Publié dans Sport

Eliminatoires Mondial 2022 - Nomena Andriantiana, jeune et ambitieux

Publié le vendredi, 05 novembre 2021

Convoqué pour la première fois par le Coach Eric Rabesandratana, pour honorer le maillot de l'équipe nationale malagasy, Barea de Madagascar, Nomena Andriantiana ne cache pas son ambition pour le football du pays.

 

Valeur sûre des futurs Barea. Le coach Rabesandratana a dégoté ce jeune défenseur central de 22ans formé à Marseille pour rejoindre son effectif, dans la politique du rajeunissement de l'équipe et notamment en vue de la préparation de la Coupe d'Afrique des Nations 2023. « Quel honneur de rejoindre les Barea, un rêve de gamin », s'exalte Nomena Andriatiana suite à sa convocation.

Rappelons que Madagascar se déplacera à Cotonou Bénin, ce jeudi 11 novembre pour défier les Ecureuils au Stade Général Mathieu Kérékou Cotonou avant de recevoir la Tanzanie à domicile le dimanche 14 novembre 2021.  

« J'ai commencé le foot à 5 ans dans le club de Vivaux Marronnier (Marseille) où j'ai pu jouer avec Mohamed Somakan (ndlr : actuellement au RB Leipzig). Ensuite, j'ai quitté le club à 9 ans pour intégrer le centre de Formation de l'Olympique de Marseille. Je suis resté au centre de formation de l'OM jusqu'à mes 19 ans, j'ai pu jouer aux côtés de Boubacar Kamara (joueur de l'OM), et encore Simakan qui m'a rejoint quelques années après mon arrivée à l'OM. », dixit Nomena Andriantiana.

Après avoir fait un choix scolaire (prioriser le bac aux entraînements), il a quitté le club pour rebondir au SC Air bel (Marseille) en U19 (1an). Il a participé durant cette année 2019 à sa première RNS avec l'équipe de Marseille, et a eu la chance de gagner ce tournoi à Lyon.

Ensuite, Nomena Andriatiana a rejoint la Côte bleue en U20 puis intégré l'équipe de Mohamed Sadani l'année même qui évoluait en national 3.

Après une année passée au FC Côte Bleue, il a signé en mars 2021 avec Marignane FC, pour jouer en national 2 (CFA).

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • D’éternels médecins après… !
    On était, on est et on restera d’éternels médecins après la mort ! Et la honte ni le ridicule ne tue pas. La capacité d’anticipation et la compétence à prévenir nous échappent honteusement. On est là ! Et le pays paie les prix au plus fort pour en devenir l’un des plus pauvres du monde. Et le drame, personne n’est responsable. Ce sont toujours les autres qui portent le chapeau. Quel dommage !Depuis toujours, les ressources naturelles endémiques du pays font l’objet de braquage à ciel ouvert, de trafics illicites imparables et de commerce au noir sans que nos supposés meilleurs responsables du pays, nos supposés grands stratèges, des généraux et autres, de l’Armée, de la Gendarmerie et de la Police nationale ne parviennent pas à stopper ou tout au moins contrôler le crime. Et le sang coule ! Une hémorragie sans arrêt ! Exsangue, Madagasikara n’est que l’ombre de…

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