ». Et lorsque l’AVI quitte un régime, coïncidence ou pas, celui-ci tombe, renchérit le numéro Un des jaunes et bleus. Des propos auxquels certains ont donné une interprétation exagérée.
Plus que jamais soudée
De la même manière, il précise ainsi que lorsqu’il a parlé de la bonne gouvernance et de trafics de ressources naturelles dans le pays à Vangaindrano, il ne s’agit pas de « critiques » mais « un constat ». « C’est un fait et personne ne peut le nier. Ce n’est pas une critique. Ce n’est pas comme si le régime ne prenait pas ses responsabilités. Ce sont des évènements qui se sont produits et il s’agit pour nous d’être vigilants à l’avenir », insiste-t-il.
Cette sortie est en tout cas une réponse aux détracteurs du régime actuel qui, fort des propos de Norbert Lala Ratsirahonana, voyaient un signe d’effritement dans le camp présidentiel. L’ancien Chef d’Etat assure hier d’ailleurs que le ciel est bleu entre l’AVI et l’IRD. « Les affirmations selon lesquelles l’AVI a quitté l’IRD sont fausses. Le parti est pleinement intégré à l’IRD et travaille avec la coalition », a-t-il tenu à clarifier.
Dans sa déclaration, Norbert Lala Ratsirahonana rappelle d’ailleurs que l’AVI a deux représentants au sein de l’actuel Gouvernement. « Il est clair que si l’AVI a deux ministres, il est astreint à une obligation de solidarité avec le régime actuel, et nous respectons cette éthique », assure Norbert Lala Ratsirahonana, dans sa déclaration.
Une déclaration qui a été tenue à l’issue d’une réunion qui a d’ailleurs vu la présence de tous les ténors de la coalition. Pour ne citer que Herimanana Razafimahefa, Christine Razanamahasoa, Hery Rasomaromaka, Augustin Andriamananoro ou encore les chefs de parti  Jean Louis Robinson, Camille Vital, Alexandre Georget et surtout Soja Jean André dit Kaleta (voir encadré). Une manière pour la coalition IRD de montrer qu’elle reste plus que jamais soudée, avant d’affronter les élections de l’an prochain.
L.A.

Soja Jean André dit Kaleta
« C’était un malentendu »
Ceux qui s’attendaient à un rideau de fer qui allait être baissé entre Norbert Lala Ratsirahonana et Soja Jean André dit Kaleta, n’ont eu qu’un écran de fumée vite dissipé. Hier, les leaders de parti au sein de la coalition présidentielle Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina ont tenu une réunion. Une réunion qui a vu la participation du président de l’AVI et du président du Liaraike, deux partis membres de ladite coalition et au cours de laquelle la question qui envenime depuis 48 heures les relations entre les deux hommes en particulier a été abordée. Un signe que la politique des silences n’a pas sa place au sein de l’IRD. Les leaders de la coalition ont tenu à s’expliquer de vive voix pour  ne laisser aucune place à la surenchère. Laconique, le sénateur Kaleta, à l’issue de la réunion d’hier, s’est contenté d’affirmer qu’il se devait de réagir  «en tant que conseiller spécial du Président de la République en charge des questions politiques ». Il dit que suite aux explications apportées par Norbert Lala Ratsirahonana, selon lesquelles il ne parlait pas de l’actuel régime mais des précédents, il n’y a donc pas matière à débattre. Le malentendu est donc levé après 24 heures de boursouflures médiatiques. Depuis le début de la semaine, un coup de chaud a marqué les relations au sein de l’IRD en général et celles entre les deux chefs de parti en particulier.  Le président du Liaraike dans ses propos relayés par la presse avait vivement répliqué aux propos tenus par le président de l’AVI qui disait que si son parti quitte le pouvoir, celui –ci « tombait ». La réunion d’hier signera donc la fin de la brouille, de l’avis des observateurs.



