Publié dans Société

Accident à Ambohimiandra - Le chauffard toujours introuvable

Publié le mercredi, 16 septembre 2020

Mardi dernier, en début de soirée, une berline VW Golf a terminé sa course folle contre un poteau de la JIRAMA à Ambohimiandra, juste dans les parages d’un hôpital du quartier. Le choc fut particulièrement violent qu’il a déformé sinon cassé en deux l’infrastructure, sans parler de la destruction, du moins de la partie avant du véhicule. Mais comme par magie, quelques moments à peine après l’accident, personne n’a pu trouver les traces du chauffeur en cause. Il semblait disparaître de la circulation dont on ignore par quel moyen, explique un témoin. Cependant, des témoins ont avancé que le conducteur a été blessé.
Même la Police, qui enquête sur la cause de cette perte de contrôle aux conséquences désastreuses,  reste  dubitative. « Les éléments de la Brigade des accidents ou BAC qui ont fait le constat, ont dû par la suite rentrer bredouilles. Des traces du chauffard, elles semblaient se volatiliser tout simplement », confie une source auprès d’un service de police à propos de cet accident. Cependant, des bribes d’information glanées par les Forces de l’ordre, ont avancé qu’il y avait trois personnes dans cette voiture. Mais ces Forces de sécurité, tout comme les témoins, affirment ne pas vraiment savoir où pourraient-elles se trouver après les faits.
Hormis les dégâts matériels quasi importants, mais aussi d’éventuelles victimes, les habitants d’Ambohimiandra, ont payé le plus lourd tribut à cet accident. Avec la destruction de ce poteau liée à la violence du choc, tout le quartier est plongé dans le noir, faute de courant. Ceci est dû à une panne momentanée imputable aux dommages observés sur l’ensemble des installations électriques. Une enquête est ouverte.

Franck R.

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Editorial

  • Sous-pression !
    Soixante jours ! Telle est la durée de la consigne (militaire) donnée au Gouvernement nouvellement installé par le Chef de l’Etat, le colonel Michaël Randrianirina, assurément avec le consentement des quatre officiers supérieurs avec rang de Président, Hauts conseillers de la République, le colonel Lucien Rabearimanana, le médecin – colonel Manantenasoa Marcellin Zafitasondry Manuelson, le colonel Solofoniaina Rampanarivo et le lieutenant - colonel Gervais Andriamiarisoa. Aujourd’hui, on entame les trente derniers jours. Dans l’Armée, « on obéit d’abord, on discute après ». Et Dieu seul le sait si on aura le temps de discuter après ! Sous la menace de l’épée de Damoclès, sur leur tête, les ministres risquent fort de travailler et d’agir sous pression. Pour un membre de Gouvernement nouvellement nommé, qu’est-ce qu’on peut réaliser en soixante jours ? La tradition républicaine universellement admise, du moins dans les pays ayant un solide ancrage de la démocratie, on se…

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