Nos archives web

Un ballon pour égayer la vie d’un enfant à travers le sport dans la Région Atsimo-Atsinanana. Christiane Minaoharisoa Jaofera veut aider sa région natale. Du 23 octobre au 30 novembre, ce membre de l’équipe nationale de basketball, et non moins entraîneur qui vient de bénéficier d’une formation d’entraineur FIBA à Kigali Rwanda veut encore plus marquer dans le basketball malagasy.

Dans le cadre du championnat national de basketball N1A, l’enthousiasme des passionnés est à son summum.

Première décision prise le 24 octobre 2022. La France vient de confirmer la suspension de la procédure d’adoption des enfants malagasy par les Français. En fait, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères a rendu publique, dimanche dernier, la confirmation de la première suspension provisoire prise il y a un an. « Nous croyons que cette suspension de l’adoption par les autorités françaises est due à la lenteur de traitement des dossiers par l’autorité centrale d’adoption à Madagascar (ACAM). Cette lenteur est due au fait que la loi malagasy d’adoption numéro 2017-014 du 26 juillet 2017 n’a toujours pas son décret d’application. Le Gouvernement a jusqu’ici utilisé le décret d’application n° 2006-596 du 10 août 2006 qui est considéré comme dépassé », avance une responsable auprès de la Plateforme de la société civile pour l’enfance (PFSCE). 

Les quartiers d’Anosibe, Ampefiloha, Besarety sont submergés par les eaux de pluie depuis le week-end dernier. Et pour cause, certaines parties des canaux d’évacuation d’eau sont complètement remplies de déchets plastiques en tout genre. Les bas-quartiers sont les plus touchés par cet entassement de détritus. Les canaux n’arrivent plus à assurer leur rôle et l’eau stagne. Tout type de matières plastiques y est jeté, notamment des bouteilles d’eau, des chaussures, des seaux usés. En plus, les jacinthes d’eau fixent les déchets qui deviennent très difficiles à enlever.

Quid d’un trésor inestimable !

Publié le lundi, 23 octobre 2023

Qu’en est-il de l’unité nationale ? Cette richesse nationale dont la valeur estimative survole tout. Un trésor inestimable que chaque citoyen doit impérieusement veiller à le sauvegarder telle la prunelle de yeux.

 Quels que soient les fantasmes frisant les délires déclenchant une ambiance quelque cacophonique, le pays se dirige vers le décisif scrutin du 16 novembre. Simultanément, c’est navrant de le constater que, à défaut de prise de conscience générale, la Grande île glisse sinon dérape, sans que tout le monde ne s’en rende pas réellement compte, vers le cataclysme pas forcément naturel mais voulu par certains de nos acteurs politiques. 

Dans le cadre de la modernisation de l'Administration publique à Madagascar, le ministère de l'Economie et des Finances (MEF), en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), a marqué une étape significative en organisant le lancement officiel du Système national intégré de suivi-évaluation (SNISE) en ligne. La cérémonie s'est tenue au Centell Antanimena en présence de hauts dignitaires, notamment des ministres, des représentants des partenaires techniques et financiers, des représentants de la présidence, ainsi que l'équipe du MEF. 

L’événement « Mode éthique et durable », organisé par l’Institut français de Madagascar (IFM), en collaboration avec Air France, a tenu ses promesses. Il s’agissait d’un programme de sensibilisation à l’endroit des artistes pour une mode éco-responsable. Un projet vise à promouvoir une mode durable et éthique, accompagnée d’une démarche de professionnalisation et d’échanges de bons procédés et d’expériences, tout cela en vue de soutenir et de pérenniser la filière dans une démarche éco-responsable. 

La Vérité (+). Onze candidats ont formé un front pour contester le processus électoral actuel. Qu’en pensez-vous ?

Sylvain Rabetsaroana (=) : Ces prétendants ont fait acte de candidature à la HCC, libérant chacun la caution de 200 000 000 d’ariary, participant au tirage au sort à la CENI et acquiesçant les numéros qui leur furent attribués. Leurs noms et numéros s’inscrivent d’ores et déjà dans la noblesse des bulletins uniques. Ils ont apposé leur signature sur la Charte de bonne conduite. Quels desseins nourrissent-ils exactement? Nous évoquons ici le destin de la nation, l’avènement du futur Président de la République. Il est impératif de faire preuve de responsabilité et de maturité.

Cela fera bientôt trois semaines que les membres du collectif des candidats sillonnent les rues de la Capitale. Une manifestation qui se veut être une « révolution » mais qui revêt pourtant un caractère vindicatif à plus d’un titre. Rien qu’à voir les principales figures du collectif, tout s’explique. D’abord, en tête de liste figure Marc Ravalomanana, l’éternel adversaire politique d’Andry Rajoelina. Depuis son renversement du pouvoir en 2009, l’ancien Président attend d’avoir sa revanche mais peine à arriver à ses fins. La difficulté de son parti « Tiako i Madagasikara » à vaincre le parti Orange à chaque rendez – vous  électoral, que ce soit la présidentielles ou les communales. Pour cette course à la magistrature suprême, l’échec semble encore pointer le bout de son nez pour le TIM qui voit une échappatoire en cette manifestation du collectif des candidats.

Une démarche vouée à l’échec. C’est la conclusion de nombre d’observateurs en apprenant que Andry Raobelina, candidat à la présidentielle, a déposé une nouvelle requête à la Haute Cour constitutionnelle (HCC) pour demander le report de l’élection présidentielle en invoquant un nouveau « cas de force majeure ». 

Cette fois-ci, il a expliqué que sa participation au processus électoral était entravée en raison de l’opération à l’œil droit qu’il a subie à l’île Maurice le 16 octobre 2023. Cette opération nécessite des visites postopératoires et un suivi médical au Dr Agrawal’s Eye Hospital, ce qui, selon lui, l’empêche de mener pleinement sa campagne électorale.

La une du 23 octobre 2023

Publié le dimanche, 22 octobre 2023

Fil infos

  • Service public - 65 000 agents accéderont au statut de fonctionnaire
  • Polyclinique Ilafy - Arrêt des séances d’hémodialyse
  • Administration publique - Relance de l’intégration des agents non encadrés de l'Etat 
  • L’étiquette Gen-Z devient outil de récupération politique
  • Stockage de matériels de la JIRAMA à Toamasina - Le Groupe Sodiat apporte des clarifications
  • Persécutions politiques - Les collaborateurs de Rajoelina dans le viseur du régime
  • Fête de la Nativité - Pas de trêve politique
  • Administration public - Six Chefs de Région "par intérim" nommés 
  • Haute Cour Constitutionnelle - Des soi-disant démissions contestées
  • Gouvernement de la Refondation - Distribution de vivres dans le Grand Sud en fin de semaine dernière

La Une

Recherche par date

« December 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 31        
Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff