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Athlétisme-Tom Rochet Nambinina - Il sera le bienvenu si…

Publié le dimanche, 17 mai 2020

Tom Rochet Nambinina est le nouveau chouchou du public malagasy sur le petit écran de la télé  crochet « The Voice ». Plus connu dans le chant, Tom Rochet était aussi déjà connu dans sa région Belfortain grâce à ses performances en athlétisme. En effet, il a été le champion de France de 60m en salle dans la catégorie cadet en 2017. Il a pratiqué l’athlétisme à l’âge de 6ans et cela fait 14 ans qu’il sillonne les pistes d’athlétisme. C’est un habitué des grandes compétitions. D’origine malagasy, le demi-finaliste de The Voice, spécialiste de sprint, a montré son souhait de porter les couleurs de l’équipe nationale malagasy d’athlétisme. « Oui si l’occasion se présente, pourquoi pas ? Ça me tente », a-t-il répondu à un journaliste d’un quotidien de la Capitale lors d’un entretien. Et d’ajouter : « C’est un honneur pour moi de représenter Madagascar, c’est mon pays natal et j’ai déjà discuté de ce sujet avec mes parents ». 

Et de continuer : « Je suis fier de mes origines malgaches et aussi content de représenter le pays en demi-finale de The Voice», a-t-il fait savoir. « Il n’y avait pas de rencontre internationale lorsque j’ai été  sacré champion de France et je n’ai pas pu intégrer l’équipe nationale de France »,  annonce le jeune champion d’athlétisme de 19ans.

Pour la Fédération malagasy d’athlétisme (FMA), elle ne prend en charge les athlètes que lorsqu’ils sont qualifiés. Mais cela n’empêche pas la star des petits écrans de réaliser ses vœux. « Comme tous les athlètes expatriés, il doit être doté d’un passeport malagasy, appartenir à un club local et avoir une bonne performance. Voilà les bases à part les détails minutieux », annonce Tsiry Manantena, le directeur technique national de l’athlétisme.  

« Ce n’est pas la fédération qui engage les athlètes dans les compétitions nationales mais c’est le club comme le cas de Rija Gardiner, engagé au sein du club Crown Antsirabe, lui permettant d’avoir un bordereau de licence malagasy », précise le DTN.

Tom Rochet évolue actuellement au sein du club Montbéliard Belford d’athlétisme. Il pouvait rivaliser avec les meilleurs dans le championnat jusqu’à atteindre le statut d’athlète de haut niveau. Il a déjà suivi une formation sport-études à Elkins aux Etats-Unis. C’est durant cette expérience américaine qu’il a pu faire énormément de musique. 

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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