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Le ministre de la Défense nationale, le Général Léon Richard Rakotonirina, dément les informations parues dans le journal Le Monde récemment affirmant que l’avion Casa CN-235 acheté en2019 par l’Etat malgache aurait été repris par la société qui l’a vendu. « L’avion appartient à l’Etat malagasy », a affirmé le Général de corps d’armée, en marge de la cérémonie de passation de la Gendarmerie nationale au Stade Barea à Mahamasina.

 

LA UNE DU 18 SEPTEMBRE 2021

Publié le vendredi, 17 septembre 2021

La une du 17 septembre 2021

Publié le jeudi, 16 septembre 2021


Souvenons-nous qu’un agent de la circulation de 30 ans a trouvé la mort de façon tragique mardi dernier à un carrefour d’Ampasampito. Une voiture break de marque Opel Sintra, conduite par une femme de 40 ans, a foncé tout droit sur la guérite dans laquelle le policier se tenait. Le choc fut particulièrement violent que la guérite fut projetée au moins un mètre plus loin, l’agent des Forces de sécurité avec. Le malheureux fut grièvement blessé et a finalement succombé des suites de ses blessures à l’HOMI de Soavinandriana. Hier, les choses se sont précipitées. L’enterrement de la victime, sauf un imprévu, aurait dû s’effectuer normalement dans son caveau familial à Faratsiho, selon une source policière. Mais avant cela, il y eut une cérémonie militaire à titre posthume pour un adieu ultime et les honneurs attribués à ce policier mort en plein exercice de sa fonction, au commissariat central, hier.
Pendant cela, la conductrice en cause se trouverait encore sur les lieux, en vue de la poursuite de l’enquête, selon toujours cette source. Interrogée sur le sort qui attendra la dame dans cette affaire, la Police s’est contentée seulement d’affirmer que seule l’enquête en cours permettra de savoir la prochaine procédure à suivre.
Notons que la victime fut un sortant de l’école nationale des inspecteurs et des agents de police à Antsirabe. Laissant derrière lui une veuve éplorée ainsi qu’un orphelin d’à peine 7 mois, il a travaillé au sein d’une compagnie urbaine de la circulation, service au sein duquel il fut donc dernièrement fauché par la mort dans des circonstances particulièrement dramatiques.
F.R.


Famine dans le Sud, changement climatique, Covid-19. Tels sont les principaux sujets brûlants d’actualités concernant Madagascar qui pourraient certainement être au cœur du discours du Président Andry Rajoelina à la tribune des Nations unies à New York.  Des sujets qui ont beaucoup fait parler de la Grande île dans le monde durant ces deux dernières années. Madagascar figure, en effet, parmi les 196 Etats membres des Nations unies qui seront représentés à la 76ème Assemblée générale ayant déjà débuté officiellement mardi dernier et ce jusqu’au 30 septembre à New York, aux Etats – Unis. Le Chef de l’Etat malagasy sera à la tête d’une délégation restreinte prévue quitter le pays en fin de semaine pour participer à cette réunion mondiale.
Le numéro un malagasy s’exprimera ainsi à la tribune onusienne pour la première fois en tant que Président élu. Andry Rajoelina a toutefois déjà été invité à ce sommet mondial durant la Transition. Pour le moment, la date exacte prévue pour la prise de parole du Président malagasy n’a pas encore été dévoilée. En revanche, le débat général incluant les dialogues de haut niveau entre les chefs de délégation est programmé pour le 21 jusqu’au 27 septembre. En tout cas, l’AG constitue un rendez – vous unique pour chaque Chef d’Etat de s’exprimer sur la situation de son pays, de faire un plaidoyer ou de partager diverses expériences sur les avancées en matière de développement, de droits humains ou de démocratie.
Miser sur la résilience et l’espoir
 L’Assemblée générale est la principale instance d’élaboration des politiques des Nations unies. « Renforcer la résilience et redonner espoir, afin de se relever de la Covid-19, reconstruire durablement, répondre aux besoins de la planète, respecter les droits des personnes et revitaliser l’Organisation des Nations unies », tel est le thème retenu pour cette 76ème session. Cet espace de discussion multilatéral unique permet aux Etats membres de débattre autour de plusieurs questions internationales couvertes par la Charte des Nations unies, telles que le développement, la paix et la sécurité, le droit international, entre autres.
Mercredi dernier, le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres a exhorté les gouvernements à « élaborer et cultiver de bonnes pratiques de gouvernance dans les situations d’urgence » dans le domaine de la santé publique, l’environnement et les finances. Dans ce même message lancé à l’occasion de la journée internationale de la démocratie célébrée le 15 septembre, le numéro un de l’ONU a préconisé qu’il faut « tirer les enseignements de ces 18 derniers mois pour faire en sorte qu’à l’avenir, en période de crise, la démocratie soit plus forte ».
Sandra R.

