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Justice - Grève effective des greffiers

Publié le jeudi, 06 octobre 2022

Le syndicat des greffiers est effectivement entré en grève générale et illimitée hier. Aucun terrain d'entente n'a en effet été trouvé avec les autorités, soutient Alain Michel Randriamaro, président du syndicat, hier au Tribunal d'Anosy. Il indique que les greffiers grévistes s'abstiennent de participer aux déferrements ou encore aux délibérations auprès des juridictions. Et ce dans tout Madagascar.



Trente (30 ans) de présence à Madagascar. La Fondation Air France a pu réaliser ou financer la mise en œuvre de centaines de projets dans la Grande île. La plupart d’entre eux sont destinés aux enfants et les jeunes. Il s’agit d’une véritable « réussite humaine », à en croire Estelle Brice Santos, déléguée générale de ladite Fondation. Des milliers d’enfants sont sortis de leur situation de précarité ou des rues grâce aux activités entreprises dans les projets. Celles-ci se concentrent particulièrement sur l’éducation ainsi que la formation des enfants et des jeunes, selon les informations recueillies. « Les années d’engagement des 5000 salariés d’Air France pour soutenir les projets au profit des enfants portent leurs fruits. Les résultats constatés aujourd’hui en sont les concrétisations », ajoute notre source.
L’association « Aina, enfance et avenir » fait partie des premiers bénéficiaires du soutien de la Fondation Air France. En 17 ans d’existence à Madagascar, ladite association dispose actuellement de 3 locaux solidaires sis à Laniera, Isotry et Antanandrano Ambohitrarahaba, outre l’orphelinat localisé à Malaza. Elle recense 300 bénéficiaires directs, sans parler des 800 à 1000 paysans formés chaque année. Les villages solidaires proposent diverses activités humanitaires auprès de leurs maisons des jeunes, centres de formation agricole et crèches. « La Fondation Air France étant la première qui nous a fait confiance il y a 15 ans. Elle a entre autres financé la construction de l’orphelinat à Malaza ainsi que plusieurs autres infrastructures. Nous sommes là aujourd’hui grâce à elle », s’exprime Nathaly Charbonier, présidente de cette association.
La Fondation Air France lance un appel à projets chaque premier trimestre de l’année, ouvert aux associations et ONG. Une occasion de choisir les bénéficiaires de son soutien. Le nombre des projets et associations ou ONG validés dépend des besoins et des demandes. Pour cette année 2022, ladite fondation accompagne 5 ONG œuvrant à Madagascar. Pour les années à venir, ladite fondation ambitionne d’accompagner les bénéficiaires, à travers la poursuite de ses interventions dans l’éducation et la formation. Les enjeux sociétaux et environnementaux seront également pris en compte. Notons que la Fondation Air France intervient dans 90 pays, dont Madagascar ayant des escales de la compagnie.
P.R.


La une du 6 octobre 2022

Publié le mercredi, 05 octobre 2022

L’ONU, révolue !

