Publié dans Economie

« Plateforme des applications africaines » - Madagascar à la recherche de représentants

Publié le mercredi, 17 juillet 2019

Une formation au niveau international. La République arabe d’Egypte lance un appel à candidatures international pour le lancement de l’initiative africaine « Plateformes des applications africaines ». Dans le cadre de ce programme, cent candidats par pays bénéficieront d’une formation en ligne sur le développement d’applications et de jeux. L’idée étant de renforcer les capacités des jeunes africains et de les certifier aux dernières avancées technologiques. De ce fait, Madagascar, à travers le ministère des Postes, des Télécommunications et du Développement numérique (MPTDN), est aujourd’hui à la recherche de ses représentants. « Cette année, le nombre de places a augmenté, offrant à nos jeunes développeurs une opportunité plus élargie de développer leurs compétences et d’améliorer leurs produits pour pouvoir affronter le marché international.

Ce développement permettra ensuite au secteur des TIC de percer dans le pays, surtout dans le milieu économique. Il ne faut pas sous-estimer l’intérêt grandissant que les jeunes portent aujourd’hui à ce milieu », soutient le MPTDN. Outre les capacités acquises, cette formation sera sanctionnée d’un certificat international.

A noter que toutes les candidatures malagasy devront ainsi passer par le ministère. Les candidats admissibles seront alors les personnes ayant un diplôme universitaire dans la filière « Technologies de l’information et de la communication (TIC) » après l’année 2006 incluse, cinq années d’expériences professionnelles dans le domaine et attestées par une lettre de référence authentique ou encore ayant suivi une formation internationale de six mois sur les technologies logicielles, prouvée par des certifications officielles. Pour les intéressés, il suffit juste d’envoyer un CV (curriculum vitae) en version anglaise à l’adresse e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. , et ce, avant le 26 juillet prochain.

Rova Randria

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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