Publié dans Sport

Rallye - 32 équipages sur la grille de départ

Publié le lundi, 12 juin 2023


 Le 44ème Rallye international de Madagascar change de nom et devient le Grand Rallye de Madagascar.  Comptant pour la deuxième manche du championnat de Madagascar de Rallye 2023, la course se tiendra les 16, 17 et 18 juin. Au total, douze épreuves spéciales de 213,18km sont au programme avec des liaisons longues de 195,04km.
 « Vu l’absence des participants étrangers au rendez-vous depuis quelques années, les clubs se sont accordés à changer le nom de la course. Mais il se pourra que le RIM revient dans 1 an ou deux. Des négociations sont en cours avec la ligue de Rallye de La Réunion.  Par ailleurs, des pilotes malagasy pourront faire le déplacement à La Réunion au Rallye Tour et en échange, les pilotes réunionnais viennent à Madagascar. Par contre, rien ne change sur l’aspect du RIM avec ses 213km de distance. Cette année, la course  couvrira les alentours de l'axe RN4 avec des nouveaux parcours », explique Jeannot Rabekoto, président du club ASACM, organisateur. La particularité du Grand Rallye de Madagascar de cette année c’est qu’il reliera les axes Toliara, Mahajanga, Toamasina.
Par rapport à l’acte de sabotage de l’année dernière dont le commanditaire n’a jamais été dévoilé, la Fédération prendra encore plus de précaution pour la sécurité des voitures dans les parcs fermés. Ce dernier sera installé à Andohatapenaka, au Canal Olympia pour tous les équipages. Une agence de sécurité a été aussi engagée.
 32 équipages se sont engagés sur la grille de départ. Parmi les inscrits, on signale le retour des  frères Mika Rasoamaromaka (Peugeot 206) et Faniry Rasoamaromaka (Peugeot 208).
 A l'issue de la première manche, le Rallye Motul FMMSAM, c'est Frédéric Rabekoto de l’équipe Autodiffusion qui occupe la 1ère place du championnat provisoirement, suivi du tenant du titre, Mathieu Andrianjafy et Aro Kiady Rajemison qui est troisième du championnat.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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