Publié dans Economie

QMM - La concrétisation de l’accord avec l’Etat reste prioritaire 

Publié le lundi, 12 février 2024

Maximiser les retombées sociales et environnementales. La société QMM ou « QIT Madagascar Minerals », filiale de Rio Tinto, acteur majeur du secteur minier, se consacre en 2024 à la concrétisation des engagements pris dans le nouvel accord avec le Gouvernement malagasy, dévoilé lors du renouvellement de la convention d'établissement en août dernier. David-Alexandre Tremblay, directeur exécutif de Rio Tinto QMM, souligne que « la priorité absolue est d'initier les programmes destinés à optimiser les retombées au niveau des communautés, en mettant particulièrement l'accent sur des projets environnementaux ». 

« A travers cet accord, les communautés bénéficieront de contributions volontaires accrues, permettant au gouvernement d'accéder plus rapidement à des dividendes », a annoncé le directeur exécutif. Il insiste sur le caractère bénéfique de cet accord pour tous, tant au niveau local que national, tout en soulignant son impact positif sur les employés de QMM. Le dialogue avec les communautés locales et la préservation de l'environnement restent des priorités pour QMM. Il  explique : « Nous poursuivons nos efforts pour établir un dialogue avec les communautés, cherchant ainsi à construire une confiance mutuelle et à mieux comprendre les impacts environnementaux. En 2024, nous continuerons nos actions pour minimiser notre empreinte environnementale, tout en reconnaissant l'étroite relation entre l'environnement et la communauté. Ces deux éléments demeurent au cœur de nos préoccupations ». Rappelons que le nouveau contrat signé en 2023 entre l’Etat malagasy et QMM prévoit une augmentation significative des investissements sociaux et communautaires de la société minière, avec des dispositions spécifiques pour le reboisement et des contributions ciblées aux communautés locales et à la Région d'implantation du site d'extraction.

 

Carinah Mamilalaina

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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