Publié dans Culture

« Afterwork » - Tovo J’Hay toujours présent pour ses fans 

Publié le mardi, 16 mai 2023

Un chanteur qui n’a plus rien à prouver mais qui ne compte pas lâcher prise, même avec ses 23 années de carrière musicale. Depuis ses débuts en l’an 2000 en tant que Tovo J’Hay comme nom de scène, le romantisme est toujours au rendez-vous. Après quelques séries de concerts et de cabarets dans la Capitale, Tovo J’hay poursuit le chemin de la scène. Il retrouvera ses adulateurs du centre-ville pour une soirée « Afterwork », organisée par le Rotary Club Antananarivo, ce samedi à partir de 19h au Kudeta Urban Club, Anosy. Ce sera son deuxième concert en ce mois de mai. Une autre retrouvaille qui sentira sûrement la nostalgie. 

Ce spectacle permettra de faire revivre les beaux moments du passé durant quelques tours d’horloge. Et comme à l’accoutumée, Tovo J’hay promet une ambiance chaude pour réchauffer le public en ce début de la saison hivernale. Le chanteur lui-même s’est dit fin prêt à passer un moment inoubliable avec ses fans. De nombreuses chansons seront au menu de cette soirée, allant de 

« Tamberina », « Ho anjarako » et « Fihin-tananao » jusqu’au morceau intitulé « D’efatia », le dernier tube qu’il a sorti récemment. Que des chansons d’amour comme les groupies les aiment. Comme d’habitude, avec Tovo J’Hay, des séquences acoustiques seront également mises en évidence pour mieux fredonner en chœur avec le public. Mais les morceaux rythmés ne seront pas pour autant négligés vu que ce sera une soirée « Afterwork » ambiancée. Le concept de ce concert consiste, en effet, à imaginer le retour en faisant un long voyage dans le passé pour ensuite avancer sans plus s’arrêter. Cette fois-ci, Tovo J’hay sera tout seul devant le micro. Mais il sera sûrement accompagné par des complices de scène, notamment ses musiciens et choristes.

 

Si.R

Fil infos

  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff