Un des membres du comité mis en place par la fédération malagasy de football (FMF) pour évaluer les dossiers des soumissionnaires à l’appel d’offres pour l’équipementier des Barea, Justin Randriatsoaray vient de déposer sa démission. Après la levée de boucliers des supporteurs ainsi que les principaux acteurs de la sélection nationale, il a accepté de répondre à nos questions. Interview.
Ce jour, les élèves préparant les examens officiels pour obtenir le Certificat d'études primaires élémentaires (CEPE), le Brevet d'études du premier cycle (BEPC) et le diplôme du Baccalauréat retournent sur les bancs de l'école. Pour prévenir la propagation du Covid-19 et en suivant la note publiée par le ministère de l'Education nationale et de l'Enseignement technique et professionnel (MENETP) sur la mise en place des dispositifs sanitaires, chaque école de Niveau I, II et III a pris des mesures spécifiques requérant une réorganisation pédagogique et logistique. Durant les deux premiers jours de cette semaine, trois grandes écoles à Antananarivo ont agi avec des manières les plus simples, en se servant des moyens à bord afin d'accueillir leurs élèves dans de bonnes conditions.
Si les affaires de kidnapping ont observé un bémol ces derniers temps dans la Capitale, elles connaissent un rebondissement récent. Mercredi dernier, les fins limiers de la Brigade criminelle (BC) ont interpellé un certain Riri à Tanjombato. Hier, il était déféré au Parquet, puis finalement placé sous mandat de dépôt à la maison de force de Tsiafahy. L’homme a pris part à l’enlèvement d’un citoyen indo-pakistanais en décembre 2019 dans la ville.
Mais, de qui se moque-t-on ! Depuis quand un voleur notoire, encore en plein exercice de ses « fonctions », pourrait-il prétendre occuper la chaire d'un prédicateur? A moins qu'après un sérieux examen de conscience, il se repentit publiquement et fait amande honorable devant tout le monde, à défaut de quoi, il ne le mérite point. Le titre de conducteur d'âme ou donneur de leçon ne s'acquiert pas gratuitement à quidam se présentant au premier tournant.
En coordination avec les mesures prises par l’Association professionnelle des banques, la BNI Madagascar a décidé d’accorder à tous ses clients particuliers, qui pourraient être affectés directement ou indirectement par la crise sanitaire actuelle, le report de paiement de leurs trois échéances de crédit. Depuis le début du mois, les salariés ont donc pu bénéficier d’un report automatique de leurs trois prochaines échéances, et ce, sans aucun frais supplémentaire.
Le tourisme, secteur le plus touché par la pandémie de coronavirus. Les entreprises rouvrent officiellement leur porte ce jour notamment les hôtels et les restaurants. Toute une organisation s’est déjà tenue depuis lundi dans certains hôtels et restaurants afin d’accueillir et de satisfaire leurs clients. « Pour Le Combava en particulier, ces dernières semaines ont été très dures car nous étions fermés. Cela signifie que nous ne faisons aucune vente. Pourtant, les charges restent pratiquement les mêmes à savoir les salaires, le nettoyage et la désinfection ainsi que le coût de l’énergie.
Le titre ci-dessus est la réplique à une publication, relayée sur les réseaux sociaux, d’un professeur en médecine malagasy qui réagissait à l’officialisation de la tisane bio baptisée CVO, fruit des recherches des chercheurs de l’Institut malagasy de recherches appliquées (IMRA) et destinée à lutter contre le COVID-19. « Médicament pour un sujet sain - au mieux il est en bonne santé, au pire devient malade ! », avait annoncé au début de sa publication notre professeur en non moins chef de service dans un CHU, en parlant visiblement de l’administration à titre préventif du CVO aux élèves des classes d’examen qui vont reprendre incessamment les cours. Il n’est pas dans notre intention de nous hasarder sur le terrain scientifique, terrain de prédilection de ce doyen de la faculté de médecine de Toamasina! Le profane que nous sommes se contentera de poser des questions sur la pertinence des propos tenus par ce dernier.
Sur les réseaux sociaux, beaucoup s’amusent à la baptiser rongonimbazaha en raison de son apparence quasi similaire à celle du chanvre indien. Pourtant, la plante connue sous le nom scientifique d’artemisia annua n’a pas de nom vernaculaire officiel pour l’instant. En français, elle s’appelle armoise annuelle ou absinthe chinoise. En réalité, l’artémisia est une plante native de la Chine mais pour la première fois introduite à Madagascar dans les années 70.
L'impatience se faisait sentir à chaque discussion aussi bien dans les quartiers que sur les réseaux sociaux durant l'attente qui précédait la déclaration du Président de la République, Andry Rajoelina hier. Déclaration qui révélait les nouvelles mesures à prendre dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus. Si certains espéraient un prolongement de la période de confinement pour écarter toute menace de propagation du COVID-19, d'autres plus téméraires souhaitaient, en revanche, un déconfinement progressif en vue de laisser plus de liberté à tout un chacun. Quoi que l'Etat décide pourtant, les différentes mesures risquent d'être vaines à défaut d'adhésion complète de la population.