Publié dans Société

Cadavre découvert à Mahajanga - Le Suisse déclaré mort est en vie

Publié le vendredi, 01 octobre 2021

L’affaire autour d’un meurtre suspect d’un Suisse âgé de 69 ans à Mahajanga a pris une autre tournure. Les informations apportées hier se sont avérées comme une mauvaise piste. Selon une source sûre, il s’agissait de la présumée personne qui est déclarée disparue le samedi précédant la découverte de son cadavre. Les investigations menées ont révélé que l’étranger en question se trouvait bel et bien à Nosy Be au moment de la découverte d’un corps sans vie. « Certes, il a été avancé que c’est le corps d’un Suisse, le mari disparu depuis quelques jours que l’on a retrouvé.

Même sa femme, venue identifier le corps, croyait l’avoir reconnu en ayant observé son ventre et ses cuisses. Cependant, après avoir bien analysé sa photo et reçu des informations supplémentaires, la personne concernée se trouvait à Nosy Be », a raconté cette source. Par conséquent, l’enquête qui a été saisie par la Police de Majunga n’est toujours pas résolue. L’identité du cadavre reste ainsi inconnue.

Rappelons que le corps sans vie d’un homme, nu avec une jambe amputée, a été retrouvé allongé sous une dalle à Amborovy, Mahajanga. Et les expertises des médecins ont révélé qu’il s’agit d’une personne portée disparue avant d’être assassinée. Le ou les auteurs du crime ont abattu cet homme quelque part avant de transporter son cadavre à l’endroit où il a été découvert.

Recueillis par K.R. 

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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