Publié dans Société

Arrêt des transports en commun - Aucune tolérance, place à la sanction !

Publié le lundi, 23 mars 2020

Les éléments de la Police nationale sont fermes quant à l’application de la loi, face à la menace de propagation du coronavirus dans la Capitale. Après la déclaration du Président de la République, Andry Rajoelina, lundi dernier, sur l’arrêt des transports en commun, c’est à dire les coopératives desservant la zone urbaine et suburbaine, les taxis-brousse reliant Analamanga et les autres Régions, des « taxi-be » et taxis-ville ont encore poursuivi leurs activités et transporté des passagers dans la matinée d’hier. Sur ce, les Forces de l’ordre ont été intransigeantes et ont retiré la licence de ces véhicules.
Comme d’habitude, certains transporteurs ne respectent pas les mesures prises. Face à cette situation, le responsable au sein de la Police nationale a affirmé que des sanctions seront infligées aux transporteurs indisciplinés. Dans les gares routières, des passagers espèrent encore trouver des taxi-brousses pour atteindre d’autres Régions, mais en vain. Pour rappel, seuls les véhicules de transport des marchandises peuvent encore poursuivre leurs activités.
Anatra R.

Fil infos

  • Haute Cour Constitutionnelle - Des soi-disant démissions contestées
  • Gouvernement de la Refondation - Distribution de vivres dans le Grand Sud en fin de semaine dernière
  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…
  • Fausses et illégales perquisitions - Des auteurs toujours en circulation
  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff