Selon des sources proches du dossier, le malheureux aurait utilisé une arme de poing appartenant à son unité pour se donner la mort. Une situation rendue possible par ses fonctions : il occupait le poste de magasinier d’armement et disposait, à ce titre, d’une clé donnant accès au magasin d’armes de l’ESGN.
Tensions au sein du foyer
Toujours d’après ces mêmes sources, l’épouse de la victime, également gendarme principal de 2è classe en service à l’Usine militaire Sahafitana Moramanga, se trouvait au domicile au moment du drame. Elle affirme que son mari est entré dans la douche avant que le coup de feu ne retentisse.
Le chef de famille aurait été particulièrement éprouvé par un présumé grave problème conjugal, qui l’aurait plongé dans un état de détresse avancée, précisent les informateurs.
Pour l’heure, la thèse du suicide reste privilégiée, même si une enquête a été ouverte afin d’établir avec précision les circonstances exactes de ce drame survenu au sein de la grande famille de la Gendarmerie.
F. R.








