La 3ème édition du championnat de Madagascar se déroule depuis hier jusqu’à samedi au Golf Azura club Foulpointe. C’est la catégorie des professionnels qui a ouvert le bal dans la journée d’hier. Ils étaient 35 pros issus des quatre coins de Madagascar à prendre le départ, dans la matinée et dans l’après-midi, à la journée inaugurale du sommet national.
Des résultats concrets de la réforme du Code de la nationalité. La nouvelle loi n° 2016/038 du 25 janvier 2017 stipule qu’il est reconnu comme étant malagasy l’enfant né d’un père et/ou d’une mère malagasy. Désormais, les femmes malagasy épousant des étrangers peuvent offrir à leurs enfants leur nationalité. Suite à cette réforme, Madagascar est sorti de la « tristement célèbre liste des 27 pays » du monde où la loi sur la nationalité contient encore des dispositions discriminatoires envers les femmes.
Une grande première, le Parlement (bicamériste) n'a pas pu adopter définitivement la Loi de Finances 2020. Jamais dans l'histoire du pays qu'une Institution rate à ses obligations dans le rouage du fonctionnement de la République. Un manquement qui crée des vagues dans les rangs des parlementaires eux-mêmes notamment les députés et auprès de l'opinion surtout les observateurs locaux.
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique procède à l'assainissement des cités universitaires. Il s'agit surtout de chasser les clandestins pour que les vrais étudiants, régulièrement inscrits et dont le domicile exact se trouve dans d'autres régions, puissent y habiter uniquement pendant l'année universitaire en cours.
Le récent scandale du véhicule de fonction d’un haut fonctionnaire utilisé abusivement comme tête de cortège de mariage confirme, s’il en est encore besoin, la pertinence de la remise en vigueur des plaques d’immatriculation rouges pour les véhicules administratifs, mesure décidée par le Premier ministre il y a quelques mois. D’aucuns croyaient que ladite mesure était d’ordre général et ne souffrait d’aucune exception. Au vu de certains faits cependant, il semblerait bien que certains détenteurs de ces biens de l’Etat soient bien autorisés à ne pas s’y soumettre.