Ouvrir ou ne pas ouvrir !

Publié le jeudi, 16 septembre 2021

Ouverture ou non des frontières ? Le débat focalise les esprits. Les yeux du citoyen lambda aux Groupements d’opérateurs (GEM, FIVPAMA, CTM, etc.) sont tournés vers Anosy (Ministère des Affaires étrangères). Les réunions s’enchainent, réunissant autour de la table les autorités compétentes à savoir le ministre des Affaires étrangères, le ministre du Tourisme et le ministre de la Santé publique ainsi que les représentants desdits Groupements d’opérateurs dont les activités ont des liens directs ou indirects avec l’ouverture des frontières.
A l’hippodrome de Longchamp (Paris), lors de la REF, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina laissa entendre clairement l’éventualité de l’ouverture progressive des frontières dans le courant du mois d’octobre en espérant vivement que la situation de la pandémie continue de s’améliorer dans la Grande île. Inutile de supposer que les potentiels investisseurs présents à Longchamp ont pesé de tout leur poids pour obtenir du numéro Un du pays la possibilité d’ouverture dans un avenir proche.
L’on sait que les professionnels du tourisme, en particulier, s’impatientent de voir les portes de la Grande île s’ouvrir enfin. Les deux ans de l’état d’urgence sanitaire signent sans appel le coup d’arrêt de leurs activités à tel point que tours opérateurs, hôteliers, les agents du guidage et bien d’autres acteurs à la base ont dû se contenter des miettes voire du néant. Ils sont donc pendus à la décision, « ouvrir ou ne pas ouvrir » des frontières, du groupe de travail dirigé par le chef de la diplomatie malagasy Patrick Rajoelina.
Le dernier rapport présenté par le CDC (Center for Disease Control and Prevention) en substance l’agence médicale fédérale américaine, place Madagasikara dans le top 30 de pays à faible risque Covid-19. Il y a de quoi à raviver les espoirs et les attentes !
On ne peut pas envisager les effets pervers d’un éventuel statu quo sur le sort réservé aux frontières. Continuer à fermer le pays sera un coup fatal pour des milliers et des milliers d’acteurs de l’économie nationale qui nourrissent directement ou indirectement le secteur du tourisme à Madagasikara. Un secteur porteur et générateur de profits !
Evidemment, il y a toujours des risques à prendre. Mais, il appartient à chacun et aux autorités étatiques responsables de mettre en place toutes les mesures à prendre dont entre autres la campagne nationale en vue de vulgariser les vaccins. A ce rythme où la couverture vaccinale est encore parmi la plus faible en comparaison avec d’autres, il fallait s’attendre effectivement à un risque à courir. Le ministère de la Santé doit redoubler d’intensité et d’efforts dans la mobilisation générale. Qu’on se le dise que l’arrivée en masse de passagers de l’extérieur n’est pas sans danger. Mais est-ce une raison pour condamner à … mort ce secteur qui, depuis toujours, fait le nécessaire pour alimenter en devises la réserve nationale et garantir des emplois directs et indirects dans un pays en difficulté comme Madagasikara. Un avantage non négligeable pour redresser au plus vite le pays après ce cataclysme provoqué par la Covid-19. Mais, il n’y a pas que le tourisme, l’ouverture du pays au monde extérieur contribue certainement au développement de tous.
Ouvrir ou ne pas ouvrir nos portes ! C’est une lourde responsabilité qu’il faudra oser assumer.
Ndrianaivo


