Economie

L’année scolaire 2018-2019 n’est pas encore tout à fait terminée que les parents doivent déjà se préparer pour la prochaine rentrée scolaire. Effectivement, l’année scolaire a particulièrement été chamboulée cette année. Pour la prochaine rentrée, elle débutera ce mois d’octobre. Les enfants mais aussi les parents n’auront qu’un mois pour reprendre leur souffle pour revenir dans la routine quotidienne. Face à cela, les banques proposent des prêts comme solution d’urgence pour accompagner les parents durant la rentrée des classes.
Chocolat fait à base de cacaoyers sauvages de Brickaville, d’où il tient son nom. Le chocolat « Brickaville » fait partie de la gamme des « chocolats rares » de l’atelier C, en France, fabriqué en collaboration avec la Chocolaterie Robert. Ce chocolat est aujourd’hui qualifié d’être l’un des plus rares chocolats du monde entier. « Effectivement, « Brickaville » est conçu à base d’une variété assez rare de cacaoyer, les criollos. Une variété rare, vu qu’elle représente aujourd’hui moins de 5% de la production mondiale.
Pour le premier semestre de cette année, la Douane malagasy a collecté près de 1 335,4 milliards d’ariary de recettes budgétaires, soit 47,8 % de la totalité des recettes fiscales de l’Etat. Selon les informations divulguées par la Direction générale des Douanes (DGD), les premières entreprises contribuables sont surtout les compagnies pétrolières. Effectivement, dans le top 5 des entreprises pourvoyeuses de recettes douanières au cours du premier semestre 2019, les quatre premières places reviennent aux compagnies pétrolières. « A la première place, nous pouvons retrouver Jovena Madagascar, suivie ensuite de Galana Distribution Pétrolière et de la Société malgache des pétroles…
Un grand pilier du développement. 80 % de la population malagasy travaillent dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage. Afin de mieux promouvoir ces secteurs, le Gouvernement prévoit une augmentation du budget y afférent dans le projet de loi de Finances 2020. Le dernier Conseil des ministres, publié mercredi dernier, a d’ailleurs mentionné cette volonté du Gouvernement de soutenir le développement rural. « Il faut augmenter le budget alloué au secteur primaire et dans la promotion de l’agriculture », note le communiqué officiel.
Agriculture, élevage et pêche. La revalorisation de ces métiers est impérative pour atteindre l’objectif, à savoir l’émergence de Madagascar. Il ne faut pas oublier que plus de 80 % de la population active travaillent dans le secteur primaire. Ce qui fait que la professionnalisation de ces métiers va permettre l’amélioration de la production sur le plan national, que ce soit en termes de quantité que de qualité. Cette amélioration de la production impactera ensuite sur tous les secteurs rattachés, allant de l’industrie au tourisme, en passant par le commerce.
Cher payé. Avant-hier, le ministère de l’Environnement et du Développement durable ont rapatrié des Comores 222 tortues radiées. Les démarches de rapatriement ont commencé au mois de décembre 2018, et c’est seulement ce mois-ci que les autorités ont réussi à tout régler. « Ce retard résulte surtout du manque de budget, plus particulièrement au niveau des frais de transport. En effet, il a fallu envoyer aux Comores des boîtes spécifiques pour pouvoir rapatrier ces animaux au pays. Un aller-retour augmentant le coût de transport, surtout que le coût de fret varie selon le poids des colis.
Une richesse marine inestimable. « Nosy Tanikely » appelée aussi « Ile de la petite terre » est un îlot paradisiaque situé près d’Ambatoloaka, sur l’île de Nosy Be. Le site s’étend sur une superficie de 340 hectares et réserve une beauté exceptionnelle. Etant donné que la période des vacances approche, Nosy Tanikely reste un bel endroit à visiter. « C’est un joyau malgache, un tout petit bout de terre dans l’archipel de Nosy Be. Si quelques lémuriens font partie du décor, Nosy Tanikely est un territoire connu pour la richesse de ses fonds marins, le plus riche de Madagascar,…

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Editorial

  • Tanà brûle !
    « La maison brûle et nous regardons ailleurs ! » Une petite phrase de Jean-Paul Deléage, historien des Sciences de l’environnement et professeur honoraire de l’université d’Orléans, empruntée par Jacques Chirac, président français, lors de son discours au 4ème Sommet de la Terre à Johannesburg en 2002. A travers cette phrase culte, le président français voulait bousculer les consciences et les esprits des dirigeants de la planète Terre du danger imminent qui guette le monde à cause de cet indomptable changement climatique provoquant un réchauffement généralisé.

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