Publié dans Culture

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 03 février 2022

Vendredi 4 février
Inah & Co
La chanteuse Inah, le guitariste Mbola Talenta, Fanilo Poppin’s et Ony sur la même scène. Ce beau petit monde s’armera de guitares et d’autres instruments de musique pour reprendre les meilleurs morceaux de folk et de rock malagasy. Au menu figurent quelques interprétations des propres compositions de Mbola Talenta et Inah. Bref, il y aura du bon son à la sauce malagasy et des improvisations à n’en plus en finir. Rendez-vous ce soir au Piment Café de Behoririka à partir de 20h 30. Un vendredi joli à ne pas rater !
Fandrama
Bemamy Fandrama, le chanteur natif d’Antsiranana est actuellement en visite dans Capitale. Après avoir entamé une soirée à Ambohipo le week-end dernier, cet artiste classé dans les rangs des ambianceurs montera sur l’estrade du Bonara Be 67 Ha, ce soir à partir de 21h avec son show intitulé « Tsinjaka alohan’ny Saint-Valentin ». A en déduire que l’artiste et son équipe démarrent très bien leur saison des spectacles puisqu’ils ont déjà réalisé une tournée dans le nord de l’île au tout début de l’année. D’ailleurs, en matière d’animation, Bemamy Beriziky alias Fandrama n’est plus à présenter. Une fois sur scène, il se déchaîne comme une véritable bête à travers sa maîtrise de plusieurs variétés de danse. Cet auteur-compositeur et interprète possède un potentiel qui lui est propre afin de plaire et de fasciner le public. Sans trop forcer son talent, il parvient à faire bouger au maximum toute l’assistance. A apprécier sur place, les tubes « Dis-moi la vérité », « Chérie malala », « Ampy câlin » ou encore son dernier né « Bonne année ».
Matsubara
Ambiance assuré du côté du centre-ville. Ce soir, Julien Tcheik Matsubara vont présenter ses belles compositions dans un style de fusion, tantôt traditionnel, tantôt moderne avec une tendance plus marquée pour les chansons de variété dont les textes évoquent de tout, allant de l’amour à la joie, pour faire vibrer la salle du Glacier Analakely à partir de 20h. Matsubara reste une icône de la musique et ses œuvres sont sur toutes les lèvres des mélomanes, et ce malgré des absences scéniques dans la Capitale. Ce soir, il va faire danser les noctambules du côté d’Analakely et ses environs.
Manan’Ara
Un concert de musique brassant le folk, le « bà-gasy » et la World music avec des sonorités acoustiques. C’est ce que proposent le trio Manan’Ara ce soir à partir de 19h 30 au restaurant Le Zoma Manifika situé à Antaninandro-Faravohitra. Une soirée musicale à  consommer sans modération. A titre de rappel, le groupe Manan’Ara a été créé en 2016 par trois jeunes voulant créer un groupe musical qui se différencie de ses congénères. Pour faire honneur à leur ville natale, ils ont repris le nom du fleuve qui traverse Manjakandriana, à savoir le fleuve de Mananara.
Samedi 5 février
Oashna Tess
Cette artiste se démarque par son look de style jamaïcain avec ses cheveux tressés, le tout englobé par sa voix suave et des compositions inédites qui lui ont permis de s’imposer dans un milieu presque exclusivement masculin. Et oui, la jeune Oashna Tess joue du ragga, du dancehall, du reggae, un peu de rap et d’autres genres de musique urbaine. Quoi de plus normal puisqu’elle est la fille du légendaire rappeur malagasy Shao Boana. La jeune fille, comme son père et sa mère, a hérité du virus de la musique et semble vouloir suivre leurs traces. Aujourd’hui, elle a réussi à se faire un prénom dans le monde du spectacle et arpente déjà de nombreuses scènes. Demain soir, Oashna Tess donne rendez-vous à ses fans au Jao’s Pub Ambohipo à partir de 21h.
Groupe Anga
De la bonne musique. C’est ce que promettent les organisateurs de spectacles au sous-sol de No Comment Bar Isoraka pour un samedi soir qui s’annonce déjà splendide. Un groupe composé de quatre membres originaires de la ville d’eaux vont investir les lieux. Effectivement, le groupe Anga va  satisfaire les assoiffés de funk, fusion et de soul durant cette soirée. Le « line-up » donne déjà un aperçu de cette soirée et les mélomanes sauront déjà l’endroit où ils pourront se défouler demain. Comme prédit, le répertoire sera éclectique, voguant entre le soul et du jazz à leurs sauces. Il s’agira d’un concert de baptême pour le groupe puisque c’est la première fois qu’il va investir la scène du No Comment Bar. Pour voir ce groupe en œuvre, rendez-vous donc demain à 20h.
Mamehy
Du « Tsapiky » jusqu’à minuit. Chaque week-end, le Bonara Be 67 Ha propose une soirée musicale enflammée. Demain soir, l’endroit  mettra à l’affiche le groupe Mamehy, originaire de la Province de Toliara, pour une soirée baptisée « Ambiance Tsapiky».  Cette formation pourrait s’avérer méconnue du public tananarivien. Cependant, Mamehy a déjà marqué ses empreintes dans l’industrie musicale. A preuve, cette troupe de musiciens est déjà apte à créer de l’ambiance pour les noctambules. En tout cas, une chose est sûre : avec cette affiche, les habitués des lieux qui viennent de passer une semaine chargée prendront leur temps pour s’amuser et se déstresser demain soir à partir de 21h.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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