L’électricité reste un problème majeur à l’université d’Antananarivo. En effet, les coupures fréquentes perturbent étudiants, enseignants et personnel administratif. Selon Lova, étudiant en mention malagasy, dans la Faculté des lettres et des sciences humaines, « pour les étudiants de L1, ils sont nombreux et les enseignants doivent utiliser un micro lors des cours magistraux à l’APF2 ». Cependant, lorsque le courant est coupé, les cours doivent s’arrêter. L’enseignant se fatigue à parler fort et le déroulement des cours est interrompu. De plus, l’usage quotidien du vidéoprojecteur devient impossible. « Même lors des soutenances de thèses, le courant est souvent coupé…