Parmi les réformes proposées dans le cadre du Plan sectoriel de l’éducation (PSE). La rentrée scolaire au mois de mars a fait l’objet de diverses réserves et contestations, notamment de la part des responsables des établissements privés et confessionnels. Une des raisons pour laquelle son application, prévue pour l’année scolaire 2019-2020, a été écartée. Mais avec la perturbation du calendrier scolaire ces derniers temps, notamment avec les impacts des cyclones sur le secteur de l’éducation, certains parents, enseignants et responsables d’établissement, remettent sur le tapis les avantages de ce calendrier scolaire.