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« Je n’ai jamais eu un acte d’état civil puisque mes parents ne m’ont pas enregistré lors de ma naissance. J’ai pu quand même être scolarisée, avant de passer en classe de 7ème. La copie fait partie des dossiers requis pour passer le CEPE, mais je n’en ai pas. J’ai été contrainte d’abandonner l’école ». Valimbavaka R., une adolescente de 13 ans, originaire d’un village à Arivonimamo, nous le confie. H.R., un jeune homme âgé de 16 ans, a également vécu presque le même calvaire. « J’ai dû abandonner l’école en classe de 10ème, faute de moyens de mes parents. J’ai voulu ensuite revenir en classe, quelques années plus tard, mais l’absence d’une copie de naissance a posé problème. Depuis, je me suis résigné. Mais je serai majeur dans deux ans et je veux à tout prix être enregistré en tant que citoyen », témoigne le jeune homme.

Le nombre de cétacés, surtout celui des baleines sur nos côtes ont augmenté ces derniers temps avec la période de migration de ces mammifères et la saison de reproduction. Cette année, on a recensé 13 baleineaux sur nos côtes, en plus de ceux qui n’ont pas été découverts jusqu’à présent. Bien qu’elles soient restées dans le domaine du mystère, les attaques des prédateurs et les actions humaines sont avancées par les scientifiques pour expliquer ce phénomène.

Au galop !

Publié le lundi, 12 septembre 2022

Velirano avance à grands pas, au galop ! A la vitesse de grand « V », du TGV, la concrétisation des promesses présidentielles prend une allure vive. Incontestable et indubitable, le régime Orange de Rajoelina Andry Nirina marque des points. Même les plus réticents voire les plus sceptiques commencent à réfléchir. Tout compte fait, le couple présidentiel séduit !

Le processus d'industrialisation à Madagascar ne pourra se faire du jour au lendemain. Un constat évoqué constamment lors des colloques, ateliers et autres évènements traitant ce concept, comme hier au Carlton Madagascar lors du lancement officiel du Projet d'appui à l'industrialisation et au secteur financier (PAISF). Un projet financé par un prêt d'environ 14,52 millions d'euros à travers le Fonds africain de développement, le guichet de prêt à taux concessionnel de la Banque africaine de développement (BAD). 

L’Institut français de Madagascar (IFM) abrite une exposition de photos menant le public à une invitation de voyage. Et pour cause, le lieu accueille un événement intéressant qui réunit trois artistes de renom. Ainsi, une exposition intitulée « La fabrique d’images », accompagnée du spectacle « Sary an-kirasinoratra » concocté par Philippe Gaubert et ses complices, à savoir Hemerson et Rôla Gamana, a pris possession de la salle de l’IFM depuis jeudi. Plus de 600 photos du photographe Philippe Gaubert émerveillent les murs de la galerie.

Le Président Andry Rajoelina est officiellement invité à prendre part au 18ème sommet de la Francophonie qui aura lieu à Djerba, en Tunisie les 19 et 20 novembre prochains. L’invitation a été formulée par la Secrétaire générale de l’OIF, Louise Mushikiwabo, au cours de son entretien avec le Chef de l’Etat au palais d’Iavoloha, dans l’après – midi d’hier.

Une nouvelle tragédie qui a fait 12 victimes a eu lieu dimanche dernier dans le District d’Antsohihy, au niveau de la localité d’Antafiapatsa vers 19 h 30. Un boutre transportant des marchandises, « Eau Vive Fenorano », a percuté une petite embarcation du nom de « Mazava II » qui avait à son bord 33 passagers et des produits de première nécessité. Le boutre a continué sa route après l’accident et n’a probablement pas vu le « Mazava II » qui naviguait sans lumière.

