Une journaliste de terrain. Cette appellation suffit à décrire Riana Raymond (alias Riana kely, qui signifie « Petite Riana », de par sa petite taille). Cheveux courts et une allure de garçon manqué,  elle donne immédiatement l’impression d’une femme forte et audacieuse.  Cela fait 18 ans que cette mère de deux enfants a intégré le monde du journalisme. Curieuse de nature, elle reconnait que le journalisme constitue le seul et unique métier qui garantit son épanouissement. Son ultime objectif, combattre le fléau de corruption à travers ses investigations !

Publié dans Société

Si l’attaque ayant visé une famille et perpétrée par une vingtaine d’individus armés la nuit du 4 mars, est une affaire, l’arrestation par une patrouille de gendarmes d’un policier quelques heures après les faits et dans les parages, en est une autre. Il va sans dire que le soupçon de ces gendarmes pesait sur leur homologue de la Police du fait que ce dernier avait de surcroit son arme de service, un Patt49 ou pistolet automatique.  Du coup, le commandant de l’Unité spéciale d’intervention (USI), le commissaire Patrick Andrianavalona était sorti de ses gongs : “Mon subalterne, un détaché auprès d’une personnalité haut placée de la Police, venait de rentrer du travail et un véhicule de transport de personnel l’a déposé sur un axe à Bevalala.

Publié dans Société

Yasmine Ramahakotroka est mariée et mère de deux enfants. Agée de 31 ans, elle est la  directrice de l'agence de placement Ambinintsoa et la société de gardiennage Gs Pro. Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme, elle nous retrace sa vision du monde professionnel, mais aussi son engagement et ses valeurs sur lesquels elle a bâti sa carrière, sans négliger pour autant, une vie personnelle.   

Publié dans Société
vendredi, 08 mars 2019

Décès d'un parti

Nécrologie. C'est dans la douleur de la séparation que l'on annonce la mort de Hery Vaovaon'ny Madagasikara (HVM). Terrassé par une terrible maladie, depuis des mois, le HVM succomba. Son père biologique disparait totalement, du moins pour le moment, de l'écran du radar et son président l'avait déjà renié. Et les membres influents se dispersaient et s'évanouissaient dans la nature, depuis belle lurette. Les uns changèrent de « palitao » et rejoignirent le parti au pouvoir, d'autres tentèrent de créer désespérément une formation politique, d'autres, encore, ont été mis aux arrêts. L'ex- parti présidentiel agonisait et finit par rendre l'âme, dans l'anonymat. Bref, le HVM n'est plus !

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Agée de seulement 21 ans, Matina Razafimahefa est déjà à la tête de sa propre entreprise. Un modèle dans le monde féroce de l’entrepreneuriat malagasy. Effectivement, au cours de l’année dernière, elle a créé sa start-up, « Sayna », issue  du nom malagasy « saina » signifiant intelligence. Son objectif est de permettre aux jeunes, et ce, sans exception d’accéder à une éducation de qualité. De part son engagement envers la société et la proposition d’une solution innovante pour l’éducation, « Sayna» a  même obtenu le prix du « Meilleur entrepreneur social 2018 ». Déterminée à atteindre le but qu’elle s’est fixée, elle a même le temps de prendre soin de son « petit bébé ».

Publié dans Economie

Ravelonjanahary Laura Fréderic est une jeune maman âgée de 25 ans. Elle a perdu son époux lors d’un accident de voiture alors qu’elle était enceinte de trois mois. « Nous sommes rentrés d’une sortie de promotion lorsque l’accident est survenu. Mon époux était gravement blessé. Il a ensuite perdu la vie à l’hôpital. C’était un grand choc pour moi. En une seconde, j’ai vu le mur de bonheur que nous avons patiemment construit s’effondrer. J’étais déboussolée, perdue, je ne savais plus quoi faire. La tristesse m’envahissait pourtant j’ai dû garder le sourire parce que je porte un enfant. Mes proches m’ont souvent répétée que mes larmes impactent négativement sur le bébé », raconte-t-elle avec émotion.

Publié dans Economie

Douze mois après l'avoir promis à la population d'Ambilobe, le projet de construction de la première usine de production d'éthanol à Madagascar, initié par l'association Fitia de la Première Dame Mialy Rajoelina a été lancé hier. L'épouse du Président de la République en personne a procédé à la pose de la première pierre en présence des notables de la Région. Le Fokontany de Matsaborilaidama à Ambilobe a été choisi pour accueillir l'usine dénommée "Malagasy Ethanol".

Publié dans Politique

Violette Kakyomia, coordonnateur résident du Système des Nations unies, a accepté de répondre à nos questions à l'occasion de cette journée qui met les femmes à l'honneur. Abordant son parcours au sein des Nations unies et sa présence à Madagascar, elle ne manque pas de lancer un message lié au thème mondial de cette journée du 08 mars qui est : « Penser équitablement, bâtir intelligemment et innover pour le changement ». Interview !

Publié dans Politique
vendredi, 08 mars 2019

La UNE du 08 mars 2019

Publié dans La Une
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  • Réinspection du Stade Barea - La non-homologation du stade confirmée

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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