Publié le mercredi, 05 octobre 2022

Si l’ONU était conçue, à l’origine, pour devenir un puissant remède apte à calmer les douleurs ou pour apaiser les crises, la date de péremption de son mode de fonctionnement est révolue et ce depuis belle lurette. En fait, elle ne répond plus aux nouvelles exigences dues à l’évolution de la « maladie » qui au final résiste. Afin de pouvoir être utile en rendant service à l’humanité, l’Organisation des Nations Unies doit se recréer, se réinventer et se recadrer.
Créée en 1945, aux sorties de la Grande Guerre (39-45), l’ONU s’essouffle du moins son mode fonctionnement. Tout compte fait, à soixante-dix sept d’âge, l’héritière de la Société des Nations (SDN) présente des signes de vieillesse, des rides. Il faudrait le relooker ! Pourquoi pas, le rajeunir afin de pouvoir répondre aux « nouvelles formes de maladie ».
Ayant défait totalement les troupes nazis et leurs acolytes (l’Axe Rome-Berlin-Tokyo) dans tous les fronts à travers le monde à savoir en Europe, en Russie, en Afrique y compris Madagasikara, les Alliés (USA, Angleterre et l’URSS) ont cru utile de créer une nouvelle Organisation plus efficace et plus solide que la SDN afin de cesser à … jamais les hostilités. « Plus jamais de ça ! » crièrent les grandes Nations vainqueurs en se référant à cette meurtrière et dévastatrice Guerre mondiale. Rappelons que le bilan de ce conflit mondial fut gravement désolant. Plus de 80 millions, 85 millions pour certains, de  morts dont plus de 45 millions de civils et particulièrement 6 millions de juifs. Notons qu’aucun conflit militaire n’a jamais, jusqu’à présent, atteint le niveau de ce macabre « score » ! Un triste et honteux record mondial ! L’Afrique en avait perdu des centaines de milliers de ses enfants durant cette guerre qui, finalement, ne fut la sienne !
Les pays Alliés, les grandes puissances, les USA, l’Angleterre, la France et l’URSS, membres fondateurs, se taillèrent la part du lion dans le mode de fonctionnement de l’Organisation. A eux s’ajoute la Chine. De droit et de fait, les cinq Etats susmentionnés sont membres permanents au sein du Conseil de Sécurité qui est de fait le « Gouvernement du monde » et jouissent chacun d’un Droit de veto.
De tels avantages spéciaux, membres permanents et droit de veto, dont bénéficient les cinq Etats susmentionnés bloquent indûment le bon fonctionnement de l’ONU dans l’exercice de la fonction que l’Organisation leur a confié. Combien de Résolutions d’importance capitale pour la paix ont été mises au placard et pour cause l’usage … abusif du droit de veto. La recrudescence des tensions et les conflits s’aggrave, les règlements au niveau de l’ONU tardent à cause des comportements parfois irresponsables des membres permanents du Conseil de Sécurité.
La place de l’Afrique dans le concert des Nations, l’autre problème que le chef de la Diplomatie malagasy l’a soulevé récemment. Il est grand temps que le Continent africain soit représenté de façon permanente au Conseil de Sécurité jouissant pleinement de ce droit tant décrié.
A l’aube du XXI ème siècle, l’Organisation des Nations Unies montre des signes de fatigue sinon d’impuissance face au défi sans cesse croissant et compliqué. La tournure que prennent les conflits à travers le monde nécessite un recadrage de son mode de fonctionnement.



Retard cumulé. Le projet Volobe amont est en gestation depuis près de 6 ans. Et l’attente va encore être longue parce qu’on n’arrive toujours pas à décider des dates de démarrage des travaux de construction du barrage hydraulique. Les phases de négociation et de préparation prennent plus de temps que prévu. Et la propagation de la pandémie à Madagascar n’a pas du tout amélioré les choses, il y a deux ans. Six ans de développement pour un projet d’aménagement hydroélectrique comme Volobe amont concerne plusieurs paramètres dont les études techniques, hydrologique, géotechnique, socio-économique ou encore le dialogue avec les communautés hôtes. Raison pour laquelle, parallèlement à la gestion de cette attente de concrétisation des travaux de construction, le consortium en charge du projet continue à miser sur l’éducation de qualité et la valorisation des compétences. Ainsi, depuis l’année dernière, au total près de 300 élèves des établissements scolaires des Communes de la zone de Volobe à savoir, Fanandrana, Ambodilazana,
Satrandroy et Ifito sont pris en charge. Face aux difficultés quotidiennes, ces élèves ont réussi et arrivent à acquérir des compétences aussi performantes que celles de leurs pairs en ville. Ces actions sociales sont toujours réalisées en partenariat avec la Direction régionale de l’éducation nationale Atsinanana et la CISCO de Toamasina II.
Impacts
« Il n’est plus nécessaire de réitérer que l’installation d’une centrale hydroélectrique demande la disponibilité des ressources humaines qualifiées. Une des conditions vitales non seulement pour la phase de développement mais aussi pour la construction et l’exploitation. Nous sommes convaincus que miser sur le capital humain contribue largement à l’efficacité et la durabilité d’un projet comme Volobe amont. C’est un investissement légitime et positivement impactant », explique Enick Razafindrakoto, directeur de la communication de la Compagnie générale d’hydroélectricité de Volobe (CGHV). En plus du volet social, il est à rappeler que le projet Volobe amont est en mesure d’assurer l’équilibre financier et opérationnel de la JIRAMA et ce par l’augmentation de l’accès à l’électricité fiable, verte et avec un coût compétitif. Il apporte aussi 25% de l’objectif cible de production électrique, soit 120MW sur les 400MW. Mais pour l’instant, force est de constater que les deux ans de retard cumulés jusqu’à présent, qui équivalent presque à la moitié du coût des investissements de départ soit un peu plus 200 millions de dollars, n’ont pour effet que de plomber le projet en entier. Dans tous les cas, la CGHV reste optimiste quant à l’opérationnalité du barrage à partir de 2023. « Nous sommes confiants en l’engagement du Gouvernement pour concrétiser ce projet. Grâce aux valeurs ajoutées économiques de ce projet, toutes les parties prenantes clés ont témoigné leurs engagements de le supporter. Par conséquent, notre plus grand souhait est de livrer les premiers kWh dans les meilleurs délais une fois la signature des contrats avec la JIRAMA », expliquent les responsables de la CGHV.

Hary Rakoto



Evénement - Madajazzcar démarre en douceur

Publié le mercredi, 05 octobre 2022


Les sons des batteries, contrebasse, guitare, piano…ont commencé à raisonner hier lors de l’ouverture  de Madajazzcar Festival. Pour cette première soirée de retrouvailles, cette 33e édition a démarré fort, hier à l’IFM Analakely, avec une première partie toute en douceur où la grande chanteuse Fanja Andriamanantena et compagnie ont proposé à la gourmandise du public d’avance, durant plus d’une heure, un jazz plein de vie, d’enthousiasme et un peu de swing. Près d’un tour d’horloge plus tard, avec éclats de guitare basse, rythmes jazzy, envolées épiques, le groupe Fanaiky Quartet entrainait l’audience sur des aires trépidants  issus de thème jazz envoutante et très musicaux. Pour aujourd’hui, le programme continuera toujours à l’IFM avec un atelier musical proposé par Bruno Angelini, Naissam Jalal et Regis Huby avant de poursuivre un concert pour le vendredi soir vers 19 heures. Malgré l’absence des concerts qui devraient se tenir à Antsahamanitra, les organisateurs ont dévoilé  un programme encore plus alléchant pour mieux satisfaire les fans. Aussi, en collaboration avec Sanfil, Madajazzcar pour cette édition accueillera « Analajazzkely »  où se tiendront 16 concerts gratuits en plein air à Analakely. Et ce n’est un échantillon de ce qui attend le public, puisque il y aura en tout 30 concerts au programme avec plus de 40 formations et 70 musiciens national et international invité. Il y aura entre autres Paco Séry, David Sauzay mais également des musiciens malagasy qui résidents à l’étranger tel que Solo Razaf ou encore Radanz.… de quoi faire saliver les mélomanes pour de bons moments sous les estrades.
 Eparpillés
Sachant que les manifestations se tiendront dans plusieurs localités de la capitale à l’instar de l’Aft Andavamamba, Ifm Analakely, Far West Faravohitra, Chikn’Art, Karibotel…et se répartira aussi dans la Cité des fleurs et à Nosy-Be. Comme à l’accoutumé le maitre-mot sera « ampleur et nouveauté» puisque les têtes d’affiche sont des grands noms de la musique jazz malagasy et les invités sont aussi des grands multiinstrumentistes de réputations internationale. Entre musique et découverte, une chose est sûre, le festival reste toujours intense, avec une multitude d’artistes de divers pays, et des plus grands de la place. En tout cas, bien au-delà du jazz, ce festival se veut être un rendez-vous exceptionnel où découverte rime avec musique et rencontres. Un incontournable rendez-vous qui aura une résonnance particulière pour les amoureux du jazz puisqu’il sera placé sous le signe de la paix, d’éducation, de solidarité, de connaissance, de rassemblement, de partage et de joie. A noter qu’avec la nouvelle collaboration avec la maison Sanfil production, l’ambition de Madajazzcar Festival sera pour cette 33e édition de produire un jazz dansant, festif, une musique qui peut être écouté débout et durer jusqu’au petit matin. Bref, une chose est sûr, tout le monde trouvera sa musique durant ses 10 jours de fêtes restants.
Sitraka Rakotobe


Les pompiers, les agents de la Commune urbaine d’Antananarivo ainsi que les éboueurs ont commencé à lutter contre les incendies au dépotoir d’Andralanitra, depuis jeudi. Selon une explication de la Société municipale de l'assainissement (SMA), l’opération s’avère difficile puisque le vent souffle fort. « A cause du vent et de la chaleur, il y a une étincelle qui déclenche une autre incendie. Le feu passe d’une parcelle à l’autre ». Mais le feu commence à être maîtrisé selon la SMA. Selon les experts en la matière, les déchets fermentent et libèrent du gaz méthane qui est inflammable. Avec la chaleur et le vent, le feu se déclenche tout seul. Voir des fumées épaisses sur le ciel d’Andralanitra et ses alentours est devenu une habitude pour la population. Aussi, les habitants sont condamnés à vivre avec, notamment les plus vulnérables dont les enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes et les asthmatiques.
La pollution de l’air a des conséquences néfastes sur la santé. Les personnes qui respirent de l’air pollué, pendant quelques heures, peuvent présenter divers symptômes comme l’irritation des yeux, la respiration sifflante, irritation et inflammation des voies respiratoires ou encore l’augmentation de l’essoufflement, en particulier durant l’activité physique. « Ces symptômes dépendent de l’état de santé de la personne ainsi que du niveau de pollution auquel elle est exposée», soutient le docteur Faraniaina Lucille, médecin généraliste.  Et de poursuivre : « Si l’individu souffre d’oppression à la poitrine, une douleur ressentie lors d’une profonde respiration ou encore une difficulté à respirer sans avoir fait d’effort physique, il devrait consulter un médecin en urgence. Le cas est déjà grave et pourra le conduire jusqu’à la mort. Une mauvaise utilisation de certains médicaments pourrait contribuer à faire apparaître ces symptômes et les aggraver ».
La pollution de l’air peut ainsi accroître le risque de maladies cardiovasculaires et causer des allergies, des crises d’asthme, des conjonctivites, des maladies des bronches, des cancers du poumon ou de la peau, des problèmes de vision, des maladies du sang et a des conséquences négatives sur le développement mental de l’enfant.
Recueillis par Anatra R.



Deux ambassadeurs se sont entretenus avec le Président de la République durant la journée d’hier. Dans la matinée, le Chef de l’Etat a reçu les lettres de créance du nouvel ambassadeur de la Confédération Suisse, Rolf Stalder, lors d'une cérémonie qui s'est tenue au Palais d'État d'Iavoloha. D’après les discussions entre les deux parties, les relations entre Madagascar et la Suisse, qui datent depuis plus de 60 ans, sont au beau fixe. D’ailleurs, la Suisse est aux côtés de la Grande île à travers plusieurs activités, notamment dans les actions et les réformes dans le secteur social mais surtout dans les projets de développement inscrit dans le Plan Emergence Madagascar. Le Président de la République n’a pas manqué d’exprimer sa reconnaissance envers l'engagement dynamique de la Suisse au profit de Madagascar notamment à travers les nombreuses ONG qui œuvrent pour le bien-être de la population malagasy. Le nouvel ambassadeur Suisse a exprimé sa volonté de continuer sur cette voie et d'améliorer davantage les relations diplomatiques entre son pays et Madagascar. Il a également affiché sa détermination à multiplier les projets afin de soutenir l'État
malagasy dans ses actions pour atténuer les impacts du changement climatique.
Du domaine social à l’économie
Après la Suisse, ce fut au tour de l’ambassadeur de Türkiye de présenter ses lettres de créance au Chef de l’Etat. Le Président a fait part de ses convictions par rapport à la nomination du nouvel ambassadeur qui, selon lui, renforcera davantage la coopération entre les deux pays notamment dans différents secteurs tels que les infrastructures, le tourisme, l'énergie, le commerce, ainsi que l'agriculture. Des domaines touchant directement le social et le bien-être de la population malagasy, et contribue au développement du pays.
Lors de cette rencontre, les deux personnalités ont également évoqué l'intérêt des entreprises turques qui souhaitent contribuer au développement économique de
Madagascar. Parmi elles figurent des firmes œuvrant dans le domaine de la construction. Selon le nouvel ambassadeur de la Türkiye, une rencontre entre les acteurs du secteur privé malagasy et turque sera à organiser prochainement afin de promouvoir davantage les relations économiques entre les deux pays.


