Publié dans Politique

Gendarmerie - Témoin d’un grand respect envers le Zoky

Publié le mardi, 07 janvier 2025

La grande famille de la Gendarmerie nationale a présenté ses vœux au président du Sénat, Richard Ravalomanana, lundi dernier. L’homme au perchoir au Palais d’Anosikely est un vrai Zoky qui a passé 36 ans au sein de la Gendarmerie. Il est l’ancien secrétaire d’Etat chargé de la Gendarmerie et son ancien commandant. Il a été aussi le chef d’Etat par intérim en 2023. Il est ainsi une fierté pour ses frères d’arme.

Il mérite les honneurs de ces derniers à l’occasion du Nouvel an en vertu de la sagesse malagasy et la tradition militaire, selon les dires du Général Andriantsarafara Rakotondrazaka, l’actuel ministre délégué chargé de la Gendarmerie. Le haut responsable gouvernemental a été lundi accompagné, entre autres, du Général Hajaniaina Rasendralahy, secrétaire général au sein du ministère délégué chargé de la Gendarmerie, et du Général Andriatahina Rakotomalala, commandant de la Gendarmerie. Richard Ravalomanana a exprimé son attachement personnel à la Gendarmerie qu’il a encouragée pour son devoir envers la patrie. Des fois, son accomplissement coûte la vie à des gendarmes. L’officier général à la retraite, reconverti à la politique, n’est pas de ceux qui se moquent des dirigeants en place. Il tient beaucoup à la protection des institutions, des personnes et de leurs biens.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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