Politique

Dans le cadre de la relance post-cyclonique, les ministres ont été appelés à mener des « Asa Tagnamaro » pour les travaux de reconstruction et ce en étroite collaboration avec le ministère de la Communication et de la Culture lors du Conseil des ministres qui s'est tenu au début du mois dernier au Palais d'Etat d'Iavoloha. C'est dans ce cadre notamment que la ministre Lalatiana Andriatongarivo a conduit l'équipe du MCC pour cette énième édition du « Tagnamaro », dans la Région d'Atsimo- Atsinanana, en fin de semaine dernière.
Parmi les réformes proposées dans le cadre du Plan sectoriel de l’éducation (PSE). La rentrée scolaire au mois de mars a fait l’objet de diverses réserves et contestations, notamment de la part des responsables des établissements privés et confessionnels. Une des raisons pour laquelle son application, prévue pour l’année scolaire 2019-2020, a été écartée. Mais avec la perturbation du calendrier scolaire ces derniers temps, notamment avec les impacts des cyclones sur le secteur de l’éducation, certains parents, enseignants et responsables d’établissement, remettent sur le tapis les avantages de ce calendrier scolaire.
Mesures inchangées. Les batteries de tests et de confinement obligatoire sont maintenues pour les mêmes raisons sanitaires en rapport avec la pandémie mondiale. Pour les voyageurs internationaux, il faudra alors faire avec ces mesures plus ou moins drastiques pour espérer avoir le précieux sésame afin de sortir ou de rentrer à Madagascar.
Paul Bert Velontsara, président du groupe parlementaire IRD, groupe majoritaire à l'Assemblée nationale avec 108 députés, a parlé de rêve ou d'utopie, pour qualifier l'initiative des députés du Tiako i Madagasikara d'engager une motion de censure contre le Gouvernement de Ntsay Christian. Au cours d'une déclaration faite lors du reboisement de la Chambre basse du parlement à Alatsinainy Ambazaha, le député élu à Port-Bergé a laissé entendre que l'épilogue de l'initiative de l'Opposition était connu d'avance car il est impossible pour le TIM d'obtenir les 76 voix nécessaires pour que la motion de censure soit déclarée recevable. Et il est…
L’Etat malagasy persiste et signe. La position de Madagascar face à la guerre en Ukraine reste inchangée. D’ailleurs, cette position de « non aligné » a été confirmée au cours d’un vote organisé en Assemblée générale des Nations unies, avant – hier. Les pays membres de l’ONU devaient adopter une résolution qui « exige que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force contre l’Ukraine ». La Grande île figure parmi les 35 pays qui ont opté pour l’abstention (ni pour ni contre) lors de ce vote et ce au même titre que la Chine. D’après les informations relayées…
Partagée entre effervescence et scepticisme, l’opinion publique attendait avec impatience l’annonce de la réouverture aérienne totale des frontières de Madagascar. Validée en Conseil des ministres la semaine dernière, cette réouverture s’accompagnait, malgré tout, de quelques conditionnalités que le procès-verbal du Conseil des ministres expliquait être détaillée ultérieurement pour le besoin des compagnies aériennes, celui des voyageurs ainsi que des opérateurs touristiques en particulier et économique en général. Pourtant jusqu’à présent, les détails de ces mesures ne semblent pas être à disposition des concernés. D’autres opérateurs, à l’instar des membres du groupement des entreprises se disent « étonnés que ces mesures…
La non-participation du Maroc au vote à l’Assemblée générale de l’ONU au sujet de la crise russo-ukrainienne est une décision souveraine, qui ne peut être interprétée comme «un désalignement stratégique» ou comme «une position contre le droit international et l’intégrité territoriale des Etats».Plusieurs experts en droit international et en géostratégie ont précisé, dans des déclarations à la MAP, la non-participation du Maroc au vote à l’AG de l’ONU ne peut être analysée que dans le cadre d’un ensemble qui inclut le 1-er communiqué du 26 février et le 2-ème de ce mercredi, du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération…

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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