Publié dans Culture

Concours de beauté - « Teen Beauty Fashion » recherche Miss et Mister

Publié le mercredi, 20 octobre 2021

Plus de soixante-dix candidats seront en lice pour le titre de « Miss et Mister TBF» ce dimanche. En jeu, les titres et deux places en finale. Coup de projecteur sur la beauté de la jeunesse. La quatrième édition du concours « Miss et Mister Teen Beauty Fashion » Madagascar débutera ce dimanche 24 octobre à 14 heures à L’IKM Antsahavola.

Un événement organisé par Agence de mannequinat et Model photo ainsi qu’organisation d’évènementiel Ykyre Agency. L’appel à candidatures a été lancé depuis le début du mois de septembre dernier et plusieurs jeunes passionnés issus de toutes les régions ont répondu à l’appel par le biais des réseaux sociaux, et à travers un casting très sélectif. Tous, enthousiastes par l’idée de devenir la plus belle ou le plus beau du concours « Teen Beauty Fashion » Madagascar. Pour cette première « prime » qui se tiendra dimanche, ils seront plus de 70 jeunes à concourir, âgés de 15 à 29 ans et mesurant de 1m70 (garçon) et 1m60 (fille). A l’issue de ce concours, Le jury évaluera leur démarche, le sourire, mais également la posture, la grâce et le charisme.

Valeurs

Durant toutes les étapes de la compétition, chaque candidate et candidat à Miss et Mister jeunesse doit savoir customiser une tenue avec les spécificités et spécialités de sa région ou de sa province. Il y aura également un test de culture générale. « Comme toutes les éditions précédentes, l’objectif du concours est de valoriser les beautés des différentes ethnies qui exprimées par des codes vestimentaires, de coiffage ou encore du maquillage. De s’imprégner au mieux des valeurs culturelles propres à sa région mais surtout de Madagascar », a expliqué un membre de l’organisateur. Sous de bons auspices, les objectifs affichés des programmateurs sont de sensibiliser la jeunesse au besoin de montrer ses ambitions et sa capacité à communiquer, à être participatif et parfaitement inclus dans le tissu social. A noter qu’après cette première « prime », il y aura cinq autres étapes avant la grande finale.

Sitraka Rakotobe

Fil infos

  • Hauts emplois de l’Etat - Pluie d’abrogations au ministère des Finances et celui de l’Education nationale  
  • UE- Madagascar - Vers un dégel des certains financements 
  • Actu-brèves
  • Réunion de l’OMC nationale à la Primature - Sécurité et stabilité au menu
  • Tentative de dissolution de la Fédération - Le football malgache en danger
  • Université d'Antsiranana - La paix restaurée
  • Sahara Marocain au Conseil de sécurité l’ONU - Victoire du Maroc et consécration de l’initiative d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine
  • Vie de la Nation - Madagascar, cobaye des politiciens
  • Perquisition au groupe Sodiat Talatamaty - Pillage et razzia sur des véhicules
  • Actu-brèves

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

A bout portant

AutoDiff