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Gestion financière - L’ARTEC pointée du doigt

Publié le vendredi, 10 décembre 2021

Discutable. La Cour des comptes, l’institution supérieure de contrôle des finances publiques, a présenté hier son rapport public 2021 dans les locaux de la Cour suprême, sise à Anosy. Grâce à ce rapport, les militants en quête de la bonne gouvernance ont pu avoir accès à tous les indicateurs de performance des institutions publiques en matière de gestion financière.

Jeune talent - La magie opère toujours avec Koukoumi

Publié le vendredi, 10 décembre 2021

Depuis son enfance, Koukoumi le magicien, de son vrai nom Ny Aina Rabenjamalala possède l'âme d'un magicien. A cette époque, comme tout enfant de son âge, c’était surtout en visionnant des films de magie que le jeune a commencé à aduler cette discipline. Ayant accompli tant d’efforts et de multiples recherches, il a finalement réussi quelques tours de magie. Néanmoins, étant donné qu’il est encore tout jeune tout en étant motivé par cette soif d’aller toujours plus loin, Koukoumi ne cesse jusqu’à aujourd’hui de performer son art.

Après Toamasina, le Président Andry Rajoelina a poursuivi sa visite dans la partie Est de Madagascar, à Soanierana Ivongo. Le Chef de l’Etat y a lancé de façon officielle les travaux de réhabilitation de la route nationale n°5 qui se trouve dans un piteux état. « L’heure n’est plus  aux promesses mais aux actions », a déclaré de manière ferme le Président Andry Rajoelina qui a rappelé le lancement des travaux d’extension du Port de Toamasina la veille. Bien que le délai d’exécution du chantier sur cette route nationale soit prévu pour 24 mois, le Chef de l’Etat a donné des consignes fermes pour terminer l’ouvrage en 18 mois, c’est-à-dire avant la célébration du 26 juin 2023. 

Les leaders prêchent dans le vide! L’appel à une marche vers la place du 13 mai à Analakely, lancé par une association de défenseurs des droits des consommateurs, n’a pas reçu l’écho espéré de ses organisateurs. Une manifestation « pacifique » destinée, selon ses planificateurs, à exprimer et réclamer leurs droits fondamentaux. Hier, quelques personnes seulement ont répondu à l’invitation. Des petits attroupements ont été ainsi aperçus aux alentours de l’Hôtel de Ville. Cependant, il n’y a eu aucune perturbation de trafic. Pas de banderoles. Juste quelques interpellations adressées envers les autorités face aux problèmes sociaux du pays. 


Le danger pourrait déjà être parmi nous. La 3ème vague de la pandémie liée à la Covid-19 aurait – elle discrètement fait son entrée après la réouverture des frontières ? Bien que les autorités n’aient pas encore annoncé de manière officielle cette nouvelle vague, la réalité dans les hôpitaux porte à le croire. Le virus se propage rapidement et est très contagieux. D’après les informations émanant de sources avisées, les hôpitaux qui prennent en charge les cas de Coronavirus à savoir Anosiala, Befelatanana, Andohatapenaka, CENHOSOA seraient déjà encombrés en ce moment.
Outre la réapparition des symptômes de la Covid-19 chez de nombreux individus, d’autres indices inquiétants laissent penser que Madagascar s’achemine de manière rapide vers une nouvelle vague : il s’agit des statistiques sur le nombre de nouveaux cas qui forment une courbe ascendante. Durant la période entre le 27 novembre au 3 décembre, Madagascar a enregistré 470 nouvelles contaminations dont 22 formes graves et 5 nouveaux décès selon les chiffres du ministère de la Santé. Pourtant, une semaine plus tôt, c'est-à-dire entre le 20 au 26 novembre, le nombre de nouveaux cas était de 258 dont 13 formes graves. L’effectif des nouveaux cas a donc presque doublé en seulement une semaine.  De quoi faire monter les inquiétudes.
Les enfants à protéger
D’après des sources médicales, les signes de l’épidémie sont les mêmes. Toutefois, le virus n’épargnerait plus aucune catégorie de personnes comme les enfants ou encore les personnes vaccinées. Du côté des citoyens, l’insouciance et le relâchement semblent encore perdurer. Inconscient de la menace, beaucoup rechigne encore à adopter les bons gestes. Les médecins préconisent pourtant que les mesures sanitaires d’usage soient renforcées pour prévenir une propagation trop rapide de la pandémie : le port de masque obligatoire, le lavage fréquent des mains avec mise à disposition de kits de nettoyage (savon, seaux d’eau, etc.), l’aération des chambres en ouvrant les fenêtres, le respect de la distanciation sociale, et enfin la consultation auprès d’un centre médical en présence des signes inquiétants.
Pour rappel, le Président Andry Rajoelina avait annoncé le début de la 2ème vague le 21 mars dernier. Le pays avait alors enregistré 2 483 nouvelles contaminations en un mois (entre le 18 février jusqu’au 20 mars). Vu les statistiques actuelles, le cap des 2 000 nouveaux cas en un mois pourrait être bientôt franchi.
Sandra R.

La une du 10 décembre 2021

Publié le jeudi, 09 décembre 2021

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 09 décembre 2021

Vendredi 10 décembre
BIG MJ
De retour sur la scène de la Capitale, la super vedette originaire du District d’Antalaha investira la scène du Bonara Be 67 Ha, ce soir à partir de 21h. Big MJ propose une nouvelle soirée dénommée « Lehilahy manam-bola ». Promettant une chaude ambiance à ses fidèles fans, le chanteur et son groupe vont partager le meilleur d'eux-mêmes par le biais d'un répertoire varié, allant du « salegy » au sega, en passant par la biguine, l'« antosy », le « malesa », le « bawejy »,... Alors, n’hésitez pas à rejoindre la piste pour vous éclater avec les morceaux populaires tels que « No limit », « 100 pour 100 », « Mankafy anao fo », « Tu me mank », « Zah love », « Mikisaha », « Lera » ou encore ses interprétations comme « Atero amin’ny babany ».
MAMADA
Une grande pointure à l'affiche du côté du centre-ville. Le chanteur-guitariste Mamada, venant du sud de l’île, se démarque par sa voix et ses styles variés. Après une longue absence sur la scène tananarivienne, Mamada sera en concert au Glacier, Analakely ce soir à 21h. Il animera l’estrade de cet hôtel-restaurant avec ses chansons d'amour,  entre autres « Anjara mi-compte », « Manonofy »... L’artiste s’inspire également de différents thèmes dans son répertoire. Un vendredi joli en compagnie de Mamada au grand complet est synonyme d'une ambiance survoltée.

MARION & TOVO J’HAY
L’agence événementielle Original Events ne cesse de proposer des affiches alléchantes pour le public. Après Mahaleo, elle propose cette fois-ci un duo de choc Marion - Tovo J’Hay sous le thème « Ndao mba hiaraka ». Ce soir, ces deux chanteurs très appréciés du public, et surtout la gente féminine, partageront la scène du restaurant T-Green Andraharo pour une soirée romantique à partir de 19h 30. A cette occasion, Marion et Tovo J’Hay vont interpréter ensemble leurs tubes pour le plus grand plaisir de leurs admirateurs. Toutefois, les deux compères auront quand même l’occasion de chanter seul certains titres. Ce sera un vendredi joli dans un cadre assez intimiste, non loin du centre-ville, en compagnie de deux grands artistes.
Samedi 11 décembre
EUSEBIA
Danser, être sur scène, animer la foule… elle aussi aime tout cela. Son enfance, elle la passe déjà dans ce milieu du spectacle et des paillettes. En grandissant, la voie lui semblait donc déjà toute tracée. Eusebia a suivi les traces de son père et a créé son propre groupe. Demain soir, elle nous revient, non en tant que fille du roi du « salegy », mais en tant qu’Eusebia, une chanteuse qui a du talent à revendre. D’ailleurs, le groupe sera au grand complet ce samedi à 20 heures au No Comment Bar, Isoraka. Une soirée à ne pas manquer !
DAH’MAMA
Comme à l’accoutumée, le Jao’S Pub a déjà préparé un week-end spécial. Pour ce samedi soir, ce sera au tour de Dah’Mama de se produire sur la scène. Si vous connaissez cette artiste, vous savez déjà la manière avec laquelle elle crée une ambiance chaleureuse avec ses chansons. Une occasion d’apprécier cette grande dame de la musique malagasy. Avis aux noctambules du quartier populaire d’Ambohipo et ses environs. Les réjouissances débuteront à partir de 21h.
SILO & CO
Du jazz et de la bonne musique à profusion. C’est ce que propose le vieux carré pour ce week-end qui s’annonce déjà très musical. Quatre artistes,  à savoir des musiciens reconnus dans leur domaine respectif, investiront la scène du Piment Café situé à Behoririka, demain soir à 20h. A l’affiche de cette soirée, il y aura  Silo - l’interprète de « Rimorimo », le guitariste Harty Andriambelo, le batteur Nin’s Rabaroel et le saxophoniste Nicolas Aurialt. Le « line-up » donne déjà une idée de ce que la soirée sera et les mélomanes sauront l’endroit où l’on ira demain soir. Le répertoire sera éclectique, voguant entre soul et jazz à leurs sauces.
TOVOLAH
Ce samedi 11 décembre, les locaux de La Teinturerie - Association des artistes, situés au site d’Ampasanimalo, accueilleront une représentation baptisée « L’art et la culture comme moyens possibles d’activisme ». Un événement organisé par le Goethe-Zentrum Antananarivo/CGM. Au programme, le public aura droit à une projection du film « Burkinabé Rising » à 17h. S’ensuivra un débat axé sur le thème : « L’art et la culture comme moyens  d'activisme » à 18h 30, avec la participation du rappeur Tovolah, Ludonie Velotrasina (médiatrice culturelle, chercheuse en art, culture et société), Vony Ranala (artiste pluridisciplinaire - notamment en matière de théâtre, slam, danse et directrice artistique de Nouvelles Scènes Madagascar), Randria Mika (anthropologue culturel), Rolf (musicien et activiste) et Jerry Edouard (modérateur). Comme clou du spectacle, il y aura un concert animé par la chanteuse Fitia, Tovolah et Printsy à partir de 20 h. A noter que l’accès à tous ces programmes est libre.

Dimanche 12 décembre
TOVO J’HAY
Après avoir animé la scène du CCI Ivato avec la chanteuse Bodo dimanche dernier, Tovo J’Hay appelé aussi monsieur «  Poetic lover » convie de nouveau ses fans à rejoindre Saint- Michel Amparibe - Le Jacaranda, ce dimanche à partir de 15h. Un rendez-vous qui constitue en quelque sorte des retrouvailles conviviales pour ceux qui ne peuvent pas sortir la nuit. De nombreuses chansons seront au menu durant cette soirée, pour ne citer que « Teny mamy », « Tia tokoa », « Angolanao » ou encore « Efa tia ». Bref, que des chansons d’amour comme les groupies les aiment. Les fans sont donc avertis car il n’y aura pas de place pour tous. Pour avoir les meilleures places, il vaut mieux réserver tout de suite.
Sitraka Rakotobe

Tache d’huile ?

Publié le jeudi, 09 décembre 2021

Les coupures d’électricité et surtout de l’eau perdurent. La compagnie nationale des eaux et électricité, lire JIRAMA, parait littéralement débordée. Les usagers ou abonnés qui ne représentent que 15 % de la population totale, tout au plus, sont agacés et cachent mal leur ras-le-bol ou leur galère. Ils subissent au quotidien les incuries de la JIRAMA. Au final, les coupures d’eau ou autrement dit le manque d’eau potable se constatent sur toute l’étendue du territoire national. En effet, l’eau, cet élément vital à la vie d’un être vivant, disparait dangereusement de la circulation.
Dans le velirano point II, Rajoelina Andry Nirina, alors candidat portant le dossard n° 13, promet « d’apporter de l’eau potable à tous ». Immédiatement après la question de « maîtrise de l’insécurité » (Point I) à  travers la Grande île, le domaine traitant le manque d’eau potable se trouve en bonne position dans le souci du Président Rajoelina.
De colossaux efforts ont été déjà effectués mais le problème d’eau potable persiste. En fait, il résiste et fait mener la vie dure, trop dure, à la population entière. Seulement, il faut être honnête que le problème d’eau potable ne date pas d’hier à Madagasikara.
D’abord, dans le grand Sud, la population et les animaux d’élevage souffrent presque en permanence du manque d’eau. Les insuffisances récurrentes en pluviométrie provoquent de la sécheresse sept à huit mois de l’année. Avec les effets du changement climatique causant de l’élévation des températures, le problème se corse en ce sens que l’eau, ce bien indispensable à la vie, s’absente. Réellement vrai que boire de l’eau potable n’est point un caprice, c’est un besoin fondamental de tout être vivant. Et donc, une quelconque  insuffisance porte préjudice gravement aux fondamentaux de la vie sur terre.
A Antananarivo, les coupures intempestives d’eau et d’électricité, valables dans presque dans tous les quartiers, privent la population d’un besoin incontournable. La grogne monte ! Le ras-le-bol atteint son paroxysme. D’Itaosy à Ankatso-Ambohipo, d’Andoharanofotsy à Nanisana en passant par Manjakaray, l’explosion sociale frôle le pire et la ville des mille couve.
A entendre les interventions des députés lors du dernier face-à-face, le problème de manque d’eau potable sévit du sud au nord, d’est en ouest du pays. Et les rares eaux que l’on trouve sont pratiquement inconsommables sinon non potables. De couleur jaunâtre, elles sont âcres au goût et présentent des risques majeurs pour la santé. La population, partagée entre désolation et mécontentement, s’indigne.
Mais pourquoi en est-on arrivé là ? Evidemment, l’origine principale du manque d’eau à travers l’île réside du dérèglement général du climat qui, à son tour, provoque la carence des pluies. C’est un fait indéniable ! Mais il faut noter également le comportement inconscient de certains responsables au niveau de la JIRAMA. Une situation exceptionnelle exige des prises de conscience exceptionnelles. Ce n’est pas toujours le cas dans le contexte de crise qui prévaut au pays. Les observateurs sont tentés d’en déduire un laisser-aller intentionnel.
De toute façon, le ras-le-bol risque de faire tache d’huile et d’impacter d’autres secteurs dont le coût de la vie qui est de plus en plus inaccessible. La flambée des prix, les produits de première nécessité notamment, et la recrudescence de l’insécurité ne sont pas de nature à calmer les esprits.
Ndrianaivo


Dans le cadre de la revalorisation de la matière Education physique et sportive (EPS), la Fédération nationale de l’éducation physique (FNEP) a organisé des assises nationales les 11 et 12 novembre derniers au LTC Ampefiloha.
 Une proposition de résolution a été apportée sur l’amélioration de la matière EPS et les conditions des parties prenantes au ministère de tutelle et aux fédérations sportives. Un effort qui a été salué par le ministre Hawel Mamod’Ali car, ce projet se coïncide avec la politique nationale du sport. L’EPS ne sera pas en reste a mentionné le ministre durant la rencontre des deux parties. Une collaboration a été déjà lancée avec d’autres ministères comme celui de l’Education nationale (MEN) dans l’intégration des enseignants d’EPS.
Durant l’occasion, José Rajaonah, le président de la Fédération nationale de l’éducation physique et sportive, à la tête de la délégation,  n’a pas manqué de remercier le ministre. Il a également sollicité une étroite collaboration avec le patron des locataires de la Place Goulette dans l’exécution de ces résolutions. Sur ce, il a fait appel à tous les profs d’EPS de se tenir prêts dans l’exécution des responsabilités qui leur sont confiées à travers ce projet.
« La finalité c’est qu’on puisse préparer les sportifs de haut niveau de demain. La plupart des sportifs malagasy actuels ont d’ailleurs été formés à travers le sport scolaire. L’objectif est aussi de faire de Madagascar un grand champion d’éducation physique de qualité », explique José Rajaonah.
Elias Fanomezantsoa


« Le situation revient petit à petit à la normale sur le marché international ». C’est à travers ces mots que Hery Lanto Rakotoarisoa, président du Groupement des entreprises franches et partenaires (GEFP) a annoncé un bilan positif pour cette année 2021, en comparaison à l’année dernière. « Les statistiques ont montré une nette progression des exportations de 16% cette année, par rapport aux réalisations en 2020. Dans les détails, le volet «céréales-épices-fruits-légumes» a enregistré une progression de 10% en 2021 avec une totale de 1,82 milliard d’ariary contre 1,65 milliard d’ariary pour l’année dernière. La hausse des quantités exportées a compensé la chute des prix des produits de rente, dont principalement la vanille, sur le marché international. Les exportations des produits textiles se sont aussi accrues de 24% en 2021 représentant 20% de la valeur totale de nos exportations », rapporte le GEFP dans une communication officielle. Ces résultats démontrent que l’économie se remet au fur et à mesure de la crise sanitaire.
Toutefois, ce retour à la stabilité est menacé avec l’apparition du nouveau variant touchant actuellement plusieurs pays dans le monde. De plus, la mutation du virus et cette résurgence de nouveau variant ont particulièrement modifié l’environnement économique tant au niveau national qu’international. Les opérateurs restent ainsi sur leurs gardes et se préparent à toute éventualité concernant la situation sanitaire mondiale.
Rova Randria

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Editorial

  • Foire de tous les espoirs
    La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté. Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la…

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