129.571. Tel est le nombre de personnes vaccinées contre la Covid-19 à la date du 13 juin dernier. Ce qui implique qu’il reste encore 120 429 doses à administrer jusqu’à ce jeudi, dernier jour de la campagne vaccinale pour la première dose. Selon le docteur Rivomalala Rakotonavalona, directeur du Programme élargi de vaccination (DPEV) au sein du ministère de la Santé publique, les personnes de plus de 18 ans disposent encore de quatre jours pour se faire vacciner auprès de sites de vaccination. « Environ 55 % du premier lot destiné à la première dose contre la Covid-19 ont été utilisés. Les sites respectifs se chargeront de détruire et de jeter les doses restantes à partir de vendredi », a-t-il avancé.  Notons que toutes les personnes ayant reçu la première dose seront appelées à se présenter deux mois après leur première inoculation. C’est-à-dire que si la campagne vaccinale a débuté le 10 mai dernier, l’administration de la deuxième vague devra débuter vers mi-juillet.
500 millions de vaccins Pfizer offerts par les Américains
Les Etats-Unis vont mettre à la disposition des pays à revenu faible ou intermédiaire inférieur, ainsi qu’à l’Union africaine un demi-milliard de vaccins Pfizer. Cette annonce classée historique a été faite par le Président Joe Biden, jeudi dernier au Royaume-Uni. « Le Gouvernement des Etats-Unis achètera un demi-milliard de doses de vaccins contre la Covid-19 venant de Pfizer-BioNTech et en fera don à 92 pays à revenu faible ou intermédiaire inférieur, tels que définis par la garantie de marché (AMC) COVAX de Gavi et de l’Union africaine. La livraison des vaccins commencera en août 2021, avec 200 millions de doses livrées d’ici la fin de l’année et les 300 millions restantes au premier semestre 2022. Les États-Unis alloueront ces doses à des pays à revenu faible ou intermédiaire inférieur dans le monde entier, par l’intermédiaire de la COVAX qui se chargera de les distribuer », a-t-il indiqué. Il faut noter que des dizaines de millions d’Américains ont bénéficié de ces vaccins sûrs et efficaces. En quatre mois et demi seulement, 64 % des adultes américains ont reçu au moins une injection dudit vaccin. Désormais, leur taux de mortalité quotidienne liée à cette pandémie a considérablement baissé.
K.R.

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lundi, 14 juin 2021

La une du 15 juin 2021

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Des élèves inscrits auprès de l’école primaire publique (EPP) d’Ambohijanaka. C. et S., des enfants âgés de 4 et 6 ans, ont encaissé des coups et blessures commis par leurs « tuteurs » pendant des semaines. Il a fallu que leurs enseignants alertent la Gendarmerie d’Andoharanofotsy, laquelle a mené une enquête dans le domicile des victimes, pour vérifier ce qui se passe. « En fait, C. et S. ont manqué la reprise des cours après le confinement. Nous avons demandé au couple qui les héberge la cause de leur absence aux parrains, lesquels nous ont répondu que les enfants étaient envoyés à la campagne. Pourtant, le voisinage entend des cris et pleurs d’enfants tous les soirs dans la résidence où le couple assure le gardiennage. L’enquête de la Gendarmerie a confirmé que les enfants étaient séquestrés dans le grenier, sans éclairage ni nourriture. A cela s’ajoutent des blessures notamment sur la tête de C., bousculé par le parrain depuis le haut de l’escalier », rapporte Maholy Rakotohery, enseignante qui prend en charge le petit depuis quelques jours. Sa sœur aînée S. était, quant à elle, violée à plusieurs reprises par le tuteur, selon les résultats des analyses auprès du centre Vonjy. Après le déferrement au Parquet hier, l’auteur du viol a été placé sous mandat de dépôt à Tsiafahy. Les victimes, quant à elles, ont été placées dans un centre d’accueil.
Maltraitances et tortures morales
« Ce n’est pas la première fois que ces frère et sœur ont subi des maltraitances. En décembre 2020, C. était venu en classe avec des bleus sur sa tête et son œil. Quand son enseignant lui a demandé ce qui se passait, le petit a répondu que c’est son " père " qui a frappé la tête avec une louche. La fillette présente également diverses blessures. La directrice a aussitôt convoqué les parents au bureau pour leur avertir des mesures qui seront prises à leur encontre, dont la présentation de l’affaire de violences aux Forces de l’ordre. Depuis, les maltraitances semblaient s’alléger, jusqu’à ce que les enfants reprennent les cours », relate notre source.
Par ailleurs, les enfants victimes auraient enduré des tortures morales, entre autres le changement de leurs noms. « Ces enfants étaient inscrits sous d’autres noms à l’EPP. Pourtant, les gendarmes ont trouvé deux copies d’actes de naissance d’enfants avec des noms différents que les leurs. Autrement dit, leurs tuteurs leur ont imposé de nouveaux noms », informe Mme Maholy. A travers une vidéo que cette enseignante a publiée sur Facebook, dimanche dernier, elle a fait appel à des associations ou centres qui pourraient prendre en charge les victimes, le temps de rechercher leur mère ou famille qui pourrait résider à Ambohimangakely, lieu où a été délivrée leurs copies de naissance. Affaire à suivre !
Recueillis par Patricia Ramavonirina

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Eric Andriatsitohaina participera aux prochains Jeux olympiques de Tokyo en août grâce à des efforts soutenus. La période qualificative pour les Jeux olympiques a touché à sa fin avec les derniers championnats d'Afrique et l’international weightlifting fédération a fait ses dernières mises à jour sur les points.
« Je suis heureux de vous annoncer que je me suis qualifié malgré la 3e place au Kenya. En effet, je suis le premier dans le classement continental africain dans la catégorie des -61 kg, avec 2158 points.», annonce-t-il sur les réseaux sociaux. Médaillé de bronze aux derniers championnats d'Afrique, il confie néanmoins être « Premier dans le classement continental africain dans la catégorie des -61 kg, avec 2.158 points. Merci à tous pour votre soutien. La préparation continue.»
Rappelons que Eric Andriatsitohaina a décroché trois médailles de bronze au dernier championnat d’Afrique de Kenya. Lui qui est entré directement sur scène seulement quelques heures après son arrivée à Nairobi.

Les autres athlètes sont encore en attente de la liste finale qui sera publiée par la Fédération internationale d'haltérophilie. Pour Tojo Andriatsitohaina, il a déjà rempli toutes les conditions pour sa qualification aux J.O et n’attend que la confirmation de la CIO. Cet athlète qui a réalisé un nouveau record de Madagascar à l’arrachée avec 137kg et un record d’Afrique en total olympique 303kg avec 166kg en Epaulé-jeté
Quant à Rosina Randafiarison, actuellement en confinement, dit attendre avec impatience cette liste. Elle se dit optimiste quant à sa qualification au vu de ses résultats au niveau africain.
Elias Fanomezantsoa

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Une autre main tendue pour les habitants du Sud. Au surlendemain du colloque pour l’Emergence du Sud de Madagascar organisé sous la houlette du Président Andry Rajoelina, les Etats – Unis annoncent une nouvelle contribution du gouvernement Américain à hauteur de 40 millions de dollars à titre d’appui supplémentaire pour le Sud. Cette participation américaine a été annoncée par l’ambassadeur des Etats-Unis à Madagascar, Michael Pelletier qui – arrivé au terme de son mandat – a  fait ses adieux au Président de la République Andry Rajoelina, hier au Palais d’Etat d’Iavoloha.
D’emblée, le diplomate américain a salué l’initiative du Président de la République à mettre en place un développement à long terme pour le Grand Sud. « Nous exhortons aussi la Communauté internationale et le Gouvernement malagasy à redoubler d’efforts pour prévenir une aggravation de la famine », a déclaré l’ambassadeur américain.
Cette aide américaine a été accueillie chaleureusement par le Chef de l'Etat malagasy qui a tenu à remercier le gouvernement américain et son diplomate pour son engagement et implication personnelle tout au long de ces 2 ans de mission en terre malagasy. « Ce don de 40 millions de dollars sera un apport important dans la réalisation des nombreuses actions à mener pour sauver des vies dans cette partie de la Grande île, pour redresser la vie socioéconomique des régions du Sud et assurer leur développement », a souligné l’homme fort du pays.
Focus sur l’alimentation et l’eau potable
Cet appui supplémentaire alloué par le gouvernement américain à travers l’USAID financera des projets en cours dans la partie Sud de la Grande île. Il s'agit des projets gérés par les partenaires de l’USAID, le Programme alimentaire mondial (PAM), l’UNICEF et Catholic Relief Services (CRS). Une partie du financement du PAM fournira, au mois d'août à octobre, une aide alimentaire immédiate à 465.000 personnes et une alimentation supplémentaire pour prévenir la malnutrition aiguë chez 19.800 femmes enceintes et nouvelles mères ainsi que 63.400 enfants.
D’autres financements seront mis à disposition du PAM et du CRS pour préparer une aide alimentaire en vue de la prochaine période de soudure qui devrait commencer en octobre. CRS reconstruira et réparera des puits dans des communautés ciblées. Le PAM et l’UNICEF fourniront en revanche un traitement à 57.000 enfants souffrant de malnutrition aiguë, modérée ou sévère. L’UNICEF fournira un accès à l’eau potable et assurera la promotion de l’hygiène à plus de 100.000 personnes, tandis que le PAM va affréter des vols pour l'acheminement des fournitures supplémentaires et du personnel humanitaire. Ces projets sont considérés comme un complément ou une extension des autres aides d’urgence et de développement financées actuellement par l’USAID dans le Sud.
La Rédaction

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« La qualité n’a rien à voir avec celle de chez nous. La fabrication ou la vente de produits de contrefaçon est sévèrement punie par la loi et de nombreuses actions pénales sont déjà en cours », déplore un opérateur local, connu et reconnu dans le domaine du textile et de l’habillement, après s’être rendu compte que ses produits ont été tout bonnement copiés à grande échelle depuis un certain temps et mis en vente sur les étals des marchands un peu partout dans le pays. En effet, la contrefaçon est un phénomène mondial qui se généralise et touchant particulièrement les produits textiles. Et bien sûr, Madagascar n'en est pas épargné. Que des « faux » sur le marché de Behoririka, et pourtant le business semble très bien marcher pour les vendeurs.
Les nouveautés arrivent en premier sur les lieux… des copies bien-sûr, mais l'essentiel pour les consommateurs est d'avoir le produit, qu'il soit vrai ou faux. Vêtements, chaussures… tous sont faux, alors qu'ils sont vendus légalement et librement. Et même les produits qui touchent directement la santé des consommateurs sont victimes de contrefaçon. La contrefaçon et le piratage touchent désormais presque tous les secteurs sur le marché local. La propriété intellectuelle est devenue la cible d’actes illicites. Ce qui présente une réelle menace pour l’innovation et la création qui sont pourtant une source de croissance et de développement pour chaque pays. « La contrefaçon est devenu un réel problème pour la société. Elle constitue une menace pour la viabilité des entreprises et entraîne des pertes considérables pour l’Etat », explique un technicien spécialisé dans la protection de la propriété intellectuelle.

Pouvoir d’achat

Effectivement, la loi qui régit la propriété intellectuelle est encore peu connue du public à Madagascar, et certains secteurs ne sont toujours pas concernés par ce cadre réglementaire. Par ailleurs, un bon nombre de Tananariviens ont avoué avoir déjà acheté des produits contrefaits malgré le fait que ceux-ci sont toujours de mauvaise qualité. Et malgré la piètre qualité de ces produits, la chemiserie, la lingerie et autres accessoires vestimentaires sont très prisés. En effet, la plupart des malagasy ne se soucient plus vraiment du vrai produit et celui contrefait en se justifiant sur la différence des prix, où ce dernier est largement moins cher. Le pouvoir d’achat est donc à prendre en compte à ce stade.
Sans parler du concept de « high copy » ou les faux authentiques. A ce jour, ce phénomène prend de l’ampleur, et les vulgaires copies chinoises souvent mal façonnées laissent la place à des créations quasi semblables aux authentiques. Il est de plus en plus difficile de faire la différence entre la copie et l’authentique. De véritables trompe-l’œil, les consommateurs peuvent facilement s’y perdre et certains choisissent d’acheter le produit. D’autre part, les commerçants ne se gênent pas pour vendre ce type de produits presque au même prix que les authentiques et révèlent à leurs clients qu’il s’agit effectivement de copies mais de qualité supérieure.
Hary Rakoto

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lundi, 14 juin 2021

Colloque de l’espoir

« Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ! » Tant qu’il y a de la volonté … politique et tant qu’on a un jeune visionnaire et engagé à la tête du pays, il y a encore de l’espoir !
Le « Colloque régional pour l’émergence du Sud » s’est tenu pendant deux jours ce week-end à Taolagnaro. Sous l’égide du Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina, en personne et en présence de tous les membres du Gouvernement dirigés par son chef, le colloque suscite de l’espoir, beaucoup d’espoir.
D’aucuns n’ignorent le calvaire voire l’enfer vécu par les concitoyens dans cette partie de la Grande île. Pratiquement déshérité de la nature, le Sud de Madagasikara vit quotidiennement dans la tourmente. En cause, les insuffisances chroniques d’eaux de pluie. Il arrive souvent que la pluie se fait attendre pendant deux ou trois longues années. La sécheresse tue ! Les hommes, les plantations et les animaux d’élevage, les bœufs notamment, souffrent terriblement. Ils meurent de faim et de soif. En effet, les insuffisances alimentaires, en quantité et en qualité, étouffent. Les personnes âgées, les femmes et les enfants sont les principales victimes.
Drame en sus, la région du Sud se rend célèbre par le fait qu’elle soit devenue un grand « cimetière de projets ». Des ateliers, des conférences débouchant sur des projets ou des programmes parfois alléchants, il y en a eu mais le tout n’a jamais dépassé  le cadre des  intentions. Rien que de vœux pieux. Des promesses électorales, de belles paroles, il y en eu en pagaille mais toutes restent sans lendemain ! Et le grand Sud périt à petit feu !
Il a fallu attendre l’arrivée au pouvoir d’un jeune visionnaire, engagé et responsable en la personne de Rajoelina Andry pour que tout bouge ! Justement, le Président Rajoelina , à travers les XIII points du « Velirano », entend faire bouger les choses. Il n’est plus question que Madagasikara végète dans une telle misère. Ça suffit !
Pour le cas du grand Sud, il faut d’abord se concerter. Quelles solutions ! Quelles stratégies ! Quels moyens ! Et surtout, quelle méthodologie ! Autant de questions qu’il faille trouver des réponses adéquates et pertinentes. Ce colloque dit de l’espoir porte en lui une singularité du fait qu’il s’appuie tout d’abord sur les efforts nationaux. On tente de définir une porte de sortie malgacho-malagasy. On ne nie pas l’importance des apports de l’extérieur, des Partenaires techniques et financiers (PTF), mais on veut miser surtout, dans un premier temps, sur nos capacités propres à se relever. On verra après les éventuelles contributions des bailleurs de fonds traditionnels. D’ailleurs, ils sont là pour.
Les différentes interventions durant le colloque nous permet d’avoir l’esquisse exacte de ce qu’on va entreprendre dans cette partie du pays répondant aux besoins réels des habitants et des stratégies à adopter.
Compte tenu des attentes impérieuses et des urgences non négociables sur terrain, ce qui importe le plus consiste à traduire en actes concrets les résolutions de ce « Colloque de l’espoir ». Les habitants en ont assez des projets mirobolants sur table. Ils attendent impatiemment  des réalisations concrètes sur terrain.
Fort heureusement que le Président Rajoelina insiste et persiste dans ce sens.
Ndrianaivo


