Publié dans Société

Sécurité routière - Visite technique des véhicules de la Gendarmerie nationale

Publié le dimanche, 10 novembre 2019

La visite technique des véhicules appartenant à l’Etat est obligatoire selon le décret numéro 71-138 datant du 23 mars 1971, article R124 dans le paragraphe 5, et R 260 dans le paragraphe 3. Ces derniers  ont été renforcés par le Conseil du Gouvernement datant du 18 septembre dernier.  Pour la Gendarmerie nationale, elle a procédé depuis jeudi dernier à une visite technique de tous ses véhicules en fonction au sein de ce département. Outre la sécurité publique et la lutte contre les accidents de la circulation, cette campagne a été menée afin de donner un exemple au citoyen.

Ce n’est que la première étape, mais elle sera effectuée dans tout le territoire national. La visite technique sera obligatoire à partir du 15 novembre prochain et  à titre gratuit. Elle est ainsi réalisable dans tous les centres annexes, comme Betongolo, By- pass et Ivato pour Antananarivo. Pour un rendez- vous, le responsable du véhicule pourra donc contacter le centre qui leur est proche.

Outre la visite technique, les contrôles inopinés se poursuivent dans les rues d’Antananarivo et les  routes nationales. La collaboration entre la Police et la Gendarmerie nationale a permis de mettre en place cette stratégie afin de lutter contre les gabegies de la circulation. Depuis sa réalisation, des véhicules inaptes sont mis en fourrière et des papiers ont été confisqués. En rappel, une nouvelle organisation est placée au sein de la direction générale de la  sécurité routière (DGSR) à Alarobia. D’après le responsable de ce centre, celui-ci a déjà fermé ses portes à la visite et la réception technique. Ainsi, la visite technique a été transférée à l’annexe Betongolo, Alasora et Ivato, tandis que le centre de réception technique à Alasora. Seul le service des opérations et contrôles routiers reste à Alarobia.

Anatra R. 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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