Une somme d’un million de dollars pour accompagner la population victime de la sécheresse et de la famine dans le Sud de Madagascar. Ce fonds, alloué par le Gouvernement japonais, est géré par le Programme alimentaire mondial (PAM). Il a pu couvrir l’achat de 908 tonnes de nourriture.
Parmi ces dons, 432,5 tonnes de riz et de haricots ont été distribués en août et septembre aux personnes en situation d’insécurité alimentaire grave (IPC3) dans 13 Communes situées dans les Régions d’Anosy, Androy et Atsimo-Andrefana ainsi que dans sept Districts, notamment Amboasary-Sud, Ambovombe, Ampanihy, Betioky, Bekily, Betroka, Beloha.
L’aide du Japon vise à prévenir une nouvelle détérioration de la sécurité alimentaire et de la situation nutritionnelle qui pourrait menacer la vie des habitants. La distribution de vivres se poursuivra avec en fonction du stock restant de ce mois d’octobre. Pour la prochaine période de soudure, le PAM a besoin de 66 millions de dollars pour fournir une assistance alimentaire à environ un million de personnes. En parallèle, il continue de mobiliser des ressources pour sauvegarder les moyens de subsistance sur le long terme.
Selon le bilan établi la semaine dernière par la Banque mondiale, 8,8 millions de malagasy se trouvent actuellement dans une situation d’insécurité alimentaire. La situation se tend vers la hausse, notamment dans le grand Sud.
En se basant sur le Cadre intégré de classification alimentaire (IPC), la Banque mondiale estime que plus de deux millions de malagasy connaîtront probablement un niveau d’insécurité alimentaire aiguë entre le mois de décembre de cette année et le mois de mars 2023. En outre, 284.600 personnes se trouveront dans une situation d’urgence.
En rappel, le Gouvernement du Japon réaffirme son soutien aux populations affectées par la sécheresse dans le Sud. Environ 39.000 personnes en situation d’insécurité alimentaire aiguë ont été appuyées dans les Districts les plus touchés par la sécheresse, notamment Amboasary-Sud et Ambovombe. Cela consiste à une remise de dons composés essentiellement de riz, en complément des autres denrées alimentaires. L’année dernière, le Japon a fourni une aide alimentaire d’urgence d’une valeur de 3 millions de dollars américains, en réponse à l’« Appel éclair ».
Recueillis par A.R.

LA UNE DU 25 OCTOBRE 2022

Publié le lundi, 24 octobre 2022

Le président de la ligue Analamanga et nom moins président fondateur du club champion de Madagascar en titre Henintsoa Rakotoarimanana alias Tôta s’acquiert un nouveau casque. Car, le chef magistral de la Commune Urbaine d’Andoharanofotsy vient d’être élu par les membres du CFEM (Club de football Élite de Madagascar) par les membres ce week-end dernier à l'issue d'une assemblée élective tenue à Mahamasina. Il dirigera donc l’association organisateur du championnat de Madagascar division Élite durant les trois années à venir 2022-2025. Le président sortant Arno Steenkist, président du club Fosa Junior Boeny, est réélu premier vice-président par les membres et Laurent Randrianirina est reconduit comme deuxième vice président. Six prétendants  étaient candidats à ce poste.

 

« La qualité de l'air pourrait devenir malsaine pour tout le monde et les personnes sensibles pourraient subir des effets plus graves sur leur santé ». Zo Andrianina Rakotomavo, chef de service des recherches hydrométéorologiques auprès de la Direction générale de la météorologie (DGM) nous avertit sur ces propos. Autrement dit, la pollution de l'air risque de s'empirer avec la situation actuelle, au détriment de la santé publique. La qualité de l'air est malsaine depuis le début de ce mois d'octobre, notamment à cause des feux de brousse, les fumées dégagées de la cuisson des briques d'argile ou encore les incendies de toute part, y compris celui qui se déroule à la décharge d'Andralanitra.

« Observez votre poitrine tous les jours. Palpez-vous quotidiennement. Cela doit être une habitude chez la femme dès l’âge de 30 ans. C’est gratuit et c’est facile à faire ». Dr David Khelif, oncologue radiothérapeute au sein de la Polyclinique d’Ilafy, le recommande. « L’observation de la poitrine et l’autopalpation constituent les premiers gestes à adopter, lesquels pourraient vous sauver la vie. En fait, un nodule en dessous d’un centimètre constaté à temps peut être guéri à 100 %, avec une poitrine intacte et un coût onéreux. Si le dépistage est tardif, vous risquez de perdre votre sein malgré un traitement coûteux, alors que les étapes de guérison ne sont pas entièrement garanties », ajoute ce spécialiste. 

 

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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