Publié dans Sport

MJS - Formation des directeurs - Obligation de résultats

Publié le lundi, 01 juillet 2019

Les directeurs au sein du ministère de la Jeunesse et des Sports et  les 22 directeurs régionaux suivent une formation  de deux jours à l'Académie nationale des sports (ANS) Ampefiloha. La session de formation est axée sur plusieurs volets notamment sur l'administration générale, la planification et suivi de l'évaluation de la Politique Générale de l'Etat (PGE), secteur jeunesse et sports.

 

L'objectif de la formation est de déterminer les orientations stratégiques. Un moyen efficace pour atteindre les objectifs ainsi que de faire comprendre à chaque directeur ses responsabilités : structure de fonctionnement, rôle et missions des directions régionales. Mais aussi les responsabilités des DRJS dans le cadre du suivi de la réalisation des projets du MJS. Les organigrammes de chaque direction et leur mission ont été expliqués aux participants.

« Cette formation est une suite logique surtout après les récentes nominations. Il faut travailler vite et donner des résultats palpables. Il y a des urgences qu'on doit terminer le plus vite », relate Lovatiako Rakotovao, secrétaire général du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS), durant l'ouverture de la formation hier.

Il y a des ordres que les DRJS doivent mettre à exécution dans le but d'atteindre les objectifs déterminés. Mais avant cela, il faut mettre en place chaque directeur dans sa circonscription respective. La première mission de ces DRJS sera de diagnostiquer et pallier les problèmes dans leurs régions. Les directeurs ont été formés dans l'administration financière, dans la conception, l'élaboration et l'exécution de budget, les textes sur les sports et les associations de jeunes, l'administration sportive.

 D'ici trois mois, les directeurs seront dans l'obligation de dresser et communiquer les résultats de la première évaluation de leurs exercices.  Ils doivent rendre un rapport au ministère sur leurs activités hebdomadaires. Notons que la formation a été dirigée par le SG du MJS, Lovatiako Rakotovao,  le directeur Général de la Jeunesse Juliana Ratovoson, le directeur du centre national du sport études, Ratoavinirina Ramaroson, le directeur général de Tafita Luciano Rakotoarimanga , le directeur général de l'ANS, Jean Claude et les directeurs techniques du MJS.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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