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Editorial

Editorial (80)

Mais, quel gâchis !

Publié le mercredi, 05 février 2020 Écrit par

Que de gaspillages ! Des dilapidations ! Des escroqueries et de l’anarchie ! Quel gâchis que le défunt régime de l’étiquette « HVM » nous a faits subir! Le 11 novembre 2016, nous avions eu déjà l’occasion d’attirer l’aimable attention du public sur les erreurs graves perpétrées par les dirigeants aux cravates bleues et cela à l’encontre de nos jeunes étudiants boursiers en Chine. En fait, ils n’ont reçu durant des mois d’études aucune allocation à titre de bourses. Le régime en place ignorait outrageusement leur « existence ». Certains parmi eux ont terminé le cycle d’études de deux ans, d’autres de quatre ans mais ils n’ont pas pu obtenir de diplômes.

Education utile

Publié le mardi, 04 février 2020 Écrit par

La nouvelle équipe de l’Exécutif s’installe. Les nouveaux membres du Gouvernement se mettent en selle et la caravane démarre.  Un « voyage » des plus périlleux et des plus éprouvants mais combien digne de grands hommes et de grandes dames les attend. Les enjeux et les défis à surmonter sinon à relever en cours de route sont parfois complexes et souvent délicats. La mission est urgente. On n’a pas trop de temps à perdre d’autant que le chef de convoi ne badine pas. Dix nouveaux ministres répartis dans des départements pour la plupart difficiles à cerner entrent en scène.

 

Un régime de confiance

Publié le lundi, 03 février 2020 Écrit par

Un homme est dit « de confiance » quand, par ses actes, faits et paroles, il inspire une solide assurance. Il fait montre d'une capacité et d'une compétence notoire à l'exécution de la tâche qu'on lui confie. Bref, il réussit à la mission dont il a la charge de réaliser. Idem pour un régime politique issu des urnes, par une alternance démocratique et donc nanti du pouvoir légué par le peuple à gérer le pays. On lui prêterait le qualificatif « de confiance » si, et seulement si, il parvient à prouver, en dépit des contextes difficiles, ses compétences à diriger, au mieux, les affaires nationales.

Fermeté et tact

Publié le vendredi, 31 janvier 2020 Écrit par

Le régime redémarre. A grande vitesse ! Il y a urgence et contrainte. La nouvelle équipe à la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) est à pied d’œuvre. Un gros chantier l’attend. Un défi colossal se lève devant. A Antananarivo, la Ville des Mille, tout est à refaire. En sens dessus dessous, l’urgence qui s’impose en priorité consiste à mettre de l’ordre à l’intérieur de la Cité. Le nouveau maire, Naina Andriantsitohaina, et son équipe doivent s’atteler dans les meilleurs délais à accoucher toutes les astuces  nécessaires à faire régner la discipline et faire respecter la loi. Une priorité des priorités qui s’impose au locataire de l’Hôtel de Ville d’Analakely. Il n’a aucun droit de se soustraire ni de le sous-estimer. Le mal a déjà pris une racine … profonde. Evidemment, Antananarivo n’atteint pas encore la taille d’une mégalopole de l’envergure de Mexico City ou du Caire dont la population est égale ou supérieure à celle de Madagasikara tout entier, cependant l’ancrage d’un certain état d’esprit qui défie toute autorité rend compliqué la tâche. Antananarivo, une ville rebelle de tradition, accepte difficilement de se soumettre. Aussi faut-il user de la fermeté mais également du tact. A ce sujet, l’ancienne équipe dirigée par le maire TIM Lalao Ravalomanana échouait à plate couture. Elle ne sait pas faire de la différence entre  fermeté et dictature, entre forcing et intransigeance. Il leur manque le sens du tact ou de la diplomatie. Souvent, on a tendance à oublier qu’on a affaire à des hommes mais non à des bêtes. Il y a un minimum de respect dû à la dignité de l’homme.  Naina Andriantsitohaina mise essentiellement à son esprit de dialogue et met en avant dans toute approche le sens du tact. Et sans bousculer mais sans traîner, on avance. Toute la différence est là !