L’enquête concernant le viol durant deux ans d’une adolescente de 17 ans par un prêtre, faits survenus dans une localité du District d’Antananarivo Atsimondrano, semble ne plus avoir aucune suite. En cause, aucun renseignement n’a filtré des différentes sources, spécialement de l’église concernée. Nos tentatives, pour obtenir des bribes d’information auprès du milieu sur le sort de l’homme d’église mis en cause, étaient vaines. Interrogés sur le sujet, une poignée d’ecclésiastes issus de certains diocèses, a été unanime sur un point. « Nous n’avons pas le droit de nous exprimer sur ce genre d’affaires », explique un prêtre.
A vrai dire, l’affaire gène beaucoup. « Je dirais que même l’évêque ne pourra pas vous donner son avis là-dessus », soutient un autre. Mais il n’y a pas que l’Eglise. Même silence de cathédrale, côté enquêteurs. Comme nous l’avions déjà rapporté dans l’une de nos précédentes publications, ni la Police, ni la Gendarmerie n’ont pas voulu non plus en parler. Pas plus tard qu’hier, l’un de nos contacts au niveau du service de police concerné reste muet. Et pourtant, cette même source policière serait la mieux habilitée à connaître les tenants et aboutissants de l’enquête en cours. De plus, rien n’a encore filtré de l’enquête préliminaire au niveau de la Police pour essayer de savoir si l’homme d’église incriminé a été déféré ou non au Parquet, comme la victime et ses proches l’ont souhaité. Car tout comme au niveau de la foi, l’enquête semble montrer une restriction pour s’exprimer sur l’affaire.


Sans doute, l’affaire aurait secoué toute une branche d’églises chrétiennes, qui sembleraient ne pas vouloir l’ébruiter.Personne n’a donc réussi à percer le mystère, du moins pour essayer de savoir ce qui a attendu le prêtre mis en cause. L’affaire avait-elle été classée sans suite ? Seul le lendemain saura alors le dire.   
Les faits se seraient déroulés dans une Commune de Tanjombato, dans l’Atsimondrano. Une source d’information rapporte donc que la victime aurait enduré les bas instincts, sinon se plier au devoir de satisfaire le libido d’un prêtre d’une paroisse sise dans une Commune d’Antananarivo-Atsimondrano, chaque fois que l’occasion se présente, selon cette source. La jeune fille devrait voir fréquemment le prêtre,   par la force des choses. Car c’est elle qui joue le rôle de commissionnaire pour apporter systématiquement les produits agricoles de sa mère, dont l’homme d’église a besoin. D’ailleurs, ce dernier aurait saisi la balle au bond pour profiter de ces moments de passage de la fille chez lui pour la séduire. D’abord, il aurait réussi à obtenir le numéro de téléphone de l’adolescente tout en cherchant à la mettre à l’aise, quitte à la convaincre de le considérer comme son propre père. Mais leur relation se serait allée un peu plus loin encore. Il y a des moments où la fille aurait dû passer la nuit chez l’homme d’église parce qu’il faisait déjà nuit lorsqu’elle devrait rentrer chez elle. Et ce ne serait pas une ou deux fois, mais plusieurs fois. Enfin, l’homme d’église, pour pouvoir retenir longtemps la victime, lui aurait permis d’abandonner sa soutane pour la prendre en tant que sa femme. Et à cette source d’appuyer que cette jeune fille n’est pas la seule à passer dans le giron de ce prêtre qui aurait fait passer plusieurs autres femmes, et même des religieuses dans son lit.  
Franck R.
 


Tout porte à croire que les Malagasy de l’année 2020, entendent, d’ une part, authentifier et renforcer leur unité et d’autre part, se faire un nom dans  le concert des Nations, à travers leurs  athlètes … Et le mouvement « Lomay », s’inscrit, vraisemblablement, sans que ses initiateurs s’en rendent compte, dans un élan qui se font dans ce sens.

 

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Editorial

  • Foire de tous les espoirs
    La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté. Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la…

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