Publié dans Sport

Judo Grand Slam de Paris - Christiane Vital privée de compétition

Publié le lundi, 07 février 2022


Suspectée d’avoir la Covid -19, la judokate de 21 ans n’a pas pu prendre part au prestigieux tournoi international qui s’est déroulé le samedi 5 et 6 février derniers. Pourtant, c’est la première fois qu’elle allait participer au tournoi sous les couleurs de Madagascar. Toutefois, elle n’a rien à regretter. Celle-ci a encore un meilleur avenir devant elle. Rappelons que la binationale a participé, pour la première fois, au championnat de France l’année dernière et elle a terminé quatrième de la compétition.
« Comme vous avez pu le constater, je n’étais pas présente sur le tatami, hier, car lors du passage au contrôle sanitaire, mon test PCR a révélé une suspicion de Covid-19 ce qui par conséquent m’interdisait de me présenter à la compétition. Je tenais quand même à vous remercier pour tous vos messages de soutien et d’encouragement. Je ne me laisse pas abattre ce n’est que le début !  On se retrouve bientôt pour de nouvelles compétitions », a-t-elle souligné. A noter que la judokate malagasy expatriée a participé au tournoi de Bercy.
Quant à son compatriote Rico Maminirina Andriamanantsoa, il a pu faire son premier pas sur le tatami du Grand Slam sous la houlette du coach et judoka Fetra Ratsimiziva.
Un premier pas pour Rico, ce judoka de 29 ans, dans la cour des grands. Mais, il a été sorti au premier tour par l’Italien Basile Fabio dans sa catégorie des moins de 73 kg de la poule C, un habitué du circuit mondial par ippon. Son bourreau a terminé 5ème à la fin de la compétition pour les moins de 73kg. Une épreuve majeure du calendrier international qui réunit la plupart des grands champions mondiaux. La compétition a réuni 285 judokas issus de 52 nations des 5 continents.
Rappelons que Rico a terminé 5e au championnat de France militaire et 6e aux championnats du monde de Jiu jitsu en 2015.
Recueillis par E.F.


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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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