Publié dans Sport

Réunion des CIJ - Visite des sites de compétition et règlements au menu

Publié le mercredi, 14 décembre 2022



Après les deux éditions en 1990 et en 2007, Madagascar sera de nouveau le pays hôte des Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) XIème édition en 2023.
Date et lieu fixés. C’est désormais officiel ! La XIème édition des Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) se déroulera à Madagascar du 25 août au 3 septembre 2023.
La deuxième réunion du Conseil international des Jeux (CIJ) se déroule à l’hôtel Novotel Ivandry du 14 au 16 décembre.  Il y aura certainement deux autres réunions du CIJ dont  la dernière réunion est prévue au mois de mai 2023 avant les Jeux.
Sept pays membres du CIJ se réunissent durant ces trois jours d’assemblée du CIJ. Les dates de compétition et les infrastructures hôtelières et sportives vont être les points forts de ladite réunion. Effectivement, les règlements de compétition seront au menu durant ces trois jours.
Les 23 disciplines proposées lors de la première réunion au mois de janvier ont toutes été retenues. Il faut trois pays engagés pour qu’une discipline soit validée.
C'est confirmé. Les Jeux des îles de l’océan Indien 2023 auront bel et bien lieu du 25 août au 3 septembre de l’année année prochaine. Quatre villes abriteront les jeux dont Antananarivo, Toamasina, Mahajanga, Taolagnaro et Sainte-Marie pour les 23 disciplines. Sept pays ont confirmé leur engagement à savoir Madagascar,  île de La Réunion,  l’île Maurice,  île Mayotte,  les îles Comores et les îles  Seychelles et Maldives et seront au rendez-vous.
Les participants vont visiter les sites à Mahajanga, prévus dans leur programme ce jour, notamment le nouveau gymnase de 4000 places en construction, la piscine olympique et le gymnase du Complexe sportif en plus de la plage du village touristique.
Le président du CIJ, en la personne du ministre de la Jeunesse et des Sports, Tinoka Roberto, a annoncé à la cérémonie d’ouverture officielle, d’hier, que le Gouvernement malagasy est prêt pour accueillir l’événement. « Sous le leadership du Président de la République, Andry Rajoelina, notre Gouvernement réitère son engagement  à accueillir les Jeux. Certes, nous avons accusé des retards, mais nous allons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que les jeux se déroulent dans des conditions optimales et d’offrir un grand jeu digne d’un évènement sportif international en répondant aux attentes des îles sœurs», souligne-t-il.
Le ministre Tinoka n’a pas manqué l’occasion de remercier ses invités d’avoir porté le choix sur Madagascar.
Quant au président du Comité olympique malagasy,  il a promis que Thomas Bach, président du Comité international olympique sera l’invité d’honneur des ces 11es Jeux des îles à Antananarivo.
Elias Fanomezantsoa

Les sites de compétition
ANTANANARIVO
Complexe Sportif Vontovorona
Handball, badminton, tennis, football
Gymnase Ankorondrano
Judo, haltérophilie
Palais des Sports de Mahamasina
Basket-ball
Petit Palais
Lutte
Terrain de l’ACSA
Tennis
COT à Ilafy
Hippisme
Boulodrome Fitaratra Tanjombato
Pétanque
Kianja Makis
Rugby
Stade Municipal d’Alarobia
Athlétisme

MAHAJANGA
Plage village Touristique
Beach-volley – Beach-soccer
Gymnase Complexe sportif
Taekwondo, karaté
Gymnase Mangarivotra
Volley-ball
Piscine Olympique Ampisikina
Natation, Handinatation

SAINTE-MARIE
Voile
FORT-DAUPHIN
Surf









 




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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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