Société

25 jours après que le corps de Harisoa Zouzier Noelina, cette ancienne employée de la Commune urbaine d'Antsirabe, assassinée de façon lâche et barbare, fut retrouvé enterré dans la cour du domicile d'une intermédiaire ou « mpanera tany », principale suspecte dans l'affaire, cette dernière reste encore introuvable. Idem pour son mari. En effet, cette découverte macabre de la fonctionnaire ainsi que le rebondissement qui l'a accompagné, remonte la semaine du 21 novembre dernier. A l'époque, on a parlé d'un rebondissement puisque la mère ainsi qu'une sœur de la « mpanera » fugitive furent arrêtées puis finalement placées sous mandat…
Qui ose croire que la petite maison sise au fond d'une cuvette du paisible quartier d'Ampandrana a été le théâtre d'un bain de sang ? Deux morts de la façon la plus violente, un homme et une femme, en une poignée de minutes seulement ! Le premier a alors poignardé sa compagne qui a reçu trois coups fatals sur le corps avant qu'il ne se soit donné ensuite la mort en se plantant le coeur avec le même objet tranchant.
Ce crève-coeur, ou plutôt ce drame particulièrement meurtrier s'est produit vers 7h30 du matin hier. Tout aurait démarré par une…

Logos Hope - 150 000 visiteurs enregistrés en deux mois

Publié le mercredi, 13 décembre 2023
Un grand succès pour Logos Hope durant son passage dans le pays. Si beaucoup pensent que la mondialisation a détruit la lecture pour les enfants et jeunes malagasy, l'arrivée de la librairie flottante respectivement dans les ports de Toamasina et d’Antsiranana du 27 octobre au 12 décembre derniers, en dit autrement. En deux mois, plus de 152 000 personnes ont visité le Logos Hope. 56 869 visiteurs ont été enregistrés à Antsiranana et 96 023 à Toamasina. Après son séjour à Madagascar, le Logos Hope mettra le cap sur le Mozambique.Antsiranana est la première étape du séjour de Logos Hope…
Les faits sont survenus vers le milieu de l'après-midi à Moramanga où deux individus armés ont braqué un cash-point. Ces derniers ont réussi à faire main basse sur la somme de plus de 8 millions d’ariary après qu'ils eurent menacé le gérant avec un revolver factice. Mais aidé par de nombreux témoins à la scène, un gendarme a réussi à maîtriser puis finalement appréhender l'un des deux suspects, au moment où ces derniers ont tenté de prendre la fuite après leur sale coup. L'autre larron a pu s'échapper avec une partie de la somme volée dont la somme de 4,5…
Quand on parle du Centre de réhabilitation des mineurs Mandrosoa, une prison pour mineurs, il faut dépasser cette image négative et aller de l’avant. Tous les enfants détenus ici ne sont pas des délinquants. Et avant tout, ce centre vise aussi à réinsérer les « enfants en danger ». Ainsi, à l’occasion du 120ème anniversaire de cet établissement, la ministre de la Justice, Landy Mbolatiana Randriamanantenasoa, a lancé un message aux 78 pensionnaires qu’ils ne devraient pas se sentir prisonniers. C’est juste une étape à franchir pour avoir une meilleure vie après l’éducation et les instructions qu’ils ont reçues. «…
Mobilisation depuis le mois de mai. Les équipes de l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (APIPA) ont mené des actions sur terrain, juste après la fin de la précédente saison des pluies. L’objectif étant de se préparer à temps pour la prochaine saison cyclonique afin de prévenir les risques d’inondation dans la Capitale. Depuis, 7.000 m3 de déchets ont été enlevés et 40 km de canaux assainis. Les 6 stations de pompage à Antananarivo, dont celle à Ambodimita, sont également opérationnelles 24 heures sur 24, à en croire Tojo Andritiana Rafidimanantsoa, directeur général de l’APIPA.
Madagascar est un pays vulnérable aux catastrophes naturelles, lesquelles ne cessent de s'empirer. Pour l’année 2024, le climat sera régi par le phénomène El Niño, caractérisé par une grande inondation dans la partie nord de la Grande île et une sécheresse dans le sud. A travers le Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), le Gouvernement malagasy ne cesse de déployer ses efforts afin de diminuer les impacts de ces catastrophes sur la population. C'est la raison pour laquelle le directeur général du BNGRC, le Général Elack Olivier Andriankaja a participé à la rencontre internationale axée sur…

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  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
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  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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