Nouvelle scène de panique à Betafo. Lundi soir, le domicile d’un opérateur économique, connu sous le sobriquet de Rajosoa, fut pillé, son camion incendié et son magasin éventré et vandalisé par des individus enragés. Hier matin, une poignée d’individus auraient encore continué à piller la villa. Pire, la Gendarmerie signale même le meurtre d’un locataire de ladite maison, un enfant de 3 ans seulement. Or, tout cela n’aurait dû jamais arriver s’il n’y avait pas tous ces malentendus dont les conséquences furent désastreuses, du moins pour l’opérateur et sa famille.
Les enseignants-chercheurs au sein de l'établissement universitaire à Toliara menacent de se révolter. En effet, le problème foncier au sein de ce campus ne s'était pas réglé, même des mois après que les alertes furent lancées. La franchise universitaire est de plus en plus violée. Désormais, le domaine privé attribué aux universitaires n'existe plus dans cette partie sud de la Grande île. La masse populaire cohabite actuellement avec les enseignants œuvrant dans le campus.
Ali Baba, le pauvre bûcheron, a pu percer le mystère d'un trésor caché par les 40 voleurs dans une grotte par la magie de la célèbre phrase « Sésame ouvre-toi » ! En réussissant à déjouer les tentatives des 40 voleurs pour récupérer « leurs biens », il devient richissime. Le trésor d'Ali baba est un conte anonyme tiré d'une histoire persane et fait partie de la légende des « Mille et une nuits », adapté pour la première fois en France dans les années 50. Ancré dans l'imaginaire, le conte et légende d' « Ali Baba et les 40 voleurs » fait rêver des générations de petits et grands.
Stileex, que nous avons connu auparavant comme une ONG œuvrant pour le développement du numérique en Afrique, s’est transformée en une revue en ligne. Son objectif ? Aider son lectorat à réussir en décryptant et en analysant le monde qui nous entoure à travers des résultats de sondage sur terrain, des portraits, des « success stories » d’entrepreneurs, ou encore des articles de fond. Tout ce contenu forme une collection de ressources disséminées dans diverses rubriques sur « stileex.xyz ».
L’équipe de « Startup week-end Madagascar » a mis, pour la première fois, le cap sur la ville de Fianarantsoa. Cette ville regorge effectivement d’opportunités qui ne demandent qu’à être exploitées. Le concept est toujours le même : inspirer les jeunes à créer une entreprise en 54 heures. Pour cette première édition du « Startup week-end Fianarantsoa » qui s’est déroulée du 25 au 27 mai dernier, plus de 80 participants porteurs d’une quarantaine de projets d’entreprise ont soumis leur candidature. Mais les organisateurs n’ont retenu seulement que 12 projets. Au cours de ces trois jours, chaque groupe d’entrepreneurs s’est donc investi à fond pour que son projet puisse voir le jour.
Certes, l’art ne fait pas encore vivre son homme dans la Grande île, mais cela n’a pas empêché les artistes de créer et de persister dans leur voie, ou encore les galeries d’exister pour que les artistes y puissent exposer et valoriser leurs œuvres. L’Is’art Galerie d’Ampasanimalo dont la propriétaire n’est autre que Tahina Rakotoarivony, partage ce même objectif de promotion des arts visuels sur le territoire malagasy, de favoriser la collaboration entre les artistes, les médias, les scientifiques et le public. Mais l’art visuel n’est pas le seul à être promu dans le centre, les autres disciplines artistiques sont également mises en valeur telles que la musique ou encore la danse.
Sept députés ont intérêt à se présenter devant les éléments du Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) à Ambohibao s'ils ne veulent pas subir l'humiliation d'être cueillis en plein jour.
Suite à la plainte déposée par les députés du TIM et du MAPAR due à une suspicion de corruption dans le cadre des projets de lois organiques relatives aux élections, le Bianco a ouvert une enquête.
Dialogue et apaisement dans les meilleurs délais. Tels sont les mots d’ordre du Premier ministre Christian Ntsay sur les revendications syndicales qui persistent ces derniers jours. Ce fut dans un communiqué hier que le patron de la Primature a fait le tour d’horizon sur les revendications qui mettent à mal plusieurs départements ministériels dont celui de l’Education nationale, celui des Postes, des Télécommunications et du développement numérique, ainsi que celui de l’Agriculture.