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Agenda du week-end

Publié le jeudi, 30 septembre 2021

Vendredi  1er  octobre
La 23ème édition de la Vitrine du Vakinankaratra se tient jusqu’à demain à la Place de la  Gare, dans la ville d’Antsirabe. Il s’agit d’une manifestation économique annuelle, initiée par FIOVA (« FIvondronan’ny Orinasan’i VAkinankaratra ») ou Groupement des entreprises du Vakinankaratra, regroupant les opérateurs du secteur privé dans cette Région. Cet évènement est conçu afin de faire connaître les adhérents dudit groupement et l’ensemble des acteurs économiques, trouver les voies et moyens pour la mise en valeur des potentialités, et enfin favoriser les partenariats potentiels au profit des entreprises et de l’économie régionale.


Après des années de silence radio, Njakatiana refait surface de temps en temps. Après Antananarivo, il donnera un rendez-vous à ses fans dans un cabaret qui aura lieu à l’hôtel Les Roches Rouges, situé à Mahajanga. Comme à l’accoutumée, le répertoire sera composé de ses meilleurs tubes, outre les chansons demandées par le public. Le spectacle débutera à partir de 21h.


Un cabaret inédit avec Rija Ramanantoanina. Il animera la soirée au Le Catagasy, Morondava-Ambohibao à partir de 20h. Ses compositions qui ont pu charmer et enchanter plusieurs générations de mélomanes figureront dans le répertoire, sans oublier la séance de poésies, agrémentée de romantisme que le chanteur n’oublie jamais durant ses prestations. A noter que cet artiste a célébré ses 30 ans de scène en 2018.



Samedi 2 octobre 

Iraimbilanja enflammera la scène du Piment Café de Behoririka à partir de 20h. Depuis quelques années, ce groupe de rock a choisi des salles de spectacle plus restreintes afin de donner plus de satisfaction et de feeling au public. Bien évidement, Batata et consorts interpréteront leurs tubes les plus connus et qui ont fait chauffer l’ambiance de toute une génération après plus de trois décennies de scène.

Un moment très attendu par les amateurs de rock. « Metaly Avorazana ». Tel est l’intitulé du spectacle que les deux légendes du rock, Apost et Iraimbilanja, présenteront à leurs fans ce samedi. Les deux groupes se produiront en live au Le Pavé Antaninarenina à partir de 18h. Pour ces doyens du « rock old school », la nostalgie figure au menu, suivie des nouveaux tubes de hard rock. Ils reprendront les incontournables, les tubes et les chansons que seuls les inconditionnels connaissent. Ce sera une histoire de revivre le plus beau moment passé avec le public. Iary’s Band et Sahedena seront les « special guests ».


Dimanche 3 octobre
Ils partagent la scène depuis des années. Après avoir été absents de la scène depuis plusieurs mois à cause de la période du confinement, Ifanihy et Tselonina monteront sur la scène du  « Kianjan’ny Kanto Mahamasina » ce dimanche 3 octobre à 15h.  Avec ce spectacle intitulé « Iray sy iray », chacun de ces deux artistes a conservé son style mais le mélange est étonnant. L’ambiance semble prometteuse. Un concert unique en son genre avec des chansons dont les paroles s’écoutent et s’apprécient sans modération. C’est un rendez-vous incontournable pour les amateurs de la guitare et les chansons à texte ou « vazo miteny ».


Un spectacle en plein air. Dans le cadre d’un évènement intitulé « Happy birthday », trois artistes féminines - jouant respectivement son rythme musical - se réuniront sur une même scène. Il s’agit de Tif à tif, Meizah et Black Nadia. Elles se produiront au terrain Titanic sis à Namontana. Le groupe Tif à Tif constituera son répertoire avec des titres nostalgiques, tandis que Black Nadia - la reine du grand show - promettra un rendez-vous aux adeptes du « coupé décalé », sans parler de Meizah - la star du RnB qui va enflammer la scène avec ses meilleurs tubes. L’ambiance risque d’être explosive.


La vue du corps sans vie d’un homme originaire de Suisse, âgé de 69 ans, a réveillé la population majungaise hier matin. Aux alentours de 6h du matin, un jeune homme en plein footing a été surpris par la présence d’un cadavre, nu avec une jambe amputé, allongé sous une dalle à Amborovy, Majunga. Alertés, des éléments de la Gendarmerie ont été les premiers à se rendre sur place, suivis des médecins. Leur expertise a permis de savoir que le Suisse a été assassiné. L’auteur de ce meurtre l’a abattu quelque part avant de transporter le corps à cet endroit précis.
D’après les informations locales, la dernière fois où ce défunt a été vu remonte à samedi dernier. Accompagné par son chauffeur personnel, il allait à une agence bancaire afin de récupérer de l’argent. Malheureusement, les deux individus se sont par la suite envolés dans la nature et n’ont plus donné de leurs nouvelles depuis. La femme du défunt s’est déjà rendue auprès du Poste de police pour l’informer à propos de cette disparition. Mais il a fallu attendre presque une semaine après ce signalement avant de découvrir le corps sans vie de cet étranger. Toutefois, le chauffeur est toujours porté disparu. Etant donné que l’affaire a été saisie dès le début par les Forces de sécurité, celles-ci sont actuellement en charge de mener l’enquête. Les personnes à l’affût de l’actualité attendent ainsi les résultats de leurs investigations. Affaire à suivre !
K.R.



Doublement victimes. Bon nombre d’enfants dans diverses Communes des Régions d’Anôsy et d’Androy subissent à la fois la sécheresse faute de pluies ainsi que la famine et la malnutrition. Une situation qui impacte à la fois leur santé mais aussi leur scolarisation. Raisons pour lesquelles l’association Fitia, fondée et présidée par Mialy Rajoelina, avec l’appui de nombreux partenaires, a mis en œuvre le projet « Avotse » dans le Sud de Madagascar. Ce projet consiste à redynamiser les cantines scolaires dans 20 villages les plus affectés par le Kere. Des milliers d’élèves profitent d’une alimentation scolaire adaptée à leurs besoins. Les résultats sont palpables depuis la mise en œuvre dudit projet, selon les témoignages des bénéficiaires.
« Deux élèves sur 5 ont abandonné l’école durant le premier trimestre de 2020, mais ils sont revenus depuis l’opérationnalisation de la cantine au sein de notre établissement. De plus, les résultats scolaires se sont nettement améliorés, tant pour les examens de passage que pour le CEPE. Les 11 élèves qui se sont présentés à cet examen officiel ont tous décroché leur diplôme, soit un taux de réussite de 100% », informe Soavita, directeur de l’Ecole primaire publique (EPP) de Maropia Nord, dans la Commune rurale de Maroalimpoty- Androy. Cet établissement, situé à 16km à l’entrée d’Ambovombe, enregistre 591 élèves issus des villages environnants. « La situation a nettement changé auprès de notre école. Les enfants sont très assidus et plus concentrés en classe, outre leur santé qui s’est améliorée. Les 2 repas quotidiens servis à l’heure du goûter et au déjeuner, dont du « Koba Aina », des pâtes ou encore du riz avec des mets, les ont beaucoup aidés », nous confie Mampionona Alexandra, enseignante auprès de ladite EPP.
Outre les cantines scolaires, la caravane médicale fait partie des activités entreprises dans le cadre du projet « Avotse ». Les cliniques mobiles font le tour des 20 villages pour octroyer des soins préventifs et curatifs aux habitants. Soins buccodentaires, vaccination, consultations prénatales, dépistages, dotation de médicaments pour le traitement de diverses maladies, planification familiale, etc., font partie des prestations offertes que les habitants de Maropia Nord ont bénéficiées hier. « Cette clinique mobile nous est d’une grande aide puisque cela nous évite de nous rendre à Ambovombe pour les consultations médicales. De plus, les soins et médicaments sont octroyés gratuitement », se réjouit Jeannette, mère de famille issue dudit village. Notons que les équipes mobiles se rendront dans d’autres villages dans les jours à venir.
Patricia Ramavonirina

L’artillerie lourde

Publié le jeudi, 30 septembre 2021

Le Gouvernement sort l’artillerie lourde ! Finalement, les multiples cris de détresse lancés ont été entendus en haut lieu. L’insécurité regagne en intensité et replonge le pays dans un innommable chaos.
Pas plus tard que le 23 septembre dernier, dans « Panique et angoisse », nous avions, ici même, tiré la sonnette d’alarme sur l’état alarmant de l’insécurité à Madagasikara. En ville aussi bien qu’en milieu rural, les bandits sans foi ni loi attaquent aveuglément avec un degré de barbarie inouïe. Viols, meurtres et vols à main armée, réduits à l’état de faits divers, fauchent à tel point qu’il n’y a pas un jour sans qu’il n’y ait pas de délits de sang.
A Antananarivo, la recrudescence des actes de banditisme et de violence échappeà l’entendement des pauvres humains. Les ruelles des quartiers, de jour comme de nuit, sont infréquentables. En plein marché d’Analakely ou d’Andravoahangy, les voyous sèment la terreur.
Dans les six autres anciens chefs-lieux de Province, le même triste scénario complique le quotidien des gens. Violeurs, voleurs et assassins sans vergogne règnent en maîtres absolus.  Ils n’ont ni crainte ni scrupule à commettre leurs forfaits. Les populations subissent impuissamment leurs barbaries.
Sur les grands axes nationaux, théâtres de braquage récurrents de toutes sortes, les coupeurs de route ne se gênent plus. Même les taxis-brousse en caravane passent à la trappe. Décidément, c’est du western de très mauvais goût !
Et nous avions fait appel ici dans notre édito, à plusieurs reprises, de vibrants appels pour qu’on veuille bien se pencher à ce calvaire. Certes, ce sera du « médecin après la mort » mais il faut bouger tout de même ! Les bandits agissent dans un état d’esprit de libre cours. Sombre témérité et impunité les poussent à voler, violer, kidnapper et même abattre des vies humaines sans qu’ils soient inquiétés de leurs actes diaboliques.
Faudrait-on rappeler que le point n°1 du « Velirano », la première priorité, concerne la lutte sans merci contre l’insécurité ! Le peuple malagasy a le droit de vivre dans la sérénité et la paix.
Et voilà enfin, on daigne bouger le petit doigt après que des vies humaines périssent et des biens précieux disparaissent. Le régime sort l’artillerie lourde pour ne pas dire les blindés. A cet effet, le Premier ministre convoque les cadors de l’OMC/NAT, cet état-major spécial de compétence nationale, censé donner un coup d’arrêt à cette situation apocalyptique, au Palais de Mahazoarivo. Toutefois, on se permet d’émettre certain doute. Au final, jusqu’à preuve du contraire, c’est du déjà vu et déjà entendu ! Combien de fois n’a-t-on pas entendu ou vu depuis toujours le premier responsable de la Sécurité nationale, le Premier ministre des régimes successifs, convier à son bureau et réunir autour d’une table les grands chefs de commandementet cela pour établir une stratégie de combat contre les « dahalo » et consorts ? Malheureusement, on est toujours au point mort.
Cette fois-ci, on ose espérer que ce sera le bon ! On ne peut continuer ainsi. On meurt ! On souffre ! On se fait délester sinon déposséder ! Il faut tout arrêter. A ce rythme, le pays descendra certainement en enfer à moins que des mesures urgentes et frappantes soient mises en œuvre.
Ndrianaivo



Consternation. L’exploitation de chrome dans la Grande île est définitivement en berne après la fermeture de la société APC. Cette dernière qui est arrivée à garder un semblant d’exploitation de ce minerai après le déclin de la société Kraoma qui était le principal exploitant de chrome sur les sites de Bemanevika, Anempitra, Andriamena et Befandriana dont les réserves sont estimées à des dizaines de millions de tonnes. D’après les autorités, cette fermeture est due à des conflits internes entre les dirigeants de cette société avec ses actionnaires. Une déclaration des autorités compétentes explique ainsi que le ministère des Mines et des Ressources stratégiques n’est pas en cause dans le déclin de la société. L’arrêt des activités de la société APC s’est donc finalement concrétisé comme l’envisageaient les employés de Kraoma dans la mesure où ces derniers estimaient que la société APC n’avait pas la légitimité pour exploiter des gisements de chrome qui étaient à la base destinée à être exploiter par la société Kraoma. A rappeler que l’année dernière les employés de Kraoma, las de près d’une année de suspension d’activité, ont tenté de mettre des bâtons dans les roues de la société APC en bloquant les engins qui étaient censés transporter le chrome de Brieville jusqu’à Toamasina. « A la base, la société APC Drilling est un simple prestataire de notre société. Elle avait pour mission d’assurer les sondages et forages pour le compte de Kraoma pour se voir acquérir, plus tard, des permis miniers dans la zone chromifère d’Andriamena. Cette société est devenue, au fil des années, une société de transport et un sous-traitant de Kraomita Malagasy S.A., transportant des minerais venant directement des mines. En parallèle, Kraoma est encore en suspension d’activité. D’où notre contestation », s’insurge un des représentants des employés de Kraoma. Dans un contexte où le gel des permis miniers est encore effectif, le prestataire de Kraoma a ainsi pu obtenir le fameux sésame pour continuer ses activités bien que la société mère tombe de plus en plus dans le déclin. Déclin que la société APC, presque deux ans après la suspension des activités de Kraoma, a subi alors, à son tour. D’ailleurs, la population locale craint une crise socio-économique dans la localité et encore plus un regain de l’insécurité entrainé par la fermeture de la société dans la mesure où cette dernière employait plusieurs centaines d’autochtones qui se retrouvent actuellement sans travail. 
Hary Rakoto


Le club Jet Kintana affiche beaucoup d’ambitions pour la saison prochaine de l’Orange Pro League qui débutera le 5 décembre 2021. Classé troisième lors de la conférence Nord après seulement un mois de fusion avec Jet Mada, Jet Kintana, un jeune club, a eu d’assez bons résultats malgré la restriction du temps de préparation au championnat.
« L’équipe de Jet Kintana lance sa nouvelle saison d’Orange Pro League  Madagascar et c’est avec un réel plaisir que nous accueillons nos nouveaux partenaires qui vont nous aider à former et à professionnaliser nos jeunes joueurs, pour préparer l’avenir du football malagasy. Merci au groupe Viseo, au groupe Vaniala et à Fly Technologies de nous avoir accompagné dans cette belle aventure », exprime Lova Ramisamanana dans ses allocutions.
Avec le mercato, le club a vu l’intégration de nombreux jeunes talents issus de l’équipe réserve. La version Jet Kintana 2020-2022 aura une belle allure. La préparation de la saison commencera ce 4 octobre, avec trois mois d’avance avant le début du championnat. Nicolas Santucci sera le nouveau manager de l’équipe. Il dirigera l’équipe professionnelle constituée par les coaches Dera, Ignace, Julio et Maitre Dama qui continuera sa mission de consultant auprès du club.
Rappelons que la naissance de Jet Kintana marque aussi la naissance d’un projet baptisé « Alefa Next Génération », qui consiste à préparer la relève du football malagasy. Un jumelage avec un club portugais est aussi envisagé. Il sera possible que le club négociera ses meilleurs joueurs avec ce club étranger », avance Lova Ramisamanana, président du club.
Elias Fanomezantsoa


Invités spéciaux. Les députés Razara Pierre Fidèle, élu à Ambatondrazaka, sous la bannière du Tiako i Madagasikara et Rakotondrasoa Fetra, élu à Miarinarivo, sous les couleurs de l’Isika rehetra miaraka amin’ny Prezida Andry Rajoelina seront les hôtes de l’émission « Ady hevitra » sur la Télévision nationale malagasy ce jour. Une émission qui est programmée à 20 heures au cours de laquelle les deux parlementaires issus d’une part de l’opposition et d’autre part du giron du pouvoir, aborderont assurément les sujets d’actualité brûlante de Madagascar. Il sied cependant de noter que ce ne sera pas la première fois qu’une personnalité issue de l’opposition au régime actuel montera sur le plateau de la TVM. Par exemple, Rivo Rakotovao, le précédent président du Sénat et leader du parti d’un ex-Chef de l’Etat, opposant affirmé au pouvoir actuel, avait déjà été l’invité de cette émission « Ady hevitra » qui signifie littéralement « débat », au mois de mai de l’année dernière. En montrant que l’accès au plateau de la TVM n’est pas fermé aux gens de l’opposition, le Gouvernement actuel désavoue ainsi ses détracteurs. En tout cas, il est intéressant de noter que le débat de ce jour verra en face-à-face deux personnalités aux parcours très similaires. Les deux hommes ayant en effet étant chroniqueurs politiques avant d’embrasser une carrière politique en se portant candidats lors des dernières législatives à l’issue desquelles tous deux ont été élus pour représenter leurs Districts respectifs.
Sur un sujet connexe, notons qu’un vent de changement souffle au niveau de la Televiziona malagasy. A la traine par rapport aux chaînes privées selon la perception des téléspectateurs, une réforme structurelle sera apportée au sein de cette chaîne publique. Ainsi, des innovations notoires tant sur la forme que sur le fond seront apportées à la TVM. Un changement qui partira notamment du traitement des informations lors du journal télévisé, lequel sera plus dynamique. L’on annonce notamment l’introduction de nouvelles rubriques au cours de ce journal, à l’exemple de la rubrique « grand dossier », qui viendra agrémenter certaines éditions. La télévision nationale prévoirait également d’inviter plus régulièrement des invités sur le plateau de son journal. Enfin, un créneau sera consacré à l’éducation civique et citoyenne, selon des indiscrétions.
La rédaction

 L'insécurité ne cesse d'empirer dans la Capitale notamment la nuit. En conséquence, même les noctambules rentrent plus tôt par peur des malfaiteurs, et les transports en commun s'arrêtent même à 19 heures. Face à cette situation, le ministère de la Défense nationale à travers son département en charge de la Défense et de la Sécurité publique a décidé de renforcer les patrouilles nocturnes à Antananarivo et ses environs. Une délégation dirigée par les trois ministres concernés a effectué une descente sur le terrain dans la nuit du mardi à mercredi vers 22heures.

Avortement - De nombreuses femmes mariées y ont recours

Publié le mercredi, 29 septembre 2021

 « Je viens de donner naissance à ma fille il y a à peine trois mois et la semaine dernière, j’ai découvert que je suis déjà tombée enceinte. Prise de panique, j’ai pensé immédiatement à un avortement. Des jours se sont passés et l’on m’a enfin conseillée de consulter un médecin. Certes, j’ai dépensé une somme importante pouvant subvenir aux besoins de mon enfant mais cet acte a été un mal nécessaire (…)

Derniers remparts de la société. Les magistrats contribuent largement à la résolution des conflits sociaux, y compris ceux en milieu du travail. Pourtant, il a été constaté que les juridictions internes hésitent de moins en moins à recourir aux conventions et recommandations internationales du travail ainsi qu’aux différents organes de contrôle de l’OIT pour l’interprétation de la législation nationale. Raisons pour lesquelles cet organisme onusien a récemment signé un accord de partenariat avec l’Ecole nationale de la magistrature et des greffes (ENMG).

 

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Editorial

  • Constat accablant
    Lors de son périple qui devait l’amener à Amboasary-Atsimo et de retour pour rallier Taolagnaro, le Chef de l’Etat Rajoelina a eu droit à une douche froide qui l’a irrité. En effet, le numéro un du pays se mit en colère en constatant de visu des dysfonctionnements et des négligences des agents locaux en liaison avec des responsables à l’étage supérieur. Rajoelina s’insurge du fait que des responsables au niveau des Fokontany snobent carrément des consignes et instructions qu’il avait bien voulues transmettre lors de ses passages précédents notamment concernant le carnet biométrique pour chaque famille. L’Etat misait beaucoup sur l’usage à bon escient de cet instrument que chaque famille membre de la communauté (Fokontany) doit obligatoirement avoir en possession. Le père ou la mère de famille, selon le cas, est censé disposer et le garder soigneusement ce précieux outil. D’abord, on doit le remplir soigneusement avec l’aide des responsables…

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