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Ajournée. Suite au passage du cyclone Batsirai dans la Grande île, l’organisateur de l’événement annuel « Mihamy Mada Fashion », notamment le ministère de la Communication et de la Culture (MCC), a décidé de reporter la manifestation. Et pour cause, les locaux du Palais des Sports à Mahamasina où Mihamy Mada Fashion devrait se dérouler sont encore occupés par les sinistrés de la Capitale.

Après les Régions de Vatovavy et de Fitovinany lundi, la visite du couple présidentiel dans les Régions touchées par le cyclone Batsirai s'est poursuivie hier dans la Région d'Atsimo -Atsinanana et dans la Haute Matsiatra. La délégation menée par le Président de la République et son épouse s'est rendue à Farafangana dans la matinée. Ce District a été frappé de plein fouet par le cyclone. La montée des eaux a fait de nombreux sinistrés. Les infrastructures routières, les bâtiments publics, les habitations privées, paient un lourd tribut du passage de la tempête. Les rizières et zones cultivables portent également des séquelles des eaux emmenées par le cyclone. 

Des Nations unies aux élus du bureau communautaire du Territoire de la Côte Ouest (île de La Réunion) en passant par la Suisse, l’international ne reste pas de marbre pour venir en aide à Madagascar suite au passage destructeur et meurtrier du cyclone Batsirai.

Nations unies 

« Les Nations unies et leurs partenaires ont livré une première aide aux victimes du cyclone tropical Batsirai à Madagascar tandis que le service aérien humanitaire de l'organisation procédait à une évaluation des besoins », a déclaré lundi un porte-parole de l'ONU. La première évaluation aérienne a eu lieu lundi via un vol du service aérien humanitaire de l'ONU, a indiqué Farhan Haq, porte-parole adjoint du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. "D'autres évaluations des besoins effectuées par des équipes sur le terrain suivront pour une vue d'ensemble plus complète afin d'informer les priorités de réponse dans les jours à venir".

Suisse

La Suisse apporte son aide à la population de Madagascar durement touchée le week-end dernier par le cyclone Batsirai. Cinq spécialistes du Corps suisse d'aide humanitaire sont partis dimanche pour l'île et deux tonnes de matériels seront envoyés ces prochains jours.

Face à l’ampleur des besoins, la Suisse déploie une équipe de cinq spécialistes du Corps suisse d’aide humanitaire, rattaché au Département fédéral des affaires étrangères, dont trois expertes en eau et en assainissement, a indiqué lundi le DFAE. La confédération a déjà débloqué 300 000 francs pour l'aide d'urgence. L'engagement pourra être adapté selon les besoins.

Par ailleurs, plus de deux tonnes de matériels seront expédiés depuis la Suisse dans les jours à venir. Cette cargaison se compose essentiellement d’équipements pour l’analyse, la désinfection et la distribution de l’eau potable. L'aide suisse sera coordonnée avec celle de l’ONG Medair, avec laquelle des projets antérieurs sont déjà en cours.

Ile de La Réunion

Le président du département de l’île de La Réunion, Cyrille Melchior, a rencontré la consule de Madagascar, Marie-Yolande Razanamalala au Palais de la Source. Une aide sera allouée à la Grande île, dans un premier temps pour les produits de première nécessité précise Cyrille Melchior. Cette aide d'urgence sera examinée sous la forme d'un rapport en commission permanente. Le montant y sera présenté au même moment. 

Le département renouvellera son soutien à Madagascar si la situation le demande. "S’il y a des mesures de reconstruction, plus lourdes à engager, nous accompagnerons de nouveau Madagascar sous l’égide de la plateforme de coopération avec l’Etat, la Région et le département", note Cyrille Melchior. Cette action doit être "concertée" souligne le président du conseil départemental car "Madagascar est un grand pays, et la zone impactée est vaste".

Cette action concertée le sera également avec d'autres acteurs, comme la Piroi et la Croix-Rouge. "J'ai eu dans un premier temps le préfet pour aborder le sujet. Il y a une plateforme de coopération qui associe l'Etat, la Région et le département et toutes autres collectivités qui souhaiteraient y participer", précise Cyrille Melchior. Dans la même foulée, les élus du bureau communautaire du TCO ont pris la décision de voter une motion de soutien attribuant une aide exceptionnelle de 20 000 € à Madagascar pour les dégâts causés par le cyclone Batsiraï.

Commission européenne

La Commission européenne fournit une aide d'urgence à la population malagasy après que le puissant cyclone Batsirai a balayé la côte est de l'île, le 5 février 2022.

Une première équipe, composée de cinq experts de la protection civile venant de France, de Finlande et de Suède, ainsi que d'un officier de liaison de la commission, se rassemble actuellement en vue de se rendre dans les zones touchées dans le courant de cette semaine, indique un communiqué de presse de la commission européenne publié lundi.

Formés à la coordination des urgences, les membres de l'équipe apporteront leur solide savoir-faire, notamment en matière de logistique humanitaire, d'eau, d'assainissement et de soins de santé. L'équipe de l'UE évaluera l'ampleur et la gravité des besoins immédiats et des principaux défis opérationnels en vue d'orienter la réaction d'urgence de l'UE. 

Compte tenu du peu d'options de voyages disponibles sur les lignes aériennes commerciales, l'UE garantira l'arrivée de l'équipe dans les délais impartis au moyen d'un vol organisé au titre du pont aérien humanitaire de l'UE. Le premier vol devrait arriver à Madagascar le 9 février 2022. Un coordinateur de la réaction rapide au niveau régional a également été déployé à Madagascar afin d'apporter son aide à l'évaluation des besoins et défis immédiats.

Recueillis par la Rédaction

LA UNE DU 09 FEVRIER 2022

Publié le mardi, 08 février 2022

La une du 8 février 2022

Publié le lundi, 07 février 2022


Innovation. Pour ne pas avoir recours à l’amateurisme ou au népotisme, depuis le 2 février dernier, un appel à candidatures pour le poste du futur directeur général du bureau de l’Office Malagasy du Droit d’Auteur (OMDA) apparaît dans sa page de réseau social Facebook et dans différentes presses locales. Contrairement aux démarches entreprises du temps des anciens dirigeants, ce ne sera donc pas le ministère de tutelle de cette institution, qui nommera le nouveau DG de l’OMDA. Le ministère de la Communication et de la Culture a choisi cette fois-ci d’emprunter un autre chemin, celui de faire un appel à candidatures.
Cet appel à candidatures reflète parfaitement les notes publiées sur l’annonce comme quoi : « le nouveau directeur général à ce poste aura comme principales missions de mener la grande réforme initiée par le ministère afin de garantir une répartition juste et équitable des redevances d’auteurs et des droits voisins, c’est-à-dire assurer à titre exclusif sur tout le territoire national et à l’étranger… Accomplir toutes activités et opérations de nature à promouvoir le développement culturel et artistique se rapportant à la propriété littéraire et artistique, réaliser les objectifs de l’OMDA… ». Des raisons pour lesquelles cette recherche d’un nouveau directeur général passe avant l’élaboration des projets initiés par le ministère de la Culture et de la Communication.

Amical
Ainsi, l’ancien directeur Haja Ranjarivo a été donc limogé de ses fonctions. « Pour autant que je sache, la décision du Conseil des ministres a commencé le mercredi 2 février et j'ai été suspendu en tant que directeur général de l'OMDA. Comme tous les fonctionnaires, il y a des nominations et il y a des licenciements. Désormais, je ne serai plus à la tête de cette institution. Si on fait appel de nouveau à moi, je serais toujours prêt à partager mes expériences, même avec le nouveau nommé car ce qui compte, c’est le bien des artistes malagasy », a déclaré l’ancien DG.
Pour les intéressés, les informations concernant le dépôt des dossiers sont visibles sur la page Facebook officielle du MCC. Les candidatures féminines sont vivement encouragées. Au sujet des problèmes liés aux infrastructures de Faravohitra et les risques d’effondrement même de l’établissement, un nouveau  bâtiment sera aménagé comme bureau provisoire de l’OMDA. Bref, avec cette nouvelle démarche, le ministère de la Communication et de la Culture compte remettre le bureau de l’OMDA sur les rails en apportant des innovations en faveur des artistes malagasy. L’ancien directeur, Haja Ranjarivo, quant à lui, a déclaré qu'il accepte l’alternance.
Sitraka Rakotobe


13 ans après la tuerie d’Ambohitsorohitra qui a fait état d’une vingtaine de morts et plus de 200 blessés, les « Miaraka Amin’i Prezida Andry Rajoelina » et les partisans de la lutte populaire de 2009 poursuivent les commémorations, à Ambohitsorohitra. Comme chaque année,  sénateurs et députés pro-régime, membres de l’Association des victimes du 7 février, se sont donnés rendez-vous hier sur le lieu de la tragédie pour un dépôt de gerbes. Les partisans « Orange » se sont présentés devant la stèle commémorative du 7 février qui se trouve devant le Palais d’Ambohitsorohitra pour une cérémonie de dépôt de gerbes, en mémoire des martyrs. Comme il est presque devenu une tradition, la couleur blanche a été désignée comme « dress code », une couleur devant représenter la pureté du cœur et de l’esprit.
En déplacement dans la partie sud est du pays, pour constater de visu les dégâts du cyclone Batsirai et apporter son soutien et des aides aux victimes de cette catastrophe naturelle, le Président de la République n’a néanmoins pas oublié cette date du 7 février. Dans une publication sur les réseaux sociaux, le président Andry Rajoelina a réitéré que les martyrs et les victimes de cette lutte contre la dictature ne seront jamais oubliées.
Alors que le pays fait face ces dernières semaines aux conséquences dévastatrices des intempéries, le Chef de l’Etat a tenu à envoyer un message de détermination et s’engage à tout mettre en œuvre pour poursuivre le chemin de l’émergence de Madagascar. « Les efforts et la lutte menée par nos martyrs ne seront pas vains », a-t-il déclaré. Et de soutenir dans la foulée : « C’est en ce sens que nous poursuivrons la lutte pour le redressement et le développement de notre chère patrie ».
Christine Razanamahasoa, présidente l’Assemblée nationale, d’abonder dans le même sens. Durant la commémoration d’hier à Ambohitsorohitra, l’élue d’Ambatofinandrahana de mettre en avant les acquis de la lutte notamment en terme de développement de la démocratie. La pratique politique ou encore la liberté d’expression également dit-elle ont évolué suite à la lutte menée contre la dictature à l’époque. Des acquis à préserver, dit-elle, martelant la nécessité de poursuivre le mouvement.
Lalaina A.




Méchant mais … !

Publié le lundi, 07 février 2022

Bien qu’Analamanga soit quelque peu épargnée, d’autres ont subi des frappes en pleine figure des rafales de vents et de pluies.
Fausse alerte ? Compte tenu de sa trajectoire initiale à partir des images satellites, le cyclone tropical « Batsirai » devait traverser la Grande île de la côte Est (Vatomandry – Mahanoro – Mananjary) vers le Sud-ouest (Tuléar) en traversant Fianarantsoa tout en passant à proximité des Régions du Vakinakaratra, d’Analamanga, d’Itasy, etc. Selon les prévisions des services de la Météo, « Batsirai » sera un cyclone très puissant et dangereux plus que « Ana ». Une menace potentielle pour l’ensemble du pays. Ceci étant, l’alerte maximale a été lancée. Toutes les Régions concernées  par le passage de « Batsirai » dont Analamanga ont toutes été placées en « alerte rouge ». Une sage décision en vue d’une prudence maximale ! Rappelons que le cyclone tropical « Ana », ayant pris au dépourvu les responsables qui n’ont pas su anticiper, a ravagé et tué des hommes. Pour certaines Régions comme Analamanga et Itasy ce fut plus de peur que de mal ! N’aurait-on pas surestimé la puissance de frappe de l’aléa climat climatique dans certains endroits. Suspendre les cours des élèves dans la Région d’Analamanga a été tout de même une disposition de trop ! « Batsirai » n’était pas si méchant que ça ! De toute manière, on n’est jamais trop prudent. La prudence, mère de toutes les vertus. Mieux vaut se préparer qu’être pris au dépourvu.
Par contre, dans le Sud-est en passant par le Centre sud et débouchant sur le Sud-ouest du pays, ce fut l’apocalypse ! Le cyclone tropical « Batsirai » s’est déchaîné sur au moins au cinq Régions et laissant des dégâts innommables tant en vies humaines que matériels. Le bilan provisoire cause des frissons dans les esprits et fond les cœurs : 11 décès et au moins 48.000 déplacés sinon sinistrés. Les infrastructures administratives, scolaires et sanitaires se trouvent en piteux état. Des villes assumant une responsabilité administrative et économique dans la Région comme Mananjary est méconnaissable. Elle a été détruite presque à 100 %. Méchant, c’est l’adjectif qualificatif qui illustre exactement le « comportement » de « Batsirai ».
Mais à quelque chose malheur est bon ! Les catastrophes gravement destructives plongeant le pays dans l’adversité inhumaine éveillent souvent en nous le sentiment national. Une mobilisation nationale grâce à la culture d’entraide héritée de nos Ancêtres à travers le « Fihavanana » s’ensuit  naturellement. Le Président Rajoelina fait appel à quelque chose qui existe déjà en chacun de nous seulement il fallait le bousculer un peu. La solidarité nationale s’active dans des circonstances de ce genre. Les entreprises privées par le biais de la RSE se mobilisent également.
Il ne faut pas oublier aussi que les intempéries provoquant des précipitations amènent de l’eau là où on en a besoin. Le cas dans le Sud.
Le cyclone tropical « Batsirai » pousse le pays dans la tourmente totale. Des vies et des biens ont été détruits mais il ne s’agit nullement pas d’une malédiction en soi. Il éveille en nous notre sentiment d’appartenance à une Nation et entretient le sens de la solidarité nationale. Gages de la réussite du pays !


Suspectée d’avoir la Covid -19, la judokate de 21 ans n’a pas pu prendre part au prestigieux tournoi international qui s’est déroulé le samedi 5 et 6 février derniers. Pourtant, c’est la première fois qu’elle allait participer au tournoi sous les couleurs de Madagascar. Toutefois, elle n’a rien à regretter. Celle-ci a encore un meilleur avenir devant elle. Rappelons que la binationale a participé, pour la première fois, au championnat de France l’année dernière et elle a terminé quatrième de la compétition.
« Comme vous avez pu le constater, je n’étais pas présente sur le tatami, hier, car lors du passage au contrôle sanitaire, mon test PCR a révélé une suspicion de Covid-19 ce qui par conséquent m’interdisait de me présenter à la compétition. Je tenais quand même à vous remercier pour tous vos messages de soutien et d’encouragement. Je ne me laisse pas abattre ce n’est que le début !  On se retrouve bientôt pour de nouvelles compétitions », a-t-elle souligné. A noter que la judokate malagasy expatriée a participé au tournoi de Bercy.
Quant à son compatriote Rico Maminirina Andriamanantsoa, il a pu faire son premier pas sur le tatami du Grand Slam sous la houlette du coach et judoka Fetra Ratsimiziva.
Un premier pas pour Rico, ce judoka de 29 ans, dans la cour des grands. Mais, il a été sorti au premier tour par l’Italien Basile Fabio dans sa catégorie des moins de 73 kg de la poule C, un habitué du circuit mondial par ippon. Son bourreau a terminé 5ème à la fin de la compétition pour les moins de 73kg. Une épreuve majeure du calendrier international qui réunit la plupart des grands champions mondiaux. La compétition a réuni 285 judokas issus de 52 nations des 5 continents.
Rappelons que Rico a terminé 5e au championnat de France militaire et 6e aux championnats du monde de Jiu jitsu en 2015.
Recueillis par E.F.



Choquant ! Scandaleux ! Le quartier d’Ambodivonkely Ambohimanarina était le théâtre d’un kidnapping vers 13h, hier. Ce qui déroute le plus dans cette affaire, c’est que la victime n’est pas un adulte, comme on a l’habitude de le constater dans un passé récent, mais plutôt un petit garçon de 3 ans répondant au nom de Divan Riwan, selon la Police. C’est le fils d’un homme d’affaires d’origine indopakistanaise de la place mais de nationalité française, selon une source. Le petit est vêtu d’un t-shirt gris et d’un pantalon noir. Ses geôliers, au nombre de cinq, étaient cagoulés et armés. IIs ont circulé sur trois motos dont un Cross et deux scooters. L’un de ces derniers est de marque Jog, l’autre une Bws. Le kidnapping est survenu peu après la sortie des classes et juste à un moment où la voiture qui a transporté le gosse était sur le point de pénétrer dans l’enceinte de la société baptisée S. appartenant à ses parents sise dans ce quartier. “Tout s’est passé très vite et personne n’a pu rien faire lorsque les ravisseurs sont passés à l’action pour menacer à la fois le conducteur avec leurs armes de poing tout en s’emparant par la force de l’enfant, qui était alors totalement à leur merci !”, confie une source.
Une fois que les bandits ont alors eu le petit otage entre les mains, ils ont pris rapidement la poudre d’escampette à bord de leurs scooters, en fonçant en direction de Tsarasaotra à Alarobia, selon une source auprès du collectif des Français d’origine indienne de Madagascar ou CFOIM. Mais dans sa trop grande précipitation, le pilote de l’un des scooters a négocié maladroitement son virage situé à la hauteur de la société Soam, c’est-à-dire à une centaine de mètres du point où l’enlèvement a eu lieu. Résultat, le deux-roues a fait une sortie de route pour foncer contre un mur, envoyant ainsi ses deux occupants paître sur le sol. Le moteur s’est éteint. A plusieurs reprises, le pilote a tenté de le relancer, mais en vain ! Le moteur refuse simplement de démarrer. “De crainte d’être cueillis comme des fruits mûrs, les deux malfaiteurs s’étaient alors comportés de façon surprenante, abandonnant ainsi sur place l’engin. Ils ont rapidement hélé un taxi-be de la ligne 194 qui était passé par le hasard des circonstances dans le secteur avant de disparaître dans le flot de la circulation quelque part, sans doute pour rejoindre probablement leur planque là où leurs trois autres acolytes détenaient déjà le petit otage”, précise notre source.
Depuis, les traces du petit garçon semblent être perdus. De même, ses geôliers n’auraient pas encore réclamé une rançon contre sa liberté. Hormis la promesse d’une très forte récompense et un appel à témoin que les proches de la victime ont fait circuler sur les réseaux sociaux, on ignore toutefois s’ils ont instruit une plainte pour enlèvement ou non. “Nous ne sommes pas en mesure de répondre à ce genre de question. Seules les Forces de l’ordre sont habilitées à le faire”, continue-t-elle. A propos, les services de Police tels que le commissariat du 8e Arrondissement, l’unité d’intervention rapide (UIR), l’unité d’intervention spéciale (UIS) ou encore la Force d’intervention de la police (FIP) poursuivent encore leurs recherches, dans le cadre de l’enquête sur ce kidnapping. A la lumière de cette situation, les ravisseurs entendent faire reparler d’eux, du moins pour la première fois, et seulement pour l’année 2022, après une assez longue période d’inertie, sans doute par crainte des réactions des Forces de défense et de sécurité. En effet, le Gal Richard Ravalomanana, du temps où il fut encore le secrétaire d’Etat à la Gendarmerie, a promis le pire au réseau de kidnapping du pays tant qu’il était encore en plein exercice de ses fonctions.
Franck R.

 

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

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