Le nouveau Gouvernement est mis en place. Selon l’injonction formelle du Chef de l’Etat, il est immédiatement et également à pied d’œuvre. Si tout n’est pas à refaire, il faut par contre retrousser les manches et entamer le travail illico. S’il faut continuer dans le sens de ce qui a été fait dans certains départements de la désormais ancienne équipe, il faut orienter vers un nouvel itinéraire plus efficace pour d’autres  qui, en fait, s’étaient trompés de voie. Le tout dans la rapidité et pas dans la précipitation ! Il faut avoir toujours à l’esprit que « tout est urgent ». C’est un ordre mais pas un choix ! Une obligation et non une option ! Des dossiers brûlants et urgents attendent. Le « sosialim-bahoala », Ambohitrimanajaka, les coupures intempestives d’eau et d’électricité, les rétablissements rapides des infrastructures endommagées par les récentes intempéries, les impacts insupportables de l’insécurité, l’adduction d’eau potable, etc. Tout cela avec en toile de fond, la pauvreté généralisée de la population. Autant d’obligations qui, normalement, dictent les actions des nouveaux membres du Gouvernement créditées de réponses appropriées et percutantes.

Le recours à la politique « du bâton et de la carotte » s’avère très efficace. La fermeté dans la décision et dans l’application sur terrain coule de source. Toutefois, il faut user du tact, de la diplomatie à travers les approches auprès de la population et ce dans le souci permanent du respect de la dignité humaine. 

Aux chantiers !

Publié le jeudi, 30 janvier 2020 Écrit par

L’attente fut longue. La bataille âpre ! Le suspense est enfin levé. Le Gouvernement  Ntsay II, de l’ère IEM, a finalement vu le jour. Censé être mis sur pied le week-end du 24 janvier, il a fallu six longs jours pour que le Chef de l’Etat assisté de son « fidèle compagnon » de Premier ministre parvienne à monter une équipe supposée avoir la capacité et l’efficacité exigées par un contexte socio-politique urgent et en même temps délicat.

On devine le combat en interne dans le microcosme politique évoluant autour du cercle du pouvoir. Deux camps s’affrontent. D’une part, l’équipe solide formée par le numéro Un du pays et son entourage immédiat. De l’autre, les ténors de la plate-forme IRD ayant soutenu le candidat n° 13.

Le premier camp dont le Chef de l’Etat Rajoelina en personne met en évidence  un certain décalage de vitesse d’action entre la « locomotive », le locataire d’Iavoloha, et certains éléments de la « rame ». En effet, Iavoloha constate qu’il existe au sein de l’équipe gouvernementale, désormais l’ex, quelques « têtes » qui ne parviennent pas à suivre le rythme. Vu l’urgence du cas national, certains hauts responsables des départements ministériels trouvent encore l’occasion de trainer les pieds. Au fait, ils ont montré, malgré eux, leurs limites. N’étant pas à la hauteur des attentes du peuple, le mieux pour eux revient à céder la place. Le camp d’Iavoloha juge incontournable de les écarter.

Pour sa part, le deuxième camp, il n’entend pas de cette oreille. Les dirigeants des formations politiques composant l’IRD s’accrochent bec et ongles. Ils persistent et signent et ne veulent en rien céder.
Cependant, il ne faut pas badiner sur les affaires nationales. L’intérêt supérieur de la Nation prime au-delà de toute considération individuelle, partisane ou autre. Le Président Rajoelina prend très au sérieux l’état actuel de la situation générale du pays. Tout est urgent ! « Il faut aller vite » dixit le Big Boss. En fait, il s’agit réellement d’une course contre la montre.
L’impression légitime qui se dégage en scrutant par cryptage en profondeur du nouveau Gouvernement Ntsay confirme le souci du Maitre des céans d’Iavoloha à prioriser les éléments aptes à faire avancer à une vitesse grand « V » la direction des affaires nationales. Il n’a pas dévié de ce qu’il a bien voulu dévoiler, en avant-goût, auprès des professionnels du média lors de cette rencontre au Palais que certains n’hésitent pas de qualifier d’historique.

Que les nouveaux élus ou nouveaux entrants, triés au volet, et les heureux reconduits ou les rescapés sachent qu’ils ont affaire à un patron qui ne transige point quand il s’agit de traiter les affaires nationales. Leurs nominations ou reconductions relèvent de la nécessité impérieuse nationale. Le pays n’entend plus leur accorder le temps « d’essai » ou de « stage ». Les ministres du nouveau Gouvernement sont immédiatement opérationnels. On a déjà perdu trop de temps avec ! Ainsi donc, la nouvelle équipe de Ntsay Christian n’a pas de temps à perdre. Il faut descendre illico sur terrains.

Aux chantiers, Mesdames et Messieurs ! Etant donné vos capacités intellectuelles et professionnelles et vu le caractère impérieux des attentes, le pays n’a pas l’intention de vous accorder la moindre excuse. 
 Ndrianaivo

Une opposition déjantée

Publié le mercredi, 29 janvier 2020 Écrit par

Une éternelle question taraude l’esprit « existe-t-il une opposition, l’authentique, à Madagasikara ? » En tout cas, celle qui prétend l’être et qui gesticule sur la place publique désaxe et déjante. Apparemment, les membres de ladite opposition sous l’acronyme RMDM perdent le Nord pour ne pas le dire l’esprit.

Réunis au Carlton Anosy, samedi dernier, pour un « tour d’horizon » des affaires nationales, dit-on, les Ravalomanana Marc, Tsarahame, Alain Andriamiseza ou encore Arlette Ramaroson divaguent et disent n’importe quoi.
A entendre les interventions des ténors de cette plateforme, une vague impression de folie voire de délire s’en dégage. Pour le peu que l’on sache, une opposition joue le rôle de contrebalance du pouvoir en place. A ce titre, elle peut émettre des avis contraires à l’option politique générale du régime par des arguments structurés et surtout constructifs en fonction de l’orientation politique qu’elle compterait soumettre au peuple au prochain rendez-vous électoral. Tout se joue dans une ambiance saine au sein d’un cadre légal respectant l’Etat de droit et en l’honneur de la démocratie. L’Assemblée nationale (AN) se présente comme cadre idéal de débat politique en supposant qu’elle (l’opposition) y soit représentée. Une formation politique revendiquant le statut d’opposition mais qui n’a même pas au moins un élu au Parlement notamment à l’AN ne mérite pas son titre. L’Assemblée nationale est ainsi l’arène par excellence de tout démocratique. Elus proches du pouvoir et ceux de l’opposition sont appelés chacun à défendre leur cause respective.  Une opposition digne de son rang dispose à l’AN un groupe parlementaire propre à elle. Cela va sans dire que cette supposée opposition dispose à la base  des membres ou des sympathisants répartis à travers l’île. A vrai dire, le RMDM se limite à tout casser au nombre de son état-major et à la base rien ! En fait, leur force de frappe réside uniquement sur les tapages médiatiques.

Au Carlton, ce samedi 25 janvier, toutes les interventions sortent du cadre. Totalement à côté de la plaque, les Ravalomanana Marc et consorts, en vrais détracteurs, s’égosillent sur des sujets qu’ils ne maîtrisent même pas. Au vu de l’intervention de la Juge internationale Arlette Ramaroson quand elle fustige le régime plutôt Rajoelina Andry d’avoir organisé avec Emmanuel Macron un deuxième round à Paris relatif aux négociations sur îles Malagasy, on tombe des nues. Elle n’est pas sans savoir que la démarche repose sur le principe du dialogue. La vertu du dialogue, un passage obligé, afin d’aboutir dans les meilleures conditions est incontournable. Quand une parlementaire de la trempe de Me Hanitra Razafimanantsoa ose émettre des avis désobligeants sur la Loi de Finances 2020 qu’elle juge peu regardante sur le volet social, c’est aberrant ! Elle sait pertinemment que la LF 2020 réserve une enveloppe consistante pour veiller au bon soin du « sosialim-bahoaka ». Et quand un Alain Andriamiseza a le toupet de critiquer le régime sur la gestion des affaires nationales, il semble oublier que lui-même fut l’un de ceux qui ont plombé la Transition dans certains Départements. Mieux vaut nous limiter à ces quelques cas outrageants.

Aussi avons-nous droit à une opposition qui claudique, qui déjante. Non seulement elle perd l’esprit, mais elle alourdit l’atmosphère en cette période pénible face aux catastrophes naturelles.
Ndrianaivo

FDS à l'honneur !

Publié le mardi, 28 janvier 2020 Écrit par

Les Forces de la défense et de la sécurité se surpassent. Comme nous l'avions malheureusement prédit, le nombre des dégâts en vies humaines et en matériels ne cesse de grimper. Si l'effectif des décès était de 26 le vendredi 24 janvier, il atteint les 32. Le nombre des sinistrés au lieu de 92.000 s'élève à 115.000 et on enregistre 1500 habitations détruites, sans parler des personnes portées disparues et les infrastructures endommagées sinon détruites telles les routes nationales et les bâtiments scolaires et sanitaires. Le bilan s'alourdit. Et le pays fait face à des catastrophes naturelles d'un niveau de dangerosité préoccupant.