LA UNE DU 13 SEPTEMBRE 2022

Publié le lundi, 12 septembre 2022



Fruit du partenariat du ministère de l’Education nationale (MEN) et C3 Madagascar (C3M). Une cinquantaine d’enseignants, directeurs d’établissements ainsi que des représentants de DREN, CISCO et ZAP issus de la Région de Menabe ont été formés sur l’éducation relative à l’environnement marin et biodiversité marine d’une part et l’éducation à la citoyenneté et au civisme, de l’autre. Les personnels de l’éducation formés proviennent de 17 écoles des Districts de Morondava et de Manja. La formation de 3 jours, du 31 août au 3 septembre dernier, était une occasion de renforcer leurs connaissances sur les thèmes abordés. Ils ont également été formés sur l’utilisation du guide d’éducation environnementale des « Juniors Ecoguards », en vue d’étendre ce réseau des jeunes. Les enseignants ayant reçu cette formation sont désormais capables de créer et d’animer un club « Junior Ecoguards ». « Tous les thèmes traités sont intéressants et importants. Nous avons eu l’occasion d’apprendre l’existence et l’importance de certaines espèces méconnues mais qui existent dans notre Région », témoigne l’un des participants.
La formation résulte d’un accord de collaboration entre le MEN, à travers la Direction de l'Éducation de Masse et du Civisme et l’ONG C3M, ratifié en 2016 et renouvelé en 2021. Il s’agit d’une initiative financée par l’Organisme sans but lucratif Tusk trust, avec l’appui technique de divers partenaires locaux. Le choix de la Région de Menabe s’explique, notons-le, par sa richesse en termes de biodiversité, que ce soit marine ou terrestre. Cette Région côtière possède des aires protégées, un parc national, de réserves spéciales et des sites Ramsar tels que Belo-sur-Mer, Menabe Antimena, Kirindy-Mitea, Andranomena, Ambondrombe, l’allée des Baobabs et une partie du complexe Mangoky-Ihotry.
P.R.





Les observateurs ont scruté avec une grande attention le communiqué du dernier Conseil des ministres de mercredi. Ils sont à la recherche du nom de l’éventuel remplaçant du gouverneur d’Alaotra-Mangoro, Dr Richard Ramandehamanana. Limogé la semaine passée, le natif d’Ampitandrefana d’Alaotra a laissé vacant son poste à Sabotsy Ambatondrazaka, le siège de l’administration régionale.
Selon des informations, l’administration centrale n’a pas encore désigné l’intérimaire. Cette fonction devrait revenir de fait au secrétaire général, Dr Damoela Randriatsimaniry. Aucune notification dans ce sens n’a eu lieu jusqu’ici.
Les spéculations vont bon train pour trouver le nouveau chef de l’exécutif de cette collectivité territoriale décentralisée. Les noms des parlementaires issus du parti majoritaire sont entendus dans les échanges informels. Certes, les cinq Districts constitutifs de la Région ont tous chacun un député élu sous la couleur Orange.
Comeback
La popularité de ces politiciens a connu une chute libre dans leur circonscription respective. Quelques-uns trouveraient peut-être en la fonction du gouverneur un tremplin en or pour préparer le retour à Tsimbazaza lors des prochaines législatives. Voilà pourquoi ils auraient fait des mains et des pieds pour être le chouchou d’Iavoloha à placer à la tête de l’exécutif d’Alaotra-Mangoro.
L’administration de cette Région est jusqu’ici dominée par les Sihanaka. Feu David Alexandre Robinson, un natif de Moramanga donc de Mangoro, était le seul chef de l’exécutif d’Alaotra-Mangoro hors du groupe ethnique Sihanaka. Il était le premier chef de Région d’Alaotra-Mangoro de 2004 à 2009. Le changement de régime en 2009 l’a chassé de sa chaise au profit de Ramandehamanana.
Au temps de l’HVM (2014-2019), trois autres Sihanaka à savoir Dr Honoré Raminoarison, Jean-Yves Ranaivonirina et Désiré Ranarisoa s’y sont succédé avant que Ramandehamanana n’ait fait un comeback après l’avènement du pouvoir en place.
A voir la configuration ethnique qui a prévalu jusqu’ici, d’aucuns estiment que le temps est maintenant venu d’attribuer le poste de gouverneur d’Alaotra-Mangoro à un natif d’Andilamena ou d’Anosibe Anala. Moramanga, Ambatondrazaka et Amparafaravola ont tous été présents à la tête de l’exécutif régional. Mais jamais les deux autres Districts.
Tolérance zéro
L’un et l’autre, situés à la pointe nord et sud de la Région, sont très en retard en matière de développement. Le manque d’infrastructures routières les fait souffrir. De plus, le gouvernorat de Ramandehamanana a eu tendance à concentrer les actions de développement à Amparafaravola, dont il est originaire, et à Ambatondrazaka.
Son style de gouvernance a généré des frustrations. Pas mal de citoyens avertis veulent lui régler un compte maintenant. Les impayés des marchés publics irréguliers sont faramineux. Les entrepreneurs exigent leurs dus. Le Président Andry Rajoelina a toujours martelé la politique de la « tolérance zéro » à l’égard de la corruption et des infractions assimilées. Il ne ferait exception à personne, selon sa promesse électorale…
M.R.

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Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

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