Publié dans Société

Disparition d’un Mauricien à Madagascar - Sa famille lance un SOS

Publié le lundi, 22 août 2022


Sandiren Ramasamy, ce Mauricien de 45 ans était dans nos murs depuis le 4 août dernier. Son objectif aurait été de convoler en juste noce avec une Malgache dont il a fait la connaissance sur les réseaux sociaux. Mais depuis le 15 août dernier, ses proches restés à Maurice ont commencé à s’inquiéter vivement. En cause, ce bodybuilder doublé d’un propriétaire d’une salle de sport à Curepipe à Maurice, n’a plus donné aucun signe de lui. Plus grave, l’on approche de la date du 3 septembre où le quadragénaire est censé rentrer à Maurice, alors que le concerné reste obstinément introuvable. Face à cela, l’inquiétude de la sœur ainsi qu’un neveu de Sandiren est telle qu’ils multiplient actuellement les démarches afin de le retrouver dans la Grande île. «Nous espérons de tout cœur qu’on le retrouve. Nous demandons à quiconque le croise à Madagascar de bien vouloir contacter l’Ambassade de Maurice», a fait savoir un proche de Sandiren R. dans les colonnes d’un quotidien de l’île sœur.
Et raison de plus pour s’inquiéter, l’homme a perdu toutes ses affaires dans la Grande île. Et que la perte de ses objets personnels constituent davantage un obstacle pour son voyage du retour, c’est-à-dire le ramener dans son pays. Pire, son état de santé n’est pas du tout bon. Ces proches du porté disparu affirment que la nouvelle concernant l’état de Sandiren serait alarmante. Certaines personnes résidant dans la Grande île auraient rapporté à la famille du porté disparu que ce dernier se serait déplacé d’un endroit à l’autre sur l’île, et qu’il souffrirait diablement. 
Mais la liste des mésaventures que le Mauricien serait en train de subir actuellement n’est pas exhaustive. Le Mauricien s’était confié à l’homme,  qui a posté la photo et son triste sort sur Facebook, qu’il a été arnaqué et qu’on lui a pris toutes ses affaires, selon toujours un membre de la famille du concerné dans ce journal mauricien. Pour couronner le tout, Sandiren n’a pas du tout accepté ce que l’internaute, voulant l’aider, lui a proposé de se présenter au poste de police.
Recueillis par F.R

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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