Société

Coup de filet du service régional de la police judiciaire de la DSRP Vakinankaratra, en matière de lutte contre la circulation et diffusion de faux billets, le 25 mars dernier. En effet, trois suspects furent d'abord arrêtés par ce service de police. L'un d'eux, le plus âgé vient de la Capitale tandis que les deux autres sont ses complices demeurant à Antsirabe. Les Forces de l'ordre les ont alors surpris avec la somme de 18 millions ariary, dont les coupures sont toutes fausses. D'après la Police, les trois faussaires auraient envisagé de revendre leurs faux billets, donc les faire circuler…
Des conséquences dramatiques. La Région Sava dont Vohémar et Antalaha vivent sous des pluies torrentielles depuis quelques jours. Des cumuls de pluie de 300 mm ont été enregistrés dans cette Région, selon la prévision météorologique. Les villages sont sous les eaux. Hier à 18h00, la forte tempête tropicale Gamane était située dans la localité de Manambato avec un vent de 90 km/h et des rafales de vent 125 km/h dans un rayon de 30 km autour de son centre. Elle se déplace vers le Sud avec une vitesse de 10 km/h. Quasiment stationnaire, elle détruit tout sur son passage. Gamane…
Un réseau de trafiquants démantelé. Un Chinois et trois Malagasy ont été pris dans le filet du ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD), en collaboration avec les Forces de l’ordre. Ces trafiquants ont été arrêtés avec 650 baobabs nains ou « Pachypodium », d’espèces différentes prêtes à l’exportation. Actuellement, ils sont en détention provisoire à la maison de force de Tsiafahy, en attendant leur procès. Le directeur de l'Unité de lutte contre la corruption au sein du MEDD, Andrianirina Fanomezantsoa, a indiqué que depuis le début de l’année, 6 tentatives de trafic d’exportation ont été déjouées.
Beaucoup d'incertitudes planent au sujet de la forte tempête tropicale Gamane et ses éventuels impacts sur Madagascar et les autres îles de l’océan Indien. Cette tempête s’intensifie rapidement tout en faisant un mouvement stationnaire près de la côte nord-est de l’île. Hier, selon le bulletin météorologique émis par la Météo Malagasy, on a estimé que Gamane ne touchera pas terre, même s'il a été prévu que celle-ci se développe à une distance inférieure à 100 km de nos côtes. Or, l’inattendu est arrivé : elle est devenue plus dangereuse. Selon le directeur général du Bureau national de gestion des risques…
Un fil conducteur. Le développement des villes et leurs perspectives de croissance nécessitent un Plan d’urbanisme de détails (PUDé). L’élaboration ou la révision de ce plan se fait suite à l’initiative des Communes ou celle du groupement de Communes, présentant des intérêts économiques et sociaux communs. En fait, une structuration s’avère indispensable pour le grand Tanà, lequel pèse lourd dans le paysage démographique et économique de Madagascar. La Banque mondiale estime à 44 % le poids dans le Produit intérieur brut (PIB) national de la ville d’Antananarivo. Ce poids économique résulte de différentes activités économiques, mais appelle également une structuration…
Vers midi hier, le quartier de Tsianaloka, sis en plein centre-ville de Toliara, a été secoué et endeuillé par un assaut meurtrier de bandits. En effet, une femme de 29 ans, cet ancien agent de recouvrement au service d'un négociant indien local de PPN, a payé de sa vie de cette agression. La victime a reçu des balles à la fois dans la région du cœur et dans le crâne. D'après la Police, celle-ci a été perpétrée par deux individus armés et venus à bord d'une motocross. Ces derniers ont ensuite réussi à prendre la fuite avec le sac contenant …
Les villes de Toamasina et Taolagnaro sont de nouveau sous les eaux, et ce malgré le fait que la population peine à se relever après la récente inondation. Une situation qui est causée par des pluies incessantes qui s'abattent sur la Grande île depuis dimanche. Selon le directeur du Bureau national de gestion des risques et de catastrophes, le Général Elack Andriankaja, des sites d’hébergement sont déjà mis en place pour accueillir les sinistrés à Taolagnaro. Des routes sont coupées dans la Région d’Anosy, tandis que les cours sont suspendus pendant quelques jours dans la Circonscription scolaire (CISCO) de Toamasina…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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