Publié dans Editorial


La bataille à laquelle se livrent le Groupement des Télécommunications de Madagascar (GTM) et l’Autorité de Régulation des Technologies de Communication (ARTEC) se poursuit. Tout à commencé après l’intervention d’un représentant de l’ARTEC devant les députés durant laquelle « il n’aurait pas défendu les membres du groupement d’un côté et a donné des chiffres erronés de l’autre », selon les trois directeurs généraux des opérateurs, à savoir Airtel, Orange et Telma. Ces derniers ont uni leurs voix, un fait rarissime, pour dénoncer ce qu’ils qualifient de dénonciations calomnieuses de la part de l’ARTEC.
Les lettres échangées entre ces deux parties sont loin d’être cordiales. Elles prouvent que la guerre est bien déclarée entre elles, censées pourtant collaborer. Le GTM accuse l’ARTEC de fournir des chiffres non actualisés par ses soins aux parlementaires et dirigeants du pays. « L’ARTEC reçoit régulièrement de la part des opérateurs les données et informations les concernant. Elle est ainsi en mesure de communiquer des données réelles et actualisées, au moins pour 2020, relatives à la couverture en réseau…. », tonnent les trois directeurs généraux qui regrettent que « les chiffres ainsi publiés ne soient pas actualisés régulièrement et que l’ARTEC s’appuie en 2021 sur l’exercice 2019 ».
L’ARTEC, de son côté, se dit étonnée que le GTM n’a pas fait cette remarque alors que ces chiffres ont été publiés sur son site web depuis le mois de juin 2020.
Concernant le déploiement du réseau, tant souhaité par les parlementaires et source également de leur récrimination envers le Groupement des Télécommunications de Madagascar, ce dernier pointe de doigt une fois de plus l’ARTEC par son inaction, son blocage et son iniquité dans le traitement des opérateurs.
Ces derniers, dans la foulée, saluent la création par les parlementaires d’une commission d’enquête. « Nous espérons que la mise en place de cette enquête parlementaire permettra de mettre la lumière sur toute la gestion actuelle du secteur par l’ARTEC et les autorités de tutelle », souhaite le Groupement des Télécommunications de Madagascar…
La Rédaction





Publié dans Economie

Le député Velontsara Paul Bert dénonce l’existence d’une campagne de dénigrement contre les efforts menés par les responsables dans la lutte contre l’insécurité dans la Région de la Sofia. Les auteurs de cette campagne soutiennent l’incapacité des autorités et des élus locaux à mettre un cran d’arrêt à l’insécurité grandissante dont est la proie toute la Région de la Sofia. Visant à décrédibiliser les responsables locaux aux yeux des dirigeants étatiques et de la population, ces fausses informations véhiculées, selon lui, par « des politiciens » ont en tout cas été balayées d’un revers de la main par l’élu du District de Port-Bergé, au cours d’une interview en fin de semaine dernière. L’ancien sénateur de préciser qu’uniquement 3 à 4 Communes dans le District d’Antsohihy, l’un des 7 Districts de la Région Sofia, sont actuellement en proie à une insécurité sévère. Une insécurité imputable notamment et en grande partie aux hommes de Jerson, un chef de dahalo sévissant dans la Région depuis plusieurs dizaines d’années.
Le président du groupement parlementaire Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina à l’Assemblée nationale dit par ailleurs que d’importants efforts sont menés par les autorités locales pour rétablir la situation dans la Région. Suite à des consultations populaires, des opérations de ratissage ont notamment été menées dans plusieurs Communes de la Région et des « Dina » ont été mis en place. Des opérations ponctuées de succès. Selon le membre de la Chambre basse du Parlement, depuis le début des opérations, près d’un millier de têtes de zébus ont été rendus à leurs propriétaires, les vols de bovidés et les cas de vindicte populaire ont significativement diminué. Le frère du dénommé Jerison aurait été interpellé par les Forces de l’ordre tandis que la traque de ce chef de bandits se poursuit.
La Rédaction


Publié dans Politique

« Dans le cadre de la sollicitude du Roi Mohammed VI qui a toujours entouré les membres de la communauté marocaine résidant à l’étranger, et de l’attention royale permanente à la continuité de leur attachement à la mère patrie, le Roi a bien voulu donner ses Instructions aux autorités compétentes et à l’ensemble des intervenants dans le domaine du transport, afin d’œuvrer à la facilitation de leur retour au pays à des prix abordables.
Dans ce cadre, le Roi a ordonné à l’ensemble des intervenants dans le domaine du transport aérien, en particulier la compagnie Royal Air Maroc, ainsi qu'aux différents acteurs du transport maritime, de veiller à pratiquer des prix raisonnables qui soient à la portée de tous, ainsi que d’assurer un nombre suffisant de rotations, afin de permettre aux familles marocaines à l’étranger de rentrer au pays et renouer avec leurs familles et proches, particulièrement dans le contexte de la pandémie de la Covid-19.
De même, le Roi a exhorté tous les opérateurs du tourisme, aussi bien dans le domaine du transport que de l’hôtellerie, à prendre les dispositions nécessaires afin d’accueillir les membres de la communauté marocaine résidant à l’étranger dans les meilleures conditions et aux meilleurs prix ».

Publié dans Politique

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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