Publié dans Société

Accident de moto à Ivandry - Un jeune homme perd sa vie

Publié le mercredi, 11 septembre 2019

Les  horribles images d'un jeune homme gisant au sol, le casque encore vissé sur le crâne dans une traînée de sang, ont circulé sur facebook, dans le courant de l'après-midi, hier. Agé d'une vingtaine d'années, la victime n'a donc pas survécu au terrible choc qui l'a touché, essentiellement, au niveau du crâne. Ce drame s'est produit dans une rue séparant Ivandry et Analamahitsy. D'après une source d'information, le malheureux aurait subitement perdu le contrôle après qu'il a percuté accidentellement le trottoir. Déstabilisé par ce violent heurt, le jeune homme a alors perdu l'équilibre, la vitesse avec laquelle sa moto était lancée n'a pas arrangé non plus la situation.

 

Des témoins ont affirmé qu'il aurait déjà cessé de respirer sitôt après cette terrible chute, d'autres ont avancé qu'il n'a rendu l'âme que lorsqu'on l'a évacué d'urgence dans un hôpital. Dans un premier moment qui a accompagné le drame, personne n'était en mesure d'avancer quoi que ce soit à propos de la victime. Heureusement, elle avait sa carte d'identité sur elle, et cette pièce a permis de diffuser quelques renseignements à son sujet. Vers la fin de l'après-midi, le BMH a transporté son cadavre à la morgue. Entre-temps, sa famille a été avisée et elle s'est déjà rendue sur les lieux.  Les médecins légistes vont encore autopsier le corps. A la lumière de cet accident, le port de casque s'avère parfois inutile lorsque le choc est trop brutal. Et c'est ce qui était arrivé à ce jeune homme, hier.

Franck Roland

Fil infos

  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
  • Assemblée nationale - Le Gouvernement dévoilera mardi son Programme général de l’Etat
  • Actu-brèves
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff