mardi, 12 mars 2024

La une du 13 mars 2024

Publié dans La Une
mardi, 12 mars 2024

Maudits réseaux

La Grande île excellerait-elle en mauvaises réputations ? Parmi les cinq pays les plus pauvres du monde ! Situation sécuritaire préoccupante ! Capitale la plus sale du continent africain ! Taux inquiétant des violences basées sur le genre, viol sur mineures parfois suivi de brutalité barbare jusqu’à ce que mort s’ensuive ! Indice de perception de la corruption stagnant voire en recul. Corruption et impunité indétrônables ! Pratiques frauduleuses en tout genre entretenues par de puissants réseaux, etc.  Ne nous cachons pas le visage derrière le voile de l’hypocrisie, du mensonge et du faire semblant. Nous sommes plutôt forts en … échecs qu’en succès !
Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, en déplacement dans l’Est du pays, dénonce entre autres l’existence de puissants et bien organisés réseaux d’accaparement et de ventes illicites de terrain à Toamasina et environs immédiats. En marge de la commémoration de la Journée internationale des droits de la femme, dont les cérémonies nationales se tenaient à Toamasina et présidées par la Première Dame Rajoelina Mialy, le Président de la République mit à profit sa présence dans la capitale économique du pays pour tirer publiquement la sonnette d’alarme.
En fait, soutenus par des gens haut placés et en collusion avec des étrangers sans foi ni loi, les réseaux d’accaparement et de ventes illicites de terrain prolifèrent dans l’Atsinanana. A Ambalamanasa, à Toamasina-ville, un Chinois se présente un beau matin sur un terrain où des familles habitent depuis des décennies et montre des « papiers », en bonne et due forme,  attestant que le terrain en question lui appartient. Impuissantes, les pauvres familles ont été chassées de leurs … terres ! Elles ont dû quitter le lieu ! Le Conseil des ministres en février a pris la décision restituant ledit terrain à ses … propriétaires. Le vol de terrains à travers ces pratiques perverses existe partout à Madagasikara. C’est un fléau national, dixit Rajoelina Andry. Le cas d’Ambalamanasa n’est guère isolé.  A Antananarivo et environs, dans les périphéries de la Capitale, les mafias d’accaparement et de ventes illicites de terrain pullulent. Les victimes se comptent par centaines voire par milliers. Le Président Rajoelina devait déplorer à Toamasina que la plupart des dossiers traités au Tribunal dans tout Madagasikara concernent des litiges fonciers. C’est tout juste légitime et judicieux si l’Etat part en guerre contre cet ennemi ! Nous ne manquons de souligner l’ironie du sort qui s’abat sur le pays. Le territoire national, avec ses 590. 000 km2 pour une population totale de 30 millions au max, souffre d’occupants. Les touristes qui font le voyage par avion ou par terre à travers l’île constateront facilement l’immensité des terres inoccupées. Mais voilà, les Malagasy s’entredéchirent sur un petit espace laissé par les ancêtres. Le jour où nous tous saurions dépasser cette contradiction, on pourrait espérer avancer !
A Toamasina I et II, le Chef de l’Etat devait interpeller aussi l’état déplorable des deux villes. Insalubrité des rues, dégradation des voies publiques et l’engorgement des eaux de pluie. Tout comme à la CUA, il enjoint les responsables à bouger les … !
La malédiction causée par les agissements contre-productifs des réseaux doivent cesser immédiatement. Tout n’est pas perdu. Les chances de réussite existent toujours. Il fallait oser.
Ndrianaivo                                          

Publié dans Editorial


Grande fut la surprise des uns et des autres en apercevant sur des photos de la presse, un Indien trafiquant notoire d'or, assis presque à côté du ministre des Mines de Madagascar. La photo prise a été datée de la semaine dernière durant le face- à- face du ministre des Mines avec les exportateurs d'or agréés. L'exportation de 300 kg en 100 jours demeure l'objectif fixé par le ministère. N. M. figure parmi ces exportateurs qui s'avèrent ainsi en odeur de sainteté avec les règles en vigueur pour avoir cet agrément. Auparavant, N. M. s'en contrefiche complètement des lois malagasy en matière d'exportation d'or. Il s'adonne avec des Indiens de même acabit que lui dans le trafic d'or. Ce qui l'a conduit en prison, à la maison de force de Tsiafahy, là où il ne restait que quelques heures. Dans une de ses affaires pas très catholiques, et pas du tout, N.M. avait écopé 7 ans de travaux forcés avec mandat d'arrêt mais la décision de la Justice n'a jamais été exécutée. Il avait maille à partir avec deux frères indiens dont l'un a été sauvagement assassiné à Alarobia et l'autre s'est "exilé" en France. Le nom de N.M. n'a pas été cité dans cette affaire d'assassinat dont les auteurs et les commanditaires courent toujours. Un homme connu et condamné par la Justice malagasy assis sur la même table que le ministre des Mines, plus d'uns s'interrogent comment ce N.M. s'est une fois de plus, purifié ?...
La Rédaction

Publié dans Société


Les membres de l’association caritative « Andry sy Fototra ho an’ny Fampandrosoana » (AFF), en collaboration avec leurs responsables, s'engagent à promouvoir le développement dans leur propre localité. L'association fournit un soutien, des aides et des formations dans des domaines tels que l'agriculture, l'élevage, la pêche, l'artisanat, ainsi que des initiatives visant à promouvoir la santé, l'éducation, le sport et les loisirs.
Il est à rappeler que l’AFF a été fondée en mai 2018 par Haingo Ravatomanga Rakotoniary. Louisette Razanakoto, coordinatrice de l’association, explique que le groupe vise à apporter un soutien, une aide et des formations axées sur le développement en général aux familles nécessiteuses et vulnérables dans la Région de Vakinankaratra. Depuis sa création, l’AFF opère dans les 7 Districts de cette Région grâce à ses 30 membres répartis dans chacun ces Districts, agissant en tant que chefs d'antenne sur place.
Soutien aux familles nécessiteuses
Dans le cadre de ses actions caritatives, l’AFF, sous la direction de sa coordinatrice, a récemment organisé une distribution de 6.000 poussins, de la provende, du riz et du maïs sur la Grande place, située devant la « Tranom-pokonolona » d’Antsirabe à Antsenakely. Les bénéficiaires ces dons sont des paysans éleveurs et des familles nécessiteuses issus des Fokontany du District d’Antsirabe I. Plus de vingt Fokontany parmi les 60 que compte la capitale du Vakinankaratra ont participé à cet événement. La coordinatrice de l’AFF a également promis que les autres Fokontany non inclus dans ces lieux de distribution recevront leur part ultérieurement.
Il convient de souligner que de nombreuses personnes âgées provenant des mêmes Fokontany ont également reçu des vêtements empaquetés dans des sachets, ce qui a suscité une grande joie parmi ces bénéficiaires. Ainsi, l'association AFF continue de jouer un rôle crucial en apportant un soutien significatif aux communautés dans le besoin, en particulier les paysans et les familles nécessiteuses résidant dans la Région de Vakinankaratra.
Jeannot Ratsimbazafy

Publié dans Société


Un coup de filet réussi pour la Gendarmerie de Moramanga et d’Ambatondrazaka. De fil en aiguille, les limiers de ce Corps militaire sont parvenus à épingler des membres d’une association de malfaiteurs qui ont écumé tout le District de Moramanga depuis février. Hier, la compagnie territoriale de Moramanga a déféré au Tribunal de première instance un groupe de treize personnes dont trois femmes.
Les présumés ont participé à des attaques perpétrées dans des Communes comme Morarano- Gare, Ambohibary, Mandialaza, Anjiro, Lakato, Ambohidronono, Beforona… Les Districts de Brickaville et d’Anosibe Anala sont aussi tombés dans leur zone d’influence. Une bande a récemment frappé la Commune d’Andekaleka, Brickaville. La Police nationale a pu mettre la main sur dix des assaillants, tous en détention préventive.
Pour le District de Moramanga, tout s’est accéléré après l’arrestation d’une femme par la Gendarmerie d’Ambatondrazaka. La suspecte a été en effet un agent de renseignement pour les auteurs des délits et des crimes. Elle a indiqué le cachot de l’un d’entre eux dans la ville de Moramanga. Armé d’un fusil de chasse, le recherché a été arrêté avec un compère. « J’ai dirigé moi-même l’opération », affirme le capitaine Fias Razafimangasoa, commandant de compagnie de Moramanga.
Les langues ont alors continué à se délier. Les deux individus, à leur tour, ont indiqué les identités de leurs amis alors que la recherche active de renseignements fiables a poursuivi son petit bonhomme de chemin. C’est de la sorte que d’autres truands dont deux femmes sont tombés dans le filet des gendarmes. De fait, tous ont agi en réseau. Les tombeurs d’Andekaleka sont de la même association criminelle. « Ils se reconnaissent tous comme appartenant à une même organisation. Ils sont passés aux aveux », dit l’officier.
La poursuite de l’enquête a permis de mettre la main sur d’autres délinquants dont un couple de transporteurs, propriétaires d’un véhicule de marque Sprinter de couleur blanche saisi à Beforona. Selon les révélations du chauffeur, sa responsabilité a été de conduire les « missionnaires » aux zones cibles. « Plusieurs pièces d’identité et des documents falsifiés ont été trouvés sur lui et sa femme », confirme le capitaine Fias Razafimangasoa.
A part le fusil de chasse, un pistolet de fabrication locale, un pistolet jouet, des armes blanches, des plaquettes d’antibiotique, des téléphones et plusieurs autres biens dérobés à des villageois ont été découverts chez les hors-la-loi. Les uns viennent d’Analamanga et d’Alaotra si d’autres sont des natifs du Mangoro. Quelques-uns jouent le rôle de donneurs d’ordre et les autres sont des exécutants. C’est une bande organisée de fait. Des complices sont sûrement en cavale.
Les membres de l’association de malfaiteurs, en cours de démantèlement, ont commencé à faire parler d’eux durant la première moitié de février où des groupes violents ont nuitamment visité plusieurs villages pour y commettre des délits et des crimes. Leurs agissements ont même coûté la vie à un garçon de 13 ans à Ambohidray- Morarano Gare, entre autres.
L’angoisse des populations locales a été telle qu’une vaste opération militaire et policière a été lancée le 19 février. Outre les autorités civiles, plusieurs hauts responsables militaires et policiers, dont le colonel Théodule Ranaivoarison, commandant de la circonscription de la Gendarmerie de Toamasina, en personne se sont déplacés à Morarano- Gare à cette occasion. L’action stratégique porte ses fruits maintenant. Mais la traque continue toujours.
M.R.

Publié dans Politique


Drame vers la fin de la matinée hier à Amoronakona au By-pass. Un éboulement s'est produit dans un chantier, tuant ainsi 3 ouvriers qui travaillaient sur place. Depuis quelques heures, ils s'échinaient dans un fossé où se trouve le fondement d'un très profond mur de soutènement d'une propriété privée. Vers 13h hier, l'un d'eux a pu être finalement dégagé sous des tonnes de mottes de terre et évacué d'urgence à l'hôpital, avec le pronostic vital engagé. Malheureusement, la victime n'a pas tenu le coup avec son appareil respiratoire complètement en détresse. Elle a succombé quelques moments à peine après les tentatives des médecins de l'hôpital "manara-penitra" pour la ranimer.
Par ailleurs, la situation était plus compliquée pour les deux autres victimes. En réalité, il a fallu déployer tous les moyens, notamment matériels avec un recours à une pelleteuse, du moins pour déblayer, sans oublier la contribution des sapeurs-pompiers, avant que les deux corps déjà inanimés des deux autres tâcherons n'aient pu être sortis de terre. La montre indiquait déjà 4h lorsque l'opération de sauvetage et les recherches se terminaient finalement. Les trois victimes sont issues de trois localités différentes dont Ikianja- Ambohimangakely, Alatsinainy-Bakaro et le Vakinankaratra. "On ne sait pas exactement ce qui s’était passé. Nul ne sait si c'était l'effet de l'humidité ou d'une autre cause. Mais le talus qui dominait et qui allait subitement s'abattre sur les pauvres ouvriers est haut d'au moins d'une quinzaine de mètres. Imaginez l'ampleur du désastre", commente une source au niveau de la Gendarmerie.
Les camions d'une entreprise de construction et du bâtiment ainsi que ceux des sapeurs-pompiers ont été mobilisés dans l'opération de secours. Aussi, nul n'a songé un seul instant que le chantier, sur la construction de cet imposant mur en question, a viré au drame. Du coup, les responsables de la société de construction qui emploie les victimes s'étaient rendus sur les lieux. De même, on a pu y voir aussi des membres de la famille des victimes. La Gendarmerie a ouvert une enquête.


Franck R.



Publié dans Politique

Le rendez-vous consacré au cinéma à l’Alliance française d’Antananarivo (AFT), située à Andavamamba, s’annonce fort intéressant. En effet, cet évènement cinématographique en est à sa neuvième projection depuis son retour après 4 années d’absence. Auparavant, ceci portait le nom de « Ciné Junior ». Mais depuis le mois d’avril 2023, date de son retour, sa nouvelle appellation est « Ciném’Alliance ». Depuis exactement onze mois, « Ciném’Alliance » est devenu l’un des programmes que les jeunes cinéphiles ne manquent pas de noter dans leur agenda.
Les responsables au sein de l’AFT proposent ainsi aux cinéphiles une autre projection gratuite cet après-midi. Comme à l’accoutumée, la projection se tiendra sur les lieux à partir de 14h. Encore une fois, une fiction malagasy sera mise à l’honneur. Il s’agit d’un court métrage de 29 minutes, intitulé « Zanaka, ainsi parlait Félix », réalisé par  Lova Nantenaina et sorti en salles le 1er janvier 2019. Un film qui relate la vie de Félix Robson, l’un des derniers survivants ayant participé́ à l’insurrection malagasy du 29 mars 1947 pour l’indépendance. La préparation de ses obsèques est une occasion de retracer sa lutte. Au-delà du travail de mémoire et du portrait singulier, ce film salue la détermination absolue qui permet aux hommes de garder espoir et leur dignité face à tout ce qui les écrase…
Notons que ce court-métrage a reçu le Poulain d’argent lors du dernier Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO), édition 2019. Lors des Rencontres du film court (RFC), la fiction était récompensée du Zébu d’Or dans la catégorie « documentaire panafricain ». Avec cette affiche, les plus jeunes ne risquent pas de s’ennuyer pour ce mercredi après-midi. Ce sera une demi-journée de pause devant l’écran. Le plaisir de découvrir un film ensemble, assorti de l’expérience inégalable du grand écran, sera garanti. Et pour le plus grand plaisir du public, l’accès à la projection sera toujours gratuit. A noter que cette projection sera suivie d’une séance de partage avec Nantenaina Fifaliana, preneur de son et cadreur du film.
Si.R

Publié dans Culture

Mitigé, le conseil d'administration de l'Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE) a récemment évalué Madagascar, attribuant un score global relativement faible de 67 points en termes de mise en œuvre de l'ITIE. Bien que le pays ait maintenu une certaine transparence dans les secteurs minier, pétrolier et gazier, des défis subsistent, notamment en matière de transparence des contrats, d'identité des bénéficiaires effectifs et de contribution au débat public. Helen Clark, présidente du conseil d'administration de l'ITIE, a salué l'engagement renouvelé des parties prenantes malagasy dans la mise en œuvre de l'ITIE. Elle souligne l'importance des données de l'ITIE pour stimuler le débat public sur la contribution des industries extractives au développement économique et social. Toutefois, elle appelle Madagascar à tirer pleinement parti de l'ITIE pour résoudre des questions cruciales telles que l'exploitation minière artisanale et la transition énergétique. Malgré la richesse en ressources minérales, y compris l'une des plus grandes mines de nickel au monde, Madagascar a connu une baisse des exportations et des activités extractives. Les moratoires sur les licences minières et l'exploration pétrolière et gazière, récemment levés, ont introduit de nouvelles difficultés et opportunités en matière de gestion du secteur. Des problèmes de gouvernance au sein du groupe multipartite de l'ITIE, le financement limité et les impacts de la Covid-19 ont ralenti la mise en œuvre de l'ITIE. Cependant, les nouveaux leaders gouvernementaux et de l'ITIE Madagascar travaillent à redynamiser cette mise en œuvre. La transparence dans les industries extractives reste cruciale pour garantir que le secteur bénéficie aux citoyens.
Lents progrès
Malgré la pandémie et les contraintes financières, Madagascar a continué à divulguer des informations sur le secteur extractif, bien que les progrès en matière de transparence aient été lents. Les licences et les systèmes de cadastre sont accessibles au public, mais les contrats pétroliers, gaziers et miniers restent non divulgués, tout comme la propriété effective. L'ITIE Madagascar a contribué à renforcer la transparence des transferts infranationaux liés à des grands projets miniers, mais il reste des possibilités d'amélioration, notamment en ce qui concerne la qualité des données et la couverture des activités de production et d'exportation. La réouverture des licences minières offre une chance de stimuler l'activité dans les secteurs industriel et artisanal, soulignant la nécessité de redynamiser les mécanismes de supervision. Les déficits de financement ont été un obstacle, mais les nouveaux leaders gouvernementaux et de l'ITIE Madagascar cherchent à obtenir des financements stables et à revitaliser le groupe multipartite. La société civile espère un suivi plus solide de l'évolution de l'espace civique pour faciliter la résolution rapide des contraintes alléguées. En fin de compte, l'ITIE Madagascar a le potentiel de renforcer son rôle dans le débat public sur des questions cruciales telles que les impacts environnementaux et la gestion des entreprises d'Etat. La désignation de l'ITIE par le Gouvernement pour conduire les consultations sur le nouveau Code minier offre une opportunité précieuse d'influencer les politiques du secteur extractif malagasy. Madagascar se trouve à un moment critique où la transparence et l'engagement sont essentiels pour assurer une gestion responsable de ses ressources extractives.
Hary Rakoto

Publié dans Economie

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Editorial

  • Ragôva, aux cribles !
    Le gouverneur de la Région Analanjirofo limogé ! Ceux des Régions Vatovavy et d’Itasy « licenciés ». A qui le prochain tour ? Et les observateurs de s’interroger, « le locataire d’Iavoloha serait-il en train de passer aux cribles les Ragôva ? » De notre côté, on se pose tout bas la question « avions-nous été entendus ? » A travers nos colonnes, on n’a de cesse de réclamer l’évaluation périodique de nos « vice-rois ». Non pas par méchanceté à leur égard mais dans une démarche d’esprit qui se soucie de la sauvegarde de nos fragiles ressources publiques qu’il faille gérer à bon escient et aussi pour le bon fonctionnement des affaires nationales. Lesquelles évaluations périodiques permettront d’apprécier les travaux effectués sinon de constater les manquements itératifs des dits Gouverneurs ainsi que leurs impacts dans les Régions concernées. Un Gouverneur qui fait bien son travail contribue évidemment à l’essor…

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