Vertu du dialogue

Publié le lundi, 27 janvier 2020 Écrit par

Autre temps, autres mœurs ! Autre régime, autre mode opératoire. Le vent du changement souffle dans le pays. Il atteint entre autres la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA). Autre maire, autre mode de travail. Nos ancêtres les Ntaolo le disaient bien « Miova Andriana, miova sata » libre traduction par « Nouveau souverain, nouveau style ». Il n'est plus besoin de recourir à la force. Les anciennes pratiques prônant le forcing, chères aux dignitaires en cravates bleues du régime HVM et la méthode brutale de l'ancienne équipe TIM, à Antananarivo, ne riment plus avec le nouveau style apporté par le nouveau premier magistrat de la Ville dans le cadre de la concrétisation du Veliranon'Iarivo. Naina Andriantsitohaina inaugure une nouvelle ère de pratique dans la gestion de la Ville des Mille. La bonne gouvernance dictée par l'esprit de fermeté et celui du dialogue prend le dessus.

 

Sacrée mobilisation générale

Publié le dimanche, 26 janvier 2020 Écrit par

Le Gouvernement décrète l’état de sinistre national. En cause, de fortes précipitations se sont abattues dans plusieurs Régions du pays, au moins sept, provoquant d’énormes dégâts dont le bilan s’alourdit au fil des jours. Ainsi, suite à la réunion d’urgence du conseil national de gestion des risques et des catastrophes, le Gouvernement en Conseil spécial à Mahazoarivo sous la direction du Premier ministre déclara le sinistre national et ce pour faire face au ravage en vie humaine et en dégâts matériels très importants. Le bilan est lourd. A la date du vendredi 24 janvier, on déplore 26 décès, plus de 15 personnes portées disparues et plus de 92.000 sinistrés. Et d’après les estimations du Bureau national de la gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), le nombre des dégâts risque encore de s’aggraver au fil des jours.

L’abondance cruelle ou mortelle des pluies la semaine passée dans plusieurs Régions de l’île causa des catastrophes dont les conséquences directes sur le pays, en particulier sur l’économie, s’avèrent impensables. Plusieurs Districts allant principalement de l’ouest au moyen-est en passant par le nord se trouvant essentiellement dans 7 Régions du pays ont été particulièrement touchés. A ajouter les inondations qui mettent en danger périlleux des hommes et isolant totalement certaines localités et même certaines Régions productrices du pays.

Selon l’avis des techniciens du BNGRC, l’Etat peut décréter le « sinistre national » quand le nombre des sinistrés atteint la barre des mille. Pour ainsi dire, le Gouvernement en déclarant l’état de « sinistre national » par la voix du Premier  ministre en personne et en appelant à une mobilisation générale nationale et internationale n’a pas de ce fait aucun autre choix.
Dans la réalité des choses, en quoi consiste la déclaration de « sinistre national »? D’abord, cela permet aux dirigeants du pays de faire appel d’urgence aux appuis des partenaires internationaux. En pareille circonstance, l’Etat ne peut pas, à lui seul, prendre en charge tous les besoins urgents  nécessaires au redressement du pays. A noter que même les pays suffisamment lotis ne pourront pas prétendre pouvoir affronter seuls les importants dégâts liés aux catastrophes naturelles de cette ampleur. Ensuite, l’état de sinistre national déclaré permet aussi aux responsables concernés de débloquer dans l’immédiat, dans les délais de 24 heures, le fonds d’appui à la gestion des risques et des catastrophes mis à la disposition par la Banque mondiale.

Une sacrée mobilisation générale s’impose donc. Il faut venir en aide sans tarder au peuple en détresse. Le Chef de l’Etat, en donnant l’exemple à suivre qui vient d’en-haut, retrousse les manches et descend sur terrains pour venir en aide aux concitoyens coincés dans la tourmente. A Mitsinjo, une localité très reculée même en temps normal, Rajoelina dirigea les actions de sauvetage surtout en direction des plus fragiles (mères de famille et enfants). A nous de le suivre !
Evidemment, les 25 millions de Malagasy ne pourront pas courir ensemble à Mitsinjo ou à Ambatondrazaka. Mais, on peut participer d’une manière ou d’une autre. En 1958, lors des grandes inondations, l’Etait lançait le « Fitia tsy mba hetra ». Le moment est venu d’y recourir dans le cadre de cette sacrée mobilisation générale. La diaspora malagasy d’Andafy devra aussi être de la partie.
Ndrianaivo

 

Cap décisif

Publié le vendredi, 24 janvier 2020 Écrit par

La période d'essai prend fin. Le 24 janvier 2019, soit quatre jours après la confirmation de Ntsay Christian à son poste de Premier ministre et cinq jours seulement après l'investiture de Rajoelina Andry Nirina en tant que Président de la République, à Mahamasina, le premier Gouvernement sous le signe de l'IEM (Initiative pour l'Emergence de Madagasikara) vit le jour.

 

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

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