Publié dans Sport

Fédération malagasy de natation - Ramanantsoa rempile pour un second mandat

Publié le dimanche, 06 octobre 2019

Le Général Gabriel Ramanantsoa, président sortant de la fédération malagasy de natation rempile pour un second mandat. Elu en 2015 à la tête de cette instance, cinq ligues viennent de lui redonner confiance pour ramener la discipline natation à la place qu’elle mérite. Il a été élu par 3 voix contre 2 pour son adversaire de vote, le commissaire divisionnaire, Rabary Jaona, ancien président du club Saint-Michel. Une de ses priorités est de reformer son équipe technique, qui était la cible des critiques des férus de la natation. Le président réélu a promis de recomposer son staff à 90 %. L’amélioration des performances des athlètes au niveau continental est aussi un de ses défis.

Notons que 5 ligues ont participé à ce vote, à savoir, Analamanga, Vakinankaratra, Atsinanana, Boeny et la nouvelle ligue Vatovavy Fitovinany. Quant à Haute Matsiatra, la dernière-née de toutes ces ligues, qui a été fondée le 1er octobre dernier, elle n’a pas voté mais a figuré parmi la commission électorale établie par l’assemblée ordinaire avec l’aval du ministère de la Jeunesse et des Sports et le comité olympique malagasy, observateur de la légalité du processus électoral.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Débrayage inapproprié
    Les employés de la JIRAMA déclenchent un mouvement de grève. Sauvage ou irréfléchie ! Anachronique ou irresponsable ! Anti-économique ou contre-productive ! On hésite de quel adjectif devrait-on qualifier de façon précise cette énième grève du personnel de la JIRAMA. Quoi qu’il en soit, un débrayage dans un service public est toujours considéré comme inapproprié. Quels que soient les arguments avancés pour justifier le geste, un arrêt de travail d’un service public comme celui de la JIRAMA pénalise en premier lieu les usagers. Les clients, pour ne pas le dire la population, se voient priver de leurs besoins fondamentaux : l’eau et l’électricité. En fait, ils sont punis pour quelque chose dont ils n’ont rien à voir. Dans ce genre de situation, les innocents usagers sont toujours les premières victimes. Et éternelles victimes ! Déjà en temps « normal », ils subissent le calvaire dû aux délestages intempestifs et aux…

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