Publié dans Société

Déclaration du Pape François sur l’homosexualité - Union civile et non mariage

Publié le vendredi, 23 octobre 2020

« Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? ». C’est avec cette phrase du Pape François en juillet 2013 que tout a commencé. Celle-ci a causé la colère de la branche la plus conservatrice de l’Eglise catholique. S’ensuit la position du souverain pontife dans un documentaire intitulé « Francesco », diffusé le mercredi 21 octobre à la Fête du cinéma de Rome défendant l’union civile des couples homosexuels. D’après lui, « les personnes homosexuelles ont le droit d’être en famille. Ce sont des enfants de Dieu, et ils ont le droit à une vie de famille. Ce qu’il faut, c’est une loi d’union civile. Ces gens ont le droit à être couverts légalement. J’ai défendu cela ».

 

Depuis jeudi dernier, ces propos ont fait le tour des réseaux sociaux et ont suscité la discussion au sein de la communauté. Bon nombre d’internautes ont versé leur colère sur le Pape et les églises catholiques, en les pointant du doigt comme la source des ténèbres. Beaucoup n’ont pas compris le message du Pape François et ont fait une fausse interprétation. Ils ont traduit cet « union » comme une certification au mariage à l’église. En effet, l’évêque de Rome a fait preuve d’ouverture sur les couples homosexuels en affirmant régulièrement que ces derniers devaient être bien accueillis au sein de l’Eglise catholique, mais il reste toutefois fermement opposé au mariage des personnes du même sexe, en accord avec le dogme de l’Eglise. Sur ce, le mariage doit se faire nécessairement entre un homme et une femme.

Recueillis par Anatra R.

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Editorial

  • A vos marques !
    Par Délibération n° 056 / CENI / D du 16 avril 2024 portant arrêtage et publication de la liste des candidats pour les élections législatives du 29 mai prochain, la CENI rend finalement publique la liste définitive des candidats retenus. Au total, on compte 473 candidats admis à concourir pour les 163 sièges prévus à l’Assemblée nationale.Comme il fallait s’y attendre, la mouvance présidentielle IRMAR est la seule plateforme ayant pu couvrir le territoire national de candidats pour le scrutin de 29 mai. Dans certaines Circonscriptions, il n’y a que des prétendants sous la bannière Orange. Ce qui présuppose une victoire déjà acquise. Quant aux autres formations politiques de l’Opposition (« Firaisan-kina » et « Kaolektifa »), elles peinent à couvrir le territoire. Elles ont dû se contenter de ne se présenter que dans certaines Régions. Le paiement de la caution est y pour beaucoup ! Tandis que les « …

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