Publié dans Politique

Coopération - Des émissaires de la JICA à Ambohitsorohitra

Publié le mardi, 24 mai 2022



Le Président Andry Rajoelina a reçu une délégation de la JICA (Agence japonaise de coopération internationale) dirigée par le docteur Kitaoka Shinichi, conseiller spécial du président de la JICA et non moins ancien président de cet organisme, hier au Palais présidentiel d’Ambohitsorohitra. La délégation, qui a été accompagnée par l’ambassadeur du Japon à Madagascar, Higuchi Yoshihiro, a réitéré sa volonté à soutenir et être aux côtés du Gouvernement malagasy dans le processus de développement du pays, surtout dans le secteur de l’agriculture, l’éducation, et la santé. Elle n’a pas manqué de faire part de ses convictions par rapport aux atouts de la Grande île pour arriver à un développement effectif. Les deux parties sont confiantes quant à l’accomplissement et la réussite des projets entrepris dans le cadre de cette coopération. D’ailleurs, le Président Andry Rajoelina s’est dit ravi de cette rencontre enrichissante avec la délégation japonaise.
La JICA a pour mission de « contribuer à renforcer la coopération internationale et le développement durable des économies japonaises et mondiales en soutenant la croissance socio – économique, la reprise ou stabilité économique des régions en développement », selon le site officiel de l’agence. Outre les projets liés à l’agriculture, l’éducation, ou encore l’éducation, la JICA à Madagascar se démarque également par ses interventions notoires dans la lutte contre la malnutrition. Elle a, à titre d’exemple, apporté un soutien financier au Programme alimentaire mondial (PAM) pour prévenir la malnutrition chronique dans le Sud de Madagascar.
La Rédaction


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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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