Publié dans Sport

Match Côte d'Ivoire-Madagascar - Le doute se confirme pour Dupuis

Publié le lundi, 02 novembre 2020

Sceptique sur la tenue de la double confrontation qui devrait opposer la Côte d'Ivoire et Madagascar, prévue le 12 novembre prochain pour le match aller et le 17 novembre pour le match retour, le doute se confirme pour le sélectionneur national, Nicolas Dupuis. Après avoir saisi la Fédération malagasy de football d'entamer les démarches auprès de la Confédération africaine de football (CAF) sur une demande de report des matches éliminatoires pour la CAN 2022, au vu de l'annonce d'un mois de confinement en France fait par le Président de la République, Emmanuel Macron.

Une situation d'urgence qui interdit à 17 joueurs appelés sur les 25 convoqués d'honorer leur convocation à défendre les couleurs de l'équipe nationale. A cause de la fermeture des frontières, les expatriés ne pourront pas venir au pays et auront du mal à revenir ensuite dans l'Hexagone.

Hormis cette situation sanitaire, le coach des Barea, Nicolas Dupuis, n'a pas caché son inquiétude vis-à-vis de la situation politique en Côte d'Ivoire, les violences qu'il peut y avoir. « En condition de ce qui se passera là-bas, on fera le nécessaire et on demandera à ne pas jouer en Côte d'Ivoire », a-t-il avancé lors d'une émission sur une chaîne privée de la Capitale.

Quant à l'avenir des Barea, le technicien français rassure sur le rajeunissement de son effectif. « On a aujourd'hui une cinquantaine de noms de joueurs expatriés capables de jouer en sélection », souligne Nicolas Dupuis.

En toute logique, le coach des Barea s'est expliqué sur l'absence des joueurs nationaux dans sa liste. « Le championnat local ayant été arrêté en mars ou en avril, les joueurs locaux sont totalement hors de forme ». C'est pour cela que pour la première fois, il n'a pas pris de joueurs de champs locaux. Il a tout de même précisé que « grâce à la pro league, le niveau de compétition a fait augmenter celui technique des joueurs actuellement ».

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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