Publié dans Culture

Nomination - L’OMDA a finalement son nouveau directeur

Publié le jeudi, 13 avril 2023

Fin de calvaire pour les artistes. Après de longues attentes et plusieurs appels de nomination,  l’Office malagasy du droit d’auteur (OMDA) a finalement eu son nouveau dirigeant. Mercredi soir, un nouveau directeur vient d’être nommé en Conseil des ministres. Ainsi, Joelinirina Nomenasoa Rarivojaona prendra les rênes de l’OMDA. Une nomination qui  s’est fait désirer puisqu’elle vient un peu plus d’un an après le limogeage de l’ancien directeur  Haja Ranjarivo, survenu au mois de février 2022, après plus de deux  décennies à la tête de cette structure. 

A l’issue de cette nomination, les auteurs-compositeurs, les sculpteurs, et les cinéastes, les artistes peintres… attendent également avec impatience des changements majeurs et du nouveau souffle au sein de l’OMDA. Il est évident que, la gestion à l’OMDA nécessite des changements et de l’amélioration  pour aller de l'avant et atteindre les objectifs qui ont été fixés. Bref, avec cette nouvelle tête, l’Etat malagasy et  le ministère titulaire comptent remettre le bureau de l’OMDA sur les rails en apportant des innovations en faveur des artistes malagasy. En dehors des autres soucis tels que le problème d’infrastructure, le premier grand défi de ce nouveau directeur reste le paiement de ces droits d’auteur cumulés depuis quelques mois. A titre de rappel, ce nouveau directeur Joelinirina Nomenasoa Rarivojaona était chef du service de la perception et du contrôle de l’OMDA  en 2017 et également chef du service de la documentation et de la répartition de 2010 à 2017 avant cette nomination. 

 

 Sitraka Rakotobe

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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