Publié dans Société

Effondrement de maison à Ambalavao-Tsienimparihy - Le père, le fils et la grand-mère ensevelis

Publié le mercredi, 22 février 2023

Partout sur sa trajectoire dans l'ex-province de Fianarantsoa, le cyclone Freddy a semé la mort et la désolation. C'est qui s'est produit notamment à Ambalavao-Tsienimparihy, dans la Région Haute-Matsiatra. Sur place, c'est une famille qui a été endeuillée à la suite de l'effondrement de sa maison à Ankofika, nom du quartier. Le drame, survenu vers 8h du matin hier, s'est traduit par la perte brutale de trois membres de cette famille dans des circonstances affreuses. Et pas des moindres. L’un d’eux, connu sous le sobriquet de Bota, n’est autre que cet acteur de cinéma local. Par ailleurs, une femme âgée ainsi que son petit-fils, dont l’âge n’a pas été communiqué, figurent aussi sur la liste des victimes.

Selon des sources concordantes, tout cela n'aurait dû pas arriver si les occupants ne sont pas encore retournés à l’endroit. Quelques heures avant, ils ont pris la sage décision de quitter provisoirement leur maison, de crainte justement de voir un possible écroulement de celle-ci, situation pouvant arriver à tout moment, à cause de sa vétusté et le vent en furie, pour regagner un endroit plus sûr. Mais vers les premières heures de la matinée hier, ils étaient résolus d'y retourner, juste le temps de préparer le petit déjeuner. Mais c'était malheureusement à ce moment-là que le pire est arrivé ! Sous les bourrasques et avec tant d'humidité accompagnant le cyclone lors de son passage au-desus d’Ambalavao, la vieille bâtisse n'a pas tenu et s'effondra brutalement, ensevelissant ainsi ses pauvres occupants. 

Il a fallu une quarantaine de minutes d'un travail acharné et se déroulant dans des conditions périlleuses pour que les sauveteurs aient pu finalement dégager les victimes, déjà en état critique, des décombres de la maison en ruine. Les secours ont tout tenté pour les sauver en les transportant rapidement à l'hôpital. Malheureusement, les victimes ont déjà succombé avant même que les médecins aient pu faire quelque chose pour les sauver.

 

Franck R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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