Le retour au quotidien (avant la pandémie de Covid-19) se fait sentir petit à petit. Depuis la levée de l’état d’urgence sanitaire, tout le monde, plus particulièrement les opérateurs économiques, s’active pour donner un second souffle à l’économie du pays, qui a considérablement dégringolé, depuis l’année dernière. Certains restent encore sur la réserve. Tandis que d’autres ont marqué leur retour avec la 15ème édition de la Foire internationale de Madagascar qui se déroule actuellement, au parc des expositions Forello à Tanjombato. Axé sur le redémarrage économique et la préservation de l’environnement, cet événement entend favoriser une reconnexion des entreprises avec leurs clients mais aussi entre les entreprises elles-mêmes. Nouvelles offres, conférences sur les nouvelles solutions à mettre en place, signatures de convention de partenariat, etc. Un programme particulièrement enrichissant pour l’économie du pays. 

La 15ème édition de la Foire internationale de Madagascar a ouvert ses portes hier. « La Covid-19 a malmené le secteur privé au cours des derniers mois, c’est pourquoi nous nous attelons aujourd’hui dans la recherche de solutions. L’organisation de cette manifestation figure parmi ces solutions. Nous démontrons à cette occasion notre solidarité et notre volonté à redresser et à développer notre pays» a soutenu Michel D. Ramiaramanana, président du comité d’organisation de l’événement. Cette solidarité s’est particulièrement ressentie par l’enthousiasme autant des visiteurs que des participants, sans oublier les acteurs du public et du privé, et ce dès le premier jour. Et les organisateurs espèrent que cet enthousiasme continue pour les prochains jours, et que d’ici dimanche, des résultats palpables et des solutions concrètes seront identifiés. Pour l’heure, place aux échanges ! 
Industrie pharmaceutique : Vaniala s’associe à Pharmalagasy
Pour la valorisation de la pharmacopée traditionnelle malagasy. C’est dans cet état d’esprit que Vaniala et Pharmalagasy ont signé une convention de partenariat, hier, à l’occasion de la première journée de la FIM. « Cela fera un an que la Pharmalagasy a débuté ses activités. Et aujourd’hui, nous souhaitons étendre nos collaborations avec les différents acteurs du secteur parce que nous savons tous que l’union fait la force. L’idée étant de rallier tous les acteurs vers une même cause : développer l’industrie de la pharmacopée traditionnelle malagasy. Vaniala est donc la première entreprise avec qui nous avons travaillé. Mais d’autres collaborations s’en suivront» explique Pierre Raoelina, directeur général de l’industrie en marge de la signature. Cette première collaboration se traduira donc par le conditionnement et la production en grande quantité des remèdes naturels améliorés élaborés par Vaniala. « En quelques temps, nous nous sommes rendus compte du professionnalisme dont Pharmalagasy a fait preuve. C’est pour cette raison que nous sommes là aujourd’hui. Dans tous les cas, pour la partie mise au point, les analyses et les tests resteront de vigueur pour offrir des produits de qualité aux consommateurs mais surtout aux malades » rajoute le docteur Johasy Ramamonjy Yañez, représentant de Vaniala et directeur du centre médical JCR, un centre spécialisé dans la combinaison de la médecine générale et conventionnelle avec la médecine alternative et traditionnelle. A la suite de cette signature, des actions communes seront donc menées ultérieurement.
Airtel: « L’industrie télécom pour la relance économique »

« Nous contribuons à hauteur de nos moyens et compétences pour la relance de l’économie après la crise sanitaire » c’est de cette manière qu’Anna Ratsimbarison, communication and sponsorship manager chez Airtel Madagascar a décrit la participation du troisième opérateur mobile mondial à la Foire internationale de Madagascar qui se déroule présentement au Forello Expo Tanjombato. L’évènement qui revêt d’une importance particulière dans le cadre de cette vague de relance économique qui s’amorce petit à petit. En effet, la foire est considérée comme étant un catalyseur d’opportunités pour les acteurs économiques locaux, afin de transformer Madagascar en un épicentre majeur de l’économie africaine et est ainsi une occasion pour le public de découvrir l’excellence et la pluralité des offres et services d’Airtel Madagascar. Proposant plusieurs axes de visibilité aux visiteurs professionnels et particuliers dont la perspective d’un « Go Green », l’événement cadre ainsi avec l’engagement de l’opérateur en faveur du développement durable. « Nous agissons surtout sur l’amélioration de la productivité en offrant des solutions de connectivité et de collaboration dont le caractère indispensable est mis en évidence à ce jour par le contexte de pandémie mondiale qui serait encore plus difficile à vivre sans la télécommunication. Nous soutenons également ce secteur en offrant la solution Airtel Money comme moyen de paiement des produits par le client et aussi comme canal de paiement des salaires des employés du secteur secondaire », rajoute la responsable d’Airtel. Installé à Madagascar comme investisseur continu et confiant, Airtel est à ce jour présent dans toutes les Régions du pays. En ce qui concerne la croissance économique, la télécommunication travaille bel et bien de concert avec tous les secteurs que ce soit primaire, secondaire ou tertiaire en ce sens qu’elle est promotrice de la digitalisation des canaux de communication voire de paiement entre le producteur et le consommateur et aussi entre l’employeur et l’employé améliorant par conséquent la productivité globale du secteur secondaire avec un impact positif sur l’économie du pays.
Dossier réalisé par Rova Randria et Hary Rakoto


Engagement tenu. La ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo et ses collaborateurs au niveau de l’Office de radio et télévision de Madagascar ont effectué une descente à Ambatolampy. L'occasion pour le numéro un du département ministériel de la Communication de faire un constat de visu de l’état d’avancement des travaux de réhabilitation de l’immeuble abritant la TVM et la RNM mais également pour remettre des équipements à ses deux stations publiques. Promesse de la ministre lors d’un précédent déplacement dans cette localité de la Région du Vakinankaratra il y a quelques semaines, les équipements remis comprennent des émetteurs TV et FM haute fréquence ainsi qu’un stabilisateur, une antenne TV et radio, un moniteur audio, un moniteur TV, un mélangeur vidéo, une table audio, des caméras, un lecteur audio, des micros…, ainsi que des tables et des chaises et autres fournitures devant faciliter le travail des journalistes et animateurs locaux. Force est de souligner que l’équipement des antennes de la TVM/RNM dans les Districts de la Grande île se poursuit. En ce qui concerne la rénovation de l’immeuble de la TVM et de la RNM, complètement détruit, la délégation a constaté la réfection et le ravalement des façades de l’enceinte, le changement des portes et fenêtres, le ravalement de la palissade en briques.
La rédaction



Des alternatives pour préserver les ressources naturelles de Madagascar. Ces cinq dernières années, la pression exercée sur l’aire protégée de Menabe Antimena s’est intensifiée à cause des plantations illicites de maïs et d’arachides, orchestrées par les migrants climatiques venant du Sud. La réserve perd ainsi chaque année plusieurs hectares de forêts. La politique de « tolérance zéro » appliquée par le ministère de l’Environnement et du Développement durable ne semble pas dissuader ces migrants d’exploiter ces zones interdites. « Plus d’une centaine de personnes ont déjà été arrêtées au cours de ces dernières années. Toutefois, la menace sur Menabe Antimena ne fait que s’intensifier. Cette méthode n’est pas vraiment adaptée pour lutter efficacement contre les crimes environnementaux dans la Région », expose Serge Randriantsoa, gouverneur de la Région de Menabe, interviewé par la presse, hier à l’hôtel Colbert, Antaninarenina.
Dans ce sens, les autorités locales recherchent des solutions alternatives pour empêcher ces personnes de détruire cette réserve naturelle, tout en leur proposant un accompagnent et d’autres activités génératrices de revenus, outre la culture de maïs. La construction de nouvelles villes pour ces migrants climatiques figure parmi les solutions prioritaires. « En collaboration avec l’Organisation internationale de la Migration, l’USAID ainsi que diverses représentations diplomatiques présentes dans le pays, un projet de construction de nouvelles villes pour ces personnes impactées par le changement climatique dans le Sud est actuellement en cours de préparation. Toutes les parties prenantes s’y attellent déjà. Sept endroits, dont la superficie tourne autour de 200 à 1 000 hectares, ont déjà été identifiés. Cependant, des études de faisabilité seront encore réalisées sur place avant de prendre une décision finale »,  détaille le gouverneur de Menabe. Ces nouvelles villes, axées sur le concept de « ville verte », seront aménagées pour répondre aux besoins de ces migrants, priorisant ainsi l’agriculture, l’élevage ou encore la pêche, avec un accès plus facile à l’eau potable, aux services sanitaires et à l’éducation. Dans tous les cas, les autorités ont déjà tenté une approche avec les migrants, et il semble qu’ils ne soient pas réticents à cette idée.
Outre la création de ces nouvelles villes, la Région de Menabe organisera également un atelier de concertation sur l’agriculture, l’élevage et la pêche pour une gestion durable des ressources naturelles. Cet atelier se déroulera notamment du 23 au 25 septembre prochain à Morondava. Ensemble, toutes les parties prenantes cogiteront pour trouver des solutions afin de stopper l’exploitation des réserves naturelles et pousser les opérateurs et autres acteurs vers d’autres activités plus respectueuses de l’environnement. 
Rova Randria



Un pays de l’ovalie.  Pas moins de 1 800 visiteurs ont déjà défilé dans la salle d’expo du Tahala Rarihasina Analakely quelques jours avant l’ouverture officielle de l’exposition du Rugby malagasy ou Rugby gasy. Une exposition organisée par le Service de coopération et d’action culturelle (SCAC) de l’ambassade de France à Madagascar à travers le conseiller de coopération et d’action culturelle, et d’Isabelle Dion, directrice des archives nationales d’Outre-mer. L’ouverture officielle a eu lieu ce jeudi 15 septembre 2021.
100 ans d’histoire et de passions de l’ovalie malagasy sont exposés dans deux localités : au Jardin d’Antaninarenina jusqu’au 15 décembre 2021 et à la salle Tahala Rarihasina jusqu’au 20 novembre.  Une version itinérante de l’exposition sera prévue dans les Alliances françaises de Madagascar en 2022.
L’objectif de cette exposition, organisée dans le cadre du projet « Réduire les inégalités Hommes-Femmes par le rugby, vecteur de la promotion du genre et de développement à Madagascar » initié par le SCAC est de refléter le plus fidèlement possible le rugby malagasy de ses origines en 1911 aux Makis 2021, de mettre en lumière sa longue histoire chargée d’exploits et de drames... ».
 « Depuis la victoire des Makis en 2012, le rugby malagasy a connu un nouvel essor et ce grâce aux soutiens de l’Etat malagasy à l’équipe nationale », reconnait le président du Malagasy rugby Marcel Rakotomalala durant l’expo.
 L’exposition est constituée d’un ensemble d’objets et de documents très différents : des photographies et des dessins de presse, d’objets d’art ou d’archives, des documents sonores et audiovisuels (films). A commencer par la naissance du premier club malagasy le SOI (Stade Olympique de l’Imerina) qui est fondé en 1909 et qui deviendra SOE (Emyrne) en 1911, 10 ans après le débarquement de l’armée française. Jusqu’en 1957, le rugby était le sport favori et roi. Il a participé à la naissance des luttes nationalistes dont celle de la fameuse tournée de l’équipe « représentative » de Madagascar en France, où s’étaient déroulés quatre matchs contre Nice, Toulon, Toulouse et le RCF (Racing Club de France) à Paris. Sur le plan sportif, malheureusement, après les brillantes victoires lors des trois premiers matchs, l’épisode glorieux s’était terminé tragiquement à Paris par le décès de Raphaël Randriambahiny, dit Mbahiny lors de la rencontre.
 Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Flamme éternelle !
    « Feux de l’amour », une série américaine créée par les Bell (William Joseph et Lee Phillip) dont la première diffusion du premier épisode datait du 26 mars 1973, doit fêter avant-hier son cinquantième plus un anniversaire. Du 26 mars 1973 jusqu’à ce jour, les « Feux de l’amour » continue d’accrocher des milliers sinon des centaines de férus à travers le monde. « FA » avec ses 12 500 épisodes jouit d’un record de longévité que rares sont les feuilletons capables de le défier. « Dallas », un autre feuilleton américain le talonne de près. Créé par Larry Hagman et consorts, Dallas dont la diffusion du premier épisode datait de 2 avril 1978 pour se terminer le 3 mai 1991 continue aussi de fasciner jusqu’à aujourd’hui.

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