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Le souhait de tous est d’être à l’abri des risques de catastrophe comme il a été le cas face à la menace du cyclone tropical intense Batsirai qui a frappé fort le week-end dernier. Malgré les précautions prises, les dommages causés par la tempête sont incommensurables. Par-delà son coût en vies humaines, les pertes économiques se chiffrent à plusieurs milliards de la monnaie nationale. Il est primordial de faire éviter tous ces désagréments autant que faire se pourrait.
Presque toujours, la destruction des habitations, quel qu’en soit le type, figure parmi les premiers risques encourus en cas de passage cyclonique, d’inondation, d’activité sismique, d’incendie… Aucune Région ou localité n’est à l’abri. Toutes les zones géographiques sont exposées et vulnérables aux risques. L’une des mesures préventives préconisées concerne ainsi le mode de construction.
Les bâtiments paracycloniques ou les constructions anticycloniques mais de type traditionnel sont conseillés. Certes, les types d’habitation varient selon les matériaux disponibles et les paramètres géophysiques. Ainsi les cases du littoral Est sont différentes de celles des zones côtières de l’Ouest, des Hautes terres, etc. Les procédés anciens sont tout de même susceptibles d’améliorations suivant le concept des architectures adaptatives suggéré par les Nations unies à travers leur agence pour l’habitat.
Réduction significative
Dès 2016, les experts de la Cellule de prévention et gestion des urgences (CPGU), rattachée à la Primature, ont mis au point un Guide pour l’amélioration de la résistance des cases d’habitation traditionnelles face aux cyclones. Les orientations contenues dans cet outil de travail ô combien utile ne demandent qu’à être appliquées. En gros, les clés de la résistance des cases d’habitation résident dans la fondation, le plancher, l’ossature, le remplissage et la toiture.
Il n’est pas nécessaire d’avoir reçu des formations préalables en bâtiment et travaux publics. Le guide est conçu pour être adapté aux exigences des normes anticycloniques dans les Régions côtières notamment. De plus, sa mise en application aide les Régions à s’atteler à la consolidation des schémas régionaux de l’aménagement du territoire et les Communes aux schémas d’aménagement communaux.
La mise en pratique du guide pourrait prévenir les pertes en vies humaines et économiques. La construction des cases traditionnelles améliorées présente des avantages. Outre la réduction significative du coût, la rapidité de l’exécution ne fait aucun doute. Leur résistance aussi est assurée à voir les prototypes déjà construits dans certaines localités du littoral Est. Seulement il doit s’agir d’un travail collaboratif entre divers horizons disciplinaires.
Option possible
La structure gouvernementale ANALOGH ou le secrétaire d’Etat chargé des Nouvelles villes et de l’Habitat pourrait diriger les équipes d’exécution. Sans oublier d’associer au processus les agences onusiennes telles que l’ONU-Habitat, le PNUD, l’UNICEF…, les organisations non gouvernementales intervenant dans le domaine de l’habitat dont la plus connue est l’Habitat pour l’humanité, les représentants du secteur privé… Partant, les chercheurs en civilisations aussi travaillent beaucoup sur les cases traditionnelles à Madagascar.
La question de financement ne doit pas poser trop d’obstacles. L’affectation budgétaire pour les collectivités territoriales décentralisées est une option possible. Une partie du fonds géré par le gouvernorat doit y être affectée. L’appui des partenaires est aussi le bienvenu. Par exemple, la Banque mondiale, à travers le projet « pôles intégrés de croissance » et les fonds d’intervention pour le développement, pourrait être sollicitée. Le PNUD qui appuie le plan pour l’émergence de Madagascar n’en est pas en reste.
M.R.



Alloué pour CARE. L’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) vient d’accorder un financement humanitaire pour cette ONG, afin de fournir un logement temporaire, de l’eau potable et des articles ménagers de première nécessité pour les sinistrés, suite au passage du cyclone « Batsirai ». 1 500 personnes, actuellement abritées dans les sites d’hébergement, seront les principaux bénéficiaires de cette contribution financière du Gouvernement américain. «Nous sommes solidaires avec ceux qui ont perdu des proches ou subi des dégâts suite au cyclone Batsirai. Cette contribution de 100 000 dollars n'est que le début d'une série d'activités que l’USAID prévoit d’entreprendre pour aider les communautés victimes à se rétablir et à reconstruire », a déclaré Amy Hyatt, chargée d’affaires américaine.
L'appui humanitaire fournira un abri et des articles ménagers de première nécessité comme des casseroles, des poêles, des seaux, des ustensiles, etc. aux populations dont les maisons ont été gravement endommagées, en leur allouant un emplacement où s’établir jusqu'à la reconstruction de logements permanents. La sécurité et l'intimité des femmes et des filles dans ces logements constitueront une priorité. Le Gouvernement américain mettra également à disposition de l'eau potable, aidera au traitement et au stockage sans risque de l’eau, distribuera des kits d'hygiène menstruelle à 300 femmes et filles et sensibilisera à la nécessité d'une bonne hygiène.
Notons que le personnel de l'USAID à Madagascar, en Afrique du Sud et à Washington D.C., suit de près les impacts humanitaires du cyclone tropical Batsirai, en étroite coordination avec l'ambassade des Etats-Unis et les partenaires humanitaires.
Recueillis par Patricia R.




Séisme !

Publié le mardi, 15 février 2022

L’heure est à la vigilance extrême et à la prudence maximale ! Un périlleux danger menace.
Un puissant tremblement d’une magnitude hors de portée ébranle le pays, en général, secoue le régime Orange en particulier. Les ondes de choc risquent de bouleverser l’ordre politique établi sinon la sérénité au sein de la plate-forme présidentielle. L’épicentre du séisme frappe de plein fouet le noyau central du régime à savoir le TGV.
Sans vouloir être taxé d’alarmiste, on ne peut pas ignorer certains cas troublants qui exigent d’urgence la recherche des voies de règlement. Le torchon brûle entre certains éléments influents du camp présidentiel. Des parlementaires issus des rangs de la majorité proche du pouvoir se chamaillent. Des sujets brûlants comme la mise en place de la 23ème Région, le transport par câbles à Antananarivo, la gestion des financements pour la reconstruction post-cyclone, etc., divisent les élus de l’IRD. Même, le limogeage d’un directeur d’un organisme rattaché à un ministère en l’occurrence l’OMDA, sème la zizanie ! Et chacun ne voulait point céder le pas. Certes, il ne s’agit pas d’une bagarre à bras le corps mais il suffit d’un rien pour que l’affaire ne s’embrase. Cela sent la fumée. Un volcan couve ! A ce rythme, la majorité présidentielle se fragiliserait et on s’interroge « comment va-t-elle affronter 2023 ? ».
Au-delà de ce tumulte, il ne faut pas feindre d’ignorer que les fléaux naturels sévissent encore. La crise sanitaire due à la Covid-19, bien que l’on constate ces derniers temps une légère accalmie, résiste. Les statistiques recensées du 5 au 11 février font état de baisse considérable tant dans les nouvelles contaminations que sur les décès. En effet, sur tout le territoire national, on enregistre « seulement » 1 410 nouveaux porteurs du virus de la Covid en cet espace de temps. Le bilan des victimes, toujours du 5 au 11 février, est de 28 décès contre 33 la semaine passée. Mais, les formes graves maintiennent malheureusement leur intensité. Ceci étant, la prudence et la vigilance demeurent des exigences recommandées.
Et que dire de ce troisième ou quatrième, c’est selon, cyclone tropical Dumako qui devait toucher la terre ferme dans la journée d’hier dans le Nord-est de la Grande île. Et malheureusement, la série noire continue ! Il s’agit d’une tempête tropicale qui se déplace avec un vent de 75 km/ h et des rafales de 100 km/ h. Dumako pourrait provoquer de fortes précipitations pouvant atteindre les 150 mm d’eaux. Par conséquent, les zones Est et Nord-est sont placées en alerte rouge. Il va sans dire que les autorités centrales et régionales se préparent activement à la « réception ».
Et c’est dans ce contexte moribond voire de surchauffe que le régime, fragilisé par certaines guerres intestines, s’apprête à juguler les tensions.
Ndrianaivo

 


Une annonce qui risque de plaire à plusieurs artistes venant de tous horizons. Le centre culturel « Centre de ressources des arts actuels de Madagascar » (CRAAM) sis à Ankatso a lancé, hier, l’ouverture des l’inscription pour une résidence de « Formation en montage de spectacle voix/mouvement » qui s'adresse à tous les danseurs quels que soient leur style, aux slameurs et aux comédiens. Cette initiative aura comme objectif  d’apprendre et de maîtriser le processus de création d'un spectacle de danse ou de théâtre avec la chorégraphe et metteuse en scène de renom Jessica Henou. La résidence se tiendra à partir du dimanche 27 février jusqu’au 4 mars prochain, de 9 h jusqu’à 13h 30. A noter que la restitution des ateliers se fera dans l’après-midi de la date de clôture. Concernant le déroulement de la résidence, celle-ci se divisera en 4 phases, notamment la préparation c’est-à-dire la recherche de connaissances, l’exploration de différentes pistes, l’incubation ou la combinaison et la synthétisation des  différents éléments, et enfin la vérification d’une réponse par rapport à une thématique ou une problématique initiale.

Acquis
A l'issue de cette formation, les artistes participants acquerront la capacité à produire de nombreuses idées à partir d’un stimulus, la capacité à associer, à combiner et synthétiser différents éléments au sein d’une œuvre. A noter que l’apprentissage des voix et mouvements, l’écriture textuelle, l’écriture gestuelle, l’écriture de plateau et la dramaturgie sont les éléments de base de cette résidence. Pour les intéressés, les inscriptions se feront en direct sur Facebook en tapant ecbo/Flauw, ou tout simplement en contactant le 034 34 011 29 pour recevoir d’autres informations. Cette formation cadre toujours dans l’objectif de l'Association des médiateurs culturels au niveau du Centre de ressources des arts actuels de Madagascar (ADMC-CRAAM) œuvrant dans la structuration, la professionnalisation et la valorisation du secteur artistique malagasy, tout cela en offrant à ces artistes et acteurs culturels une visibilité accrue. 
Sitraka Rakotobe

Musée Havoria - 70% du gros œuvre bouclés

Publié le mardi, 15 février 2022


Le chantier de l’auditorium et celui du musée du patrimoine de l’audiovisuel de Madagascaravancent à grands pas. Actuellement, 70% des travaux sur le gros œuvre sont déjà bouclés, quatre mois après la pose de la première pierre, a constaté hier la ministre de la Communication et de la Culture, LalatianaRakotondrazafyAndriatongarivo, lors d’une descente pour relever justement l’évolution du chantier entrepris dans l’enceinte de l’Office de la radio et télévision de Madagascar à Anosy, en compagnie du maître d’œuvre.Au rythme actuel des travaux, le chantier devrait être fin prêt pour une inauguration vers le mois de juillet de cette année. Afin d’accélérer la finition des travaux, une partie des techniciens s’affaire dès à présent à la finition des parties de l’infrastructure où cela est possible.
L’inauguration au mois de juillet de cette année coïncidera très probablement avec l’ouverture du jubilé du 55è anniversaire de la Televiziona malagasy. Le chantier avait été ouvert fin octobre dernier par le Président de la République Andry Rajoelina en personne et la ministre de la Communication et de la Culture. Il s’agit d’un projet élaboré et développé par le MCC basant sur les « Nouveaux projets émergents » (NPE).
Ce Havoria est destiné à conserver et à exposer du matériel, des films et des enregistrements sonores, anciennement employé par les médias à Madagascar. Une part non négligeable sera toutefois accordée aux stations publiques, néanmoins le patrimoine des chaînes privées pourra également être exposé dans ce Havoria. Outre la salle d’exposition, cet endroit se démarquera par la présence d’un « auditorium » dans son enceinte. Un lieu répondant aux normes internationales en termes de sonorisation et d’équipements, qui permettra d’accueillir jusqu’à 700 personnes assises pour divers types de manifestation culturelle et qui se veut être similaire aux salles présentes dans de nombreuses stations audiovisuelles privées.Un endroit pour se restaurer et des bureaux seront également installés dans ce Havoria.
Recueillis par Lalaina .A





 
 Le Centre d’études, de réflexion, de veille et d’orientation (CERVO), au niveau du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) estime 70 000 sinistrés, répartis dans le territoire national, durant le passage de la tempête tropicale Dumako dans le pays. Une estimation qui est basée sur l’intensité, les trajectoires et le diamètre.
D’après le directeur général de ce département, le Général Elack Andriankaja, hier, elle ne sera pas très forte mais un risque élevé d’inondation, de chute d’arbres et de glissements de terrain est à craindre, à cause des précipitations. « Les pluies engendrées par cette perturbation tropicale pourraient atteindre jusqu’à 160mm en 24 heures. Sur ce, les infrastructures routières ne seront pas épargnées par le passage du cyclone. Les rues sont glissantes. L’humidité durant le passage d’Ana et Batsirai laisse encore des traces et rend plus fragile les infrastructures », soutient-il. En conséquence, la population, notamment les habitants dans les trajectoires du cyclone, les zones littorales ainsi que les alentours des rivières devraient être vigilants. A Sainte- Marie et  Soanierana- Ivongo, quelques dégâts sont déjà enregistrés, outre l’inondation. Toutes les équipes du BNGRC, en charge des secours autant que le déploiement des aides d’urgence sont déjà prêtes. Dumako est entrée sur l’île Sainte-Marie, hier à 13h avec des vents moyens de 65km/h.
 Avant le passage de Batsirai, le CERVO avait estimé à près de 595 000 sinistrés. Cependant, le nombre des sinistrés était de 140 000 contre 60 000 personnes déplacées.  A l’issue de cette conférence qui s’est tenue, hier, le Dg du BNGRC de réitérer que malgré l’intensité de Batsirai, le nombre des personnes impactées a été largement inférieur à l’estimation. Un fait qui témoigne une grande collaboration entre la population et l’autorité locale.
Pour Antananarivo, la vigilance est encore valable pour les habitants d’Ampamarinana et ses environs ainsi que les bas- quartiers.
 Anatra R.


Vers 1h du matin, hier, sept bandits cagoules et équipés de différents types d’armes, ont essayé de prendre d’assaut une propriété privée à Ambavahady, dans la localité de Soamanandrariny, Commune d’Ambohimangakely. Mais leur tentative a échoué à cause de l’intervention d’une patrouille de la Gendarmerie, laquelle a réussi à mettre l’un des membres du gang hors d’état de nuire définitivement. Des armes des plus hétéroclites ont pu être également saisies. Les faits. Les assaillants étaient donc déjà sur le point d’escalader le mur d’enceinte lorsque les Forces de l’ordre ont rappliqué.

L’arrivée de ces dernières a donc pour effet de provoquer la débandade, côté agresseurs. Ces derniers ont détalé comme des lapins, et dans tous les sens. Les gendarmes les ont alors sommés de se rendre sur-le-champ. Mais loin d’obtempérer à ces ordres, l’un des fugitifs a au contraire cherché à opposer une résistance aux gendarmes tout en voulant leur tirer dessus. En position de légitime défense, ces derniers ont dû alors ouvrir rapidement le feu sur le suspect. Il fut criblé de balles au niveau de son ventre et de son cou. Transporté d’urgence à l’HJRA, le concerné a toutefois rendu l’âme en cours de chemin du fait de l’importance de ses hémorragies. Par ailleurs, le revolver artisanal ainsi que les deux munitions, un sabre, deux cagoules, une barre à pince ainsi qu’un tournevis qu’il avait sur lui, avaient été confisqués.

Après le constat d’une soudaine recrudescence de l’insécurité dans la Région d’Analamanga, en particulier dans la banlieue de la Capitale, le commandant de la Gendarmerie a ordonné à toutes les Circonscriptions et autres Brigades de gendarmerie de la périphérie afin de déclencher une opération spéciale en vue de sécuriser ces localités. L’action de cette patrouille à Ambavahady Soamanandrariny en est un exemple palpable.

Franck R.

Réflexion sur le rallye de régularité à Madagascar. Ces compétitions sont réservées à des véhicules anciens plus de 25 ans ou minimum année 1996, ceux de rallye ou utilitaires. Un rallye de régularité est un rallye automobile dont l'objectif est de s'approcher le plus possible d'un temps idéal pour effectuer un trajet défini. La vitesse moyenne est généralement inférieure à 50 km/h. Cependant, certains rallyes ont comme moyenne 80km/h. La catégorie « Classic » doit être réservée à ceux qui débutent, à ceux ayant moins de « bagage ».

La RN1 bis reliant les localités de Tsinjoarivomanga et Tsiroanomandidy a été le théâtre d’un accident de la circulation tragique, vers 22h dimanche dernier. Une Toyota Land-Cruiser de plaque rouge transportant 10 personnes dont deux enfants, y a fait une sortie de route avant de partir en tonneaux. Bilan : deux passagers du véhicule, des chefs scouts de la capitale Bongolava et non moins chefs Tily de Madagasikara âgés de 32 et 42 ans ont perdu la vie presque sur le coup, selon une information.

La trajectoire de la tempête tropicale Dumako n'a pas changé. Elle  est  toujours prévue toucher terre entre Antalaha et Sainte Marie cet après-midi ou dans la nuit, éventuellement au stade de tempête tropicale modérée en apportant un vent moyen de 65 km/h. Pour cette raison, les Régions de Sava, Analanjirofo ainsi que  Toamasina I-II vont être placées en alerte rouge. Il ne faut pas sous estimer ce système  étant donné que des fortes pluies sont surtout à craindre (>150 mm) dans ces localités d'impact direct anticipé. 

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Editorial

  • Foire de tous les espoirs
    La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté. Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la…

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