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Invitée par le journaliste Christophe Boisbouvier sur RFI Afrique, dans l’émission radio Invité Afrique, lors de son récent passage à Paris, Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo confirme la volonté manifeste du Gouvernement actuel d’aller vers l’élection présidentielle et en faire un processus parfaitement transparent. 

« Toutes les actions entreprises par le Gouvernement depuis le début des préparatifs l’année dernière tendent à confirmer la volonté infaillible du Gouvernement à assurer une transparence », a déclaré la ministre de la Communication et de la Culture, quelques jours après un passage sur TV5 Monde. Celle qui porte également la casquette de porte-parole du Gouvernement cite à titre d’exemple de cette volonté de transparence, la non-reconduction de l’ex-ministre de l’Emploi, du Travail, de la Fonction publique et des Lois sociales, lors du dernier remaniement du Gouvernement « pour éviter toute accusation de conflit d’intérêt ». L’ancienne patronne du département ministériel des 67Ha est en effet l’épouse du président de la Commission électorale nationale indépendante. 

Face au développement alarmant de l’insécurité liée à la recrudescence des enlèvements, le préfet d’Ambatondrazaka a imposé le couvre-feu à Morarano Chrome. Cette mesure de sécurité est entrée en vigueur mardi dernier. Depuis, personne ne doit plus mettre le nez dehors à partir de 21h jusqu’à 4h du matin. A part cela, on assiste, toujours depuis mardi, un déploiement sans précédent des Forces au sein de l’Organisation de conception mixte (OMC) élargie, incluant à la fois la Force d’intervention de la Police (FIP) spécialement dépêchée de la Capitale, la Gendarmerie et l’Armée. 


Le grand jour approche à grand pas et les fans trépignent d’impatience à l’idée de voir en « live » leur idole. En effet, depuis l’annonce de Good Vibes Party, Price Event et Nas Production, le chanteur camerounais, Julien Bouadjie, connu sous le nom de scène Tayc, est attendu dans la Capitale pour la semaine prochaine. Dans une petite vidéo lancée sur les réseaux sociaux, la star camerounaise se dit être prête à enflammer le Palais des Sports de Mahamasina, le 10 mars prochain à 18h, accompagnée de ses musiciens, danseurs et danseuses.
Pour le sésame d’entrée, les responsables confirment que seuls les tickets VVIP de 400.000 ariary sont épuisés. Ainsi, il reste encore des places disponibles pour d’autres catégories, notamment VIP : 300.000 Ar, Gold : 200.000 Ar, Silver : 75.000 Ar, Fan Zone : 50.000 Ar et First à 25.000 Ar. Ces tickets sont en vente sur la plateforme de vente en ligne « Ticketplace.io » et auprès des boutiques Mass’in situées dans la Capitale. 
Quant au déroulement du spectacle, la liste des chanteurs locaux qui se chargeront de chauffer la scène en première partie est déjà connue. Il s’agit entre autres de Rim-Ka, Dj Mbints et le duo phénoménal du label Makua, à savoir Shyn et Denise. Des stars malagasy qui auront le privilège de partager la scène avec le rappeur. Tayc fera son entrée à la deuxième partie et enflammera l’estrade du Palais des Sports durant quelques tours d’horloge.
Apprécié
Tayc est considéré comme prince de l’ « Afro Love ». Cet artiste excelle dans différents styles de musique tels que l’« Afrobeat », l’Afro-pop, le RnB et le hip-hop. Tel un vrai showman, ce chanteur crée toujours une forte impression à chacune de ses prestations. Son concert à Madagascar promet de créer une ambiance de folie. Quoi de plus normal puisque l’artiste joue dans la cour des grands et il fait partie des chanteurs les plus populaires et mondialement connus de tous. Son album « Fleur froide » est devenu un disque de platine. Il a été lauréat lors du concours « Danse avec les stars » en 2021 et également acteur dans la série Netflix « Christmas Flow ». Avec une telle célébrité, les organisateurs prévoient un événement qui sort de l’ordinaire avec des mises en scène, sonorisations et jeux de lumière impeccables.
Déjà habitué à remplir des stades et à faire des concerts à guichet fermé en Europe, Tayc devra prouver sa suprématie et convaincre des milliers de spectateurs malagasy attendus lors de ce spectacle. Des grands fans ont visiblement soif d’impatience de voir leur idole en prestation. D’ailleurs, sur les réseaux sociaux, de nombreux jeunes s’enflamment depuis l’annonce de l’arrivée du chanteur camerounais.
Sitraka Rakotobe



La une du 01 mars 2023

Publié le mardi, 28 février 2023


Ce fut au tour des familles sinistrées dans le District de Nosy Varika de recevoir la visite du Président Andry Rajoelina hier. La localité qui figure parmi les endroits lourdement ravagés par le passage du cyclone tropical intense Freddy. Cette visite présidentielle est d’ailleurs une première pour cette localité.
Sur le plan sanitaire, la Commune urbaine de Nosy Varika a reçu une nouvelle ambulance 4x4 entièrement équipée.  La « caravane médicale » arrivera bientôt sur les lieux et offrira des soins ainsi que des médicaments gratuits à ceux qui en auront besoin. Outre ces aides d’urgence, le Chef de l’Etat a profité de l’occasion pour donner des consignes à ses collaborateurs au sein de l’Exécutif afin d’accélérer la réhabilitation des infrastructures publiques qui furent endommagées. Des forages seront  mis en place pour répondre aux besoins en eau de la population.
« Nous sommes venus pour reconstruire » a déclaré le Chef de l’Etat en procédant, par la suite, au lancement des travaux de réhabilitation de l’EPP Tsararivotra,  endommagée suite au passage du cyclone Freddy. Des tentes  ont été installées pour permettre aux élèves de reprendre les cours. Ces écoliers se sont vu remettre des kits et matériels scolaires ainsi que des sandales.
Aide financière
A l’instar des autres localités touchées par les cyclones, les ménages sinistrés et en difficulté de Nosy Varika ont reçu des vivres à savoir 1 sac de riz, des légumineuses ainsi que des produits de première nécessité. Le Chef de l’Etat a annoncé qu’une aide financière sera allouée aux ménages en difficulté en collaboration avec les partenaires techniques et financiers. Les « karinem-pokontany » dotés de QR Code ont d’ailleurs été distribués pour chaque ménage afin de coordonner la distribution des aides de l’Etat. Par ailleurs, des semences ainsi que des équipements agricoles ont été remis aux agriculteurs pour assurer leur relèvement compte tenu de la quantité de cultures ravagées par les cyclones successifs. Tous les maires du District de Nosy Varika ont également été dotés de motos afin de les aider dans l’exécution de leurs missions. 
Le Président Andry Rajoelina a conclu son déplacement à Nosy Varika par la distribution de repas chauds aux personnes sinistrées accueillies à l’EKAR Saint Joseph.

L’imbattable !

Publié le mardi, 28 février 2023


La « bête » persiste ! Le virus de la Covid- 19 fait de la résistance. Il continue à tuer. En dépit des efforts colossaux, malgré les sacrifices à même surhumains, le coronavirus montre sa puissance et ne compte pas disparaitre de sitôt. Un vrai dur à cuire, dit-on, c’est malheureusement vrai !
En trois ans, 2020 à 2023, la pandémie a fait 1 422 victimes pour le cas de Madagasikara. Sans évoquer les déficits, en tout genre et dans tous ses états, que le pays voire le monde a subis. Tout récemment, elle a fait une victime. Selon le dernier bilan publié par le ministère de la Santé, la seule autorité habilitée à communiquer officiellement l’état de la situation sanitaire à Madagasikara, un patient a succombé des suites de cette terrible maladie. Il y a mort d’homme, attention !
Partie d’une province chinoise, d’un marché de Wuhan, une petite ville de 4 millions d’habitants, la Covid- 19 s’était répandue à travers le monde dont Madagasikara. Les pays à climat tempéré ou froid ont été les plus durement touchés. N’empêche que la Grande île, au même titre que d’autres pays tropicaux africains, n’y échappait pas.
Etant entendu que le seul moyen pour combattre efficacement à la contamination individuelle ou massive du coronavirus consiste à éviter tout contact entre les hommes, alors le confinement reste l’arme la plus pointue ainsi que les gestes barrières (au moins 1 mètre). Et le confinement presque généralisé conduit le pays vers … l’apocalypse ! Les économies nationales de même celle à l’échelle de la planète s’agenouillent. Les pays pauvres payent la facture la plus salée.
Bien que la situation sanitaire globale dans le monde se soit beaucoup améliorée après une lutte acharnée au niveau de chaque pays et dans le monde grâce à une mobilisation générale par le biais  des organismes internationaux (OMS, UNICEF, etc.), la pandémie de Covid-19 parvient encore à maintenir la pression.
Et nous y voilà encore et toujours ! Certes, on n’est plus au moment critique des années 2020, 2021 et le premier trimestre de 2022, mais il faut le dire qu’on n’est pas encore sorti de l’auberge. L’économie nationale tente tant bien que mal à se redresser. Tous les secteurs fortement touchés tels le tourisme et les activités industrielles s’efforcent de se relever et faute de rechute, on réussira à retrouver le rythme normal d’avant crise pandémique.
Compte tenu de la persistance de la maladie et en vertu des objectifs à atteindre, toutes les mesures et les précautions doivent être fermement sinon impérativement maintenues. A noter que la Capitale et périphéries et certaines Régions demeurent des points d’ancrage de la Covid-19. En effet, Antananarivo avec d’autres restent encore l’épicentre de la maladie. Tant que le virus tue et donc il y a mort d’homme, il n’est pas question pour le pays de laisser place à l’imprudence et au manque de vigilance.
Toute la mobilisation pour la campagne de vaccination et pour le respect d’un minimum de consignes contre la pandémie tient toujours. Il est hors de question pour le pays de se retrouver en ligne de mire de la rechute de la Covid-19. Il faudra maintenir le niveau d’alerte pas forcément maximal mais tout de même élevé surtout dans les lieux publics comme les écoles …
Ndrianaivo



Le kidnapping de trop ! A la lumière des récents faits liés à la multiplication des enlèvements dans la contrée, on peut dire que Morarano-Chrome est devenue une zone rouge, ville située dans la partie nord de la région de l’Alaotra-Mangoro. Le triangle formé par les localités d’Ambatondrazaka, Amparafaravola et Tsaratanàna, est frappé de plein fouet par le phénomène.

De source informée, des kidnappings se produisent dans des localités comme Soalazaina ou surtout le nord d’Anjozorobe, qui sont inclus dans ce triangle géographique. Le dernier en date remonte à vendredi soir dernier où trois membres d’une famille, ont été enlevés et où les ravisseurs ont demandé une rançon de 200 millions d’ariary contre la liberté de ces otages. Mais fait très grave : une jeune mère de famille figure dans liste des victimes.  Or, cette femme venait d’accoucher il y a quelques jours de cela, et son bébé est donc resté au village alors qu’il a surtout besoin de sa maman, du moins pour l’allaiter.
Devant cet état de fait, la population locale tire la sonnette d’alarme pour que les autorités en place agissent en conséquence. Car d’après la population, les Forces armées seraient confrontées à un problème de moyens, les empêchant de travailler avec efficacité, donc contrecarrer les agissements de ces ravisseurs. Un exemple de cette impuissance, un chef de famille de Morarano-Chrome avait été enlevé il y a deux semaines de cela à Morarano-Chrome. La police, la gendarmerie et l’Armée ont beau conjuguer leurs actions pour retrouver les bandits. Mais en vain. Finalement, il a donc fallu à la famille de l’otage de payer 75 millions ariary de rançon pour que les ravisseurs l’eurent relâché.   Pour combler cette lacune, côté Forces, les élus locaux ont réclamé l’utilisation des drones. « Faire montre d’une supériorité technologique, à savoir l’utilisation des drones pour montrer aux kidnappeurs qu’ils sont en position d’infériorité car localisables et identifiables quel que soit le lieu où ils se réfugient, pourrait êtreun meilleur instrument de dissuasion définitif. ça sécurise aussi nos soldats », a fait savoir un adjoint au maire d’une des communes victimes, dans l’une de nos précédentes publications.
En attendant, le président de la république, lors d’une cérémonie le 16 février dernier, a promis une opération spéciale face à la recrudescence alarmante du fléau dans la région. Et le week-end dernier, la gendarmerie, spécialement la compagnie de l’Imerina centrale,  a abattu un certain Lako,  présumé bras-droit d’Iarisy, le tristement célèbre auteur du massacre d’Ambolotarakely en juillet dernier, et qui serait de mèche avec son homologue, présumé commanditaire des enlèvements survenus dans le triangle susmentionné.
Franck R. 

Retour de Freddy - Fortes pluies annoncées

Publié le mardi, 28 février 2023


Le cyclone Freddy ne finit pas de faire parler de lui. Après un passage assez long sur le continent africain, il va ressortir dans le canal du Mozambique. Cela va affecter les Régions environnantes, et notamment et la côte ouest de Madagascar.
Dans la Capitale, les averses orageuses suivent la normale saisonnière, mais pas plus que cela.  En outre, épargnée par les pluies de Freddy, les précipitations dans la majeure partie de la Région d’Analamanga sont encore en dessous de la moyenne. Si la pluie tombe, ce sera bénéfique pour les riziculteurs qui en ont besoin.
Ainsi, le retour sur mer de Freddy va renforcer le système. A cet effet, des pluies torrentielles seront prévues sur la majeure partie de la Grande île à partir de mercredi ou jeudi prochain. Les Districts des Régions de l’ouest, du nord et du sud-ouest sont particulièrement les plus affectés par ces précipitations. Ce mauvais temps est dû à la fusion de deux phénomènes,  à savoir le cyclone Freddy et l’existence d’une masse nuageuse située plus au sud. Une dépression des régions tempérées pourrait générer des vents violents et influer sur le cyclone, en déviant ainsi les orages sur Madagascar.
« Ce n’est pas la pluie en soi qui nous inquiète, mais ses conséquences dans la vie quotidienne. En effet, avec l’état actuel des routes de la Capitale et des villes périphériques, cela va encore empirer les choses, sans parler des inondations dans les bas-quartiers. En plus, la JIRAMA aussi va certainement profiter de l’occasion pour couper l’électricité.  Et quand il pleut, les transports en commun ont l’habitude de disparaître comme par magie », a expliqué un passant en entendant parler des prévisions météorologiques.
Nous sommes actuellement en pleine saison estivale. D’après les prévisions, les pluies seront modérées à localement abondantes. Les Régions de Boeny, Melaky, Menabe, Atsimo- Andrefana, Vatovavy, Fitovinany, Atsimo-Atsinanana auront le gros lot des orages. Mais cela pourrait également se répandre sur d’autres Régions plus centrales comme Analamanga, Itasy, Vakinankaratra, Amoron'i Mania et Matsiatra-Ambony.
Pour des prévisions plus prudentes, la dégradation pluvieuse n’affectera l'ouest et le sud-ouest de la Grande île qu’à compter de ce week-end.
En ce qui concerne le cyclone Freddy, il a passé plus de 5 jours au Mozambique. Il a plu sans cesse et l'Institut national de gestion des catastrophes du Mozambique (INGD) estime que 1,75 million de personnes sont affectées par les récentes inondations et d’autres dégâts dans le centre et le sud du territoire. Les pluies torrentielles continueraient encore d’affecter ce pays durant une semaine.
Nikki Razaf



La transparence et le plafonnement des dépenses des campagnes électorales. C’est le sujet qui a été abordé durant une conférence-débat qui s’est tenue hier à Faravohitra. A l’initiative de la société civile, cette rencontre a vu la participation de la société civile, d’un parti au sein du pouvoir, d’un autre issu de l’Opposition et de la commission de contrôle du financement de la vie politique. La ministre de la Communication et de la Culture, porte-parole du Gouvernement et non moins présidente du parti politique Freedom, membre à part entière de la coalition présidentielle Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina, Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, a représenté à cette occasion un parti au sein du pouvoir.  Julien Randriamorasata, membre du bureau politique du Tiako i Madagasikara, représentait lui, un parti de l’Opposition. Le débat intervient dans un contexte pré-électoral à Madagascar. L’élection présidentielle est projetée se tenir au mois de novembre prochain selon la proposition de calendrier élaborée par la Commission électorale nationale indépendante et validée par la Haute Cour constitutionnelle. L’occasion pour chaque partie de préciser son positionnement par rapport à ce sujet délicat.
Notons en effet que chaque campagne électorale est depuis une vingtaine d’années maintenant synonyme de dépenses colossales dans le pays. Une habitude commencée lors de la campagne électorale pour l’élection présidentielle de 2002. L’utilisation d’hélicoptère, les meetings, de teeshirts, et autres goodies à l’effigie d’un candidat, ont commencé avec le candidat Marc Ravalomanana. Le patron de Tiko avait à l’époque injecté plusieurs milliards d’ariary dans sa campagne sur des fonds obtenus sans doute des impôts non payés par son entreprise durant les années précédant l’élection présidentielle de l’époque. En tout cas, pour un observateur, le réaménagement du cadre légal et réglementaire régissant la transparence et le plafonnement des dépenses de campagnes est certes nécessaire mais il faut en débattre de manière sereine et républicaine. Il appelle à l’ouverture de larges discussions et de consultations qui doivent être aussi inclusives et consensuelles que possibles. Histoire que la réforme en question soit aussi profitable aux gens du pouvoir que ceux de l’Opposition. Une réforme inclusive et consensuelle permettra par ailleurs d’éviter que les textes n’aient des visées politiques cachées. Notamment celui d’entraver la candidature d’un ou deux candidats en particulier. Ce fut par exemple le cas en 2002 ou encore en 2019. Du temps doit ainsi être pris pour l’élaboration de la réforme.
La rédaction

LA UNE DU 28/02/2023

Publié le lundi, 27 février 2023

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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