Economie

Selon Sahaza Marline, Chief Technology Officer de « Milina », une entreprise technologique basée à Madagascar, la société se distingue par ses solutions numériques adaptées aux besoins locaux, tout en répondant aux exigences internationales. « Notre objectif est de surmonter les obstacles auxquels les utilisateurs malagasy sont confrontés en intégrant des technologies accessibles et pertinentes », explique-t-il. L'une des réalisations phares de la société est DIGI.MG, un portail qui simplifie l'accès aux services numériques mondiaux et locaux. Selon lui, « DIGI.MG permet aux utilisateurs de bénéficier de divers services numériques, y compris ceux de fournisseurs renommés comme Starlink, en éliminant …
Echanges et partages. Lors d'une descente sur terrain à Moramanga, le ministre de l'Industrie et du Commerce, Edgard Razafindravahy, a rencontré les étudiants du lycée technique professionnel local. Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la supervision de l'avancement du projet ODOF (One District One Factory). Le ministre a profité de cette occasion pour encourager les jeunes à s'engager dans le domaine de l'entrepreneuriat tout en poursuivant leurs études. Son discours a su motiver les étudiants, qui ont décidé de se regrouper pour créer leur propre entreprise. « Une entreprise peut être créée », a déclaré le ministre, « en…
Starlink, le projet de connectivité satellite d'Elon Musk, a récemment fait ses débuts à Madagascar. Selon Jean Christophe, habitant de Sambava et utilisateur de Starlink : « Les performances sont remarquables, atteignant 117 mégabits par seconde par beau temps et 58 mégabits par seconde en cas de pluie ». En comparaison à tout cela, les opérateurs locaux offrent un débit maximum de 5 mégabits par seconde pour les connexions par box et de 2 mégabits par seconde pour les données mobiles, souvent sujettes à des ralentissements fréquents. Cependant, l'acquisition du matériel Starlink n'a pas été sans défi financier pour lui.…
En deuxième année de commerce dans une université en région de l’Ile-de-France, Rindra, 21 ans, travaille à mi-temps pour subvenir à ses études. Ce travail lui permet non seulement de financer sa vie quotidienne, mais aussi de mettre un peu d'argent de côté pour envoyer à sa famille restée à Madagascar. Chaque fin de semaine, grâce à une application mobile de transfert d’argent, elle envoie quelques euros glanés ici et là sur le compte mobile money de sa mère. Comme Rindra, des milliers de Malagasy de la diaspora contribuent à l'économie nationale à hauteur de centaines de millions de dollars,…
Le Gouvernement malagasy, en partenariat avec la Banque africaine de développement (BAD), a initié une évaluation approfondie de son système de passation de marchés publics, suivant la méthodologie d’évaluation des systèmes de passation de marchés (MAPS). Cette démarche s'inscrit dans le cadre de la feuille de route MAPS II, visant à en optimiser l'efficacité, l'efficience, et l'intégrité des processus. « Le MAPS est un outil essentiel harmonisé et universel permettant à un pays de conduire à l’évaluation du système de passation de marchés publics afin de déterminer les forces et les faiblesses et de soutenir les réformes les plus efficaces…
Depuis que Solo Andriamanampisoa a été nommé ministre de l'Energie, poste qu'il a déjà cédé à Olivier Jean-Baptiste, la présidence du conseil d'administration de la JIRAMA est restée vacante. En tant que doyen des membres, Fredy Rajaonera partage ses avis sur cette situation ainsi que sur les défis énergétiques actuels.
Mpikifa Sneakers, une entreprise de Madagascar, se distingue par sa passion pour le basket-ball et la culture locale. Dans cet entretien, nous découvrons l'histoire, les défis et les ambitions de cette entreprise à travers les yeux de son fondateur.La Vérité (+) : Pouvez-vous nous raconter la genèse de Mpikifa Sneakers ? Comment est née l’idée de créer des accessoires et des maillots pour les basketteurs ?Gérant de la société (-) : Notre entreprise a démarré en 2018, même si l'idée a germé bien avant. A ce moment-là, nous avons vraiment commencé à travailler avec l'objectif de montrer que les Malagasy…

Fil infos

  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord
  • Assemblée nationale - Le Gouvernement dévoilera mardi son Programme général de l’Etat
  • Actu